Sauf indication
contraire, tous les montants sont libellés en dollars canadiens et
sont basés sur nos états financiers présentés selon la
Norme comptable internationale 34 Information
financière intermédiaire. Notre rapport aux
actionnaires portant sur le deuxième trimestre de 2021
ainsi que notre document d'information financière
complémentaire sont disponibles sur notre site Web,
à l'adresse http://www.rbc.com/investisseurs.
|
Bénéfice
net
4,0 milliards
de dollars
Hausse de 2,5 milliards
d'un exercice à l'autre
|
Bénéfice dilué par
action
2,76 $
Hausse de 1,00 $
par rapport au T2 2020
|
DPPC
(1)
(96) millions de dollars
Ratio de la DPPC liée aux prêts
en baisse de 12 p.b. (2) d'un trimestre à
l'autre
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RCP
(3)
19,4 %
Hausse de 7,3 % par rapport
à l'exercice précédent
|
Ratio CET1
12,8 %
Nettement supérieur
au seuil réglementaire
|
TORONTO, le 27 mai 2021 /CNW/
- La Banque Royale du Canada (TSX: RY) (NYSE: RY) a
déclaré aujourd'hui un bénéfice net de 4,0 milliards
de dollars pour le trimestre clos le 30 avril 2021,
soit une hausse de 2,5 milliards par rapport à l'exercice
précédent. Le bénéfice dilué par action s'est établi à 2,76 $,
en forte croissance par rapport à la période correspondante de
l'exercice précédent. Nos résultats pour le trimestre considéré
tiennent compte de contrepassations de dotations liées aux prêts
productifs de 260 millions de dollars,
qui contrastent avec les dotations élevées liées aux prêts
productifs de 2,1 milliards de dollars pour l'exercice
précédent.
Le bénéfice avant dotations et impôts (4) s'est élevé
à 5,1 milliards de dollars, en hausse de 11 % par
rapport à il y a un an. Cette amélioration
est principalement attribuable à des marchés positifs et à la
forte croissance des volumes, facteurs qui ont été contrebalancés
en partie par la faiblesse des taux d'intérêt, et à
l'accroissement des charges attribuable principalement à la hausse
de la rémunération variable découlant de résultats supérieurs et de
la rémunération fondée sur des actions. Les secteurs Services
bancaires aux particuliers et aux entreprises et Marchés
des Capitaux affichent une forte croissance du bénéfice, le
secteur Marchés des Capitaux ayant dégagé un bénéfice
sans précédent ce trimestre. Les résultats plus élevés des secteurs
Gestion de patrimoine et Assurances
ont également contribué à cette hausse. Ces facteurs ont été
contrebalancés en partie par les faibles résultats du secteur
Services aux investisseurs et de trésorerie.
Comparativement au trimestre précédent, le bénéfice net a grimpé
de 168 millions de dollars grâce à l'amélioration des
résultats des secteurs Services bancaires aux particuliers et aux
entreprises, Gestion de patrimoine
et Marchés des Capitaux. Ces résultats ont été
contrebalancés en partie par le recul du bénéfice des secteurs
Assurances et Services aux investisseurs et de trésorerie.
Le ratio de la DPPC liée aux prêts s'est établi à (5) p.b.,
en baisse de 12 p.b. par rapport au trimestre précédent, en
raison principalement du recul des dotations dans les secteurs
Services bancaires aux particuliers et aux entreprises
et Marchés des Capitaux, lequel a été atténué par les
recouvrements plus élevés enregistrés dans le secteur Gestion
de patrimoine pour le trimestre précédent. Le ratio de la DPPC liée
aux prêts douteux s'est dégagé à 11 p.b., en baisse de
2 p.b. par rapport au trimestre précédent.
Notre position de capital est demeurée solide, avec un ratio de
fonds propres de première catégorie sous forme
d'actions ordinaires (CET1) de 12,8 %, lequel a
favorisé la croissance solide des volumes attribuables aux
activités des clients et le versement d'un dividende de
1,5 milliard de dollars sur les actions ordinaires.
De plus, notre ratio de liquidité à court terme moyen a été
robuste, atteignant 133 %.
« Je suis
extrêmement fier de nos employés qui continuent à faire preuve de
résilience en faisant vivre notre mission lorsqu'ils servent nos
clients, nos collectivités et nos actionnaires. L'essor vigoureux
que nous avons connu dans la première moitié de 2021 est
attribuable à notre stratégie ciblée sur l'offre d'expériences
exceptionnelles et la création de valeur pour nos clients. Pour
concrétiser cette stratégie, RBC met à profit la vaste portée de
ses activités, la croissance solide de sa part de marché, une
gestion prudente des risques et des investissements substantiels
dans le capital humain et la technologie échelonnés sur plusieurs
années. Bien que les signes d'une reprise durable portent à
l'optimisme, nous sommes conscients que la pandémie n'a pas fini de
semer des embûches. Nous demeurons néanmoins résolus à contribuer à
la réussite des clients et à la prospérité des collectivités, et à
favoriser un avenir plus inclusif axé sur le développement durable.
»
- Dave McKay,
président et chef de la direction de RBC
|
|
|
|
T2 2021
par rapport au
T2 2020
|
- Bénéfice net de 4
015 millions de dollars
- Bénéfice dilué par
action de 2,76 $
- RCP de 19,4
%
- Ratio CET1 de 12,8
%
|
↑ 171 % ↑ 176 % ↑ 1 210 p.b. ↑ 110 p.b.
|
T2 2021
par rapport au
T1 2021
|
- Bénéfice net de 4
015 millions de dollars
- Bénéfice dilué par
action de 2,76 $
- RCP de 19,4
%
- Ratio CET1 de 12,8
%
|
↑ 4 % ↑ 4 % ↑ 80 p.b. ↑ 30 p.b.
|
Cumul annuel 2021
par rapport au
cumul annuel 2020
|
- Bénéfice net de 7
862 millions de dollars
- Bénéfice dilué par
action de 5,42 $
- RCP de 19,0
%
|
↑ 58 % ↑ 59 % ↑ 650 p.b.
|
(1)
|
DPPC : Dotation
à la provision pour pertes de crédit.
|
(2)
|
p.b. : Points de
base.
|
(3)
|
RCP :
Rendement des capitaux propres attribuables aux
actionnaires ordinaires. Cette mesure n'a pas de sens
normalisé en vertu des PCGR. Pour de plus amples
renseignements, se reporter à la rubrique Principales
mesures du rendement et mesures hors PCGR figurant à la
page 4 du présent communiqué portant sur les
résultats.
|
(4)
|
Le bénéfice avant
dotations et impôts correspond au bénéfice avant impôt
(5 186 millions de dollars au T2 2021,
1 738 millions au T2 2020) majoré de la dotation à la
provision pour pertes de crédit ((96) millions de dollars au
T2 2021, 2 830 millions au T2 2020). Il s'agit d'une
mesure hors PCGR. Pour de plus amples renseignements, se reporter à
la rubrique Principales mesures du rendement et mesures hors PCGR
figurant à la page 4 du présent communiqué portant sur les
résultats.
|
Services bancaires aux particuliers et aux
entreprises
Le bénéfice net s'est chiffré à 1 908 millions
de dollars, en hausse de 1 376 millions sur
un an, en raison principalement de la baisse de la
dotation à la provision pour pertes de crédit. Le bénéfice avant
dotations et impôts(5) s'est établi à
2 612 millions de dollars, en hausse de
6 % par rapport à il y a un an, ce qui reflète
principalement la forte croissance moyenne des volumes, qui a
atteint 11 % (soit une hausse de 16 % pour les
dépôts et de 6 % pour les prêts), l'augmentation des revenus
sur cartes et la hausse des frais de placement liés aux fonds
communs de placement dans le secteur Services bancaires
canadiens, facteurs qui ont été atténués par le rétrécissement
des écarts.
Comparativement au trimestre précédent, le bénéfice net a
augmenté de 115 millions de dollars, ou 6 %, ce qui
reflète principalement la baisse de la dotation à la provision
pour pertes de crédit découlant de l'augmentation de
contrepassations de dotations liées aux prêts productifs pour le
trimestre à l'étude. Une croissance moyenne des volumes de 1 %
dans le secteur Services bancaires canadiens et la réduction des
coûts liés au personnel ont également contribué à l'augmentation.
Ces facteurs ont été contrebalancés en partie par l'incidence des
trois jours de moins qu'a comptés le trimestre considéré.
___________________________
|
(5)
|
Le bénéfice avant
dotations et impôts correspond au bénéfice avant impôt
(2 577 millions de dollars au T2 2021;
747 millions au T2 2020) majoré de la dotation à la provision
pour pertes de crédit (35 millions de dollars au T2 2021;
1 706 millions au T2 2020). Il s'agit d'une mesure
hors PCGR. Pour de plus amples renseignements, se reporter à
la rubrique Principales mesures du rendement et mesures hors PCGR à
la page 4 du présent communiqué portant sur les
résultats.
|
Gestion de patrimoine
Le bénéfice net de 691 millions de dollars est en
hausse de 267 millions, ou 63 %, par rapport à il
y a un an, en raison surtout de la croissance moyenne des
prêts et de la progression de la moyenne des actifs liés aux
services tarifés des clients, qui reflètent l'appréciation des
marchés et les ventes nettes, déduction faite de la rémunération
variable connexe. Le recul de la dotation à la provision pour
pertes de crédit et la progression des revenus tirés des
transactions ont également favorisé cette augmentation.
Ces facteurs ont été contrebalancés en partie par l'incidence
du recul des taux d'intérêt.
Comparativement au trimestre précédent, le bénéfice net s'est
renforcé de 42 millions de dollars, ou 6 %, ce qui
rend surtout compte de la progression de la moyenne des actifs
liés aux services tarifés des clients, déduction faite de la
rémunération variable connexe, de la baisse des coûts liés au
personnel et de la progression des revenus tirés des transactions.
Ces facteurs ont été atténués par des variations défavorables de la
juste valeur des investissements en capital de démarrage.
Assurances
Le bénéfice net a atteint 187 millions de dollars, en
hausse de 7 millions, ou 4 %, par rapport à il y a
un an, ce qui s'explique surtout par la réduction des coûts
des sinistres et par l'incidence favorable des ajustements
actuariels. Ces facteurs ont été atténués par les répercussions des
profits réalisés sur les placements un an plus tôt et par le
fléchissement des nouveaux contrats de réassurance du risque
de longévité.
Par rapport au trimestre précédent, le bénéfice net a diminué de
14 millions de dollars, ou 7 %, ce qui provient
surtout de la baisse des nouveaux contrats de réassurance du
risque de longévité.
Services aux investisseurs et de trésorerie
Le bénéfice net s'est chiffré à 120 millions
de dollars, en baisse de 106 millions, ou 47 %, par
rapport à il y a un an, du fait surtout du recul des
revenus tirés des activités de financement et de gestion des
liquidités étant donné qu'au même trimestre de l'exercice
précédent, les revenus avaient été favorisés par l'incidence des
variations des taux d'intérêt et une hausse des profits à la
cession de titres de placement. La diminution des revenus générés
par les dépôts des clients, principalement attribuable à la baisse
des taux d'intérêt, a également contribué au repli.
Comparativement au trimestre précédent, le bénéfice net a
diminué de 3 millions de dollars, ou 2 %, et ce, en
raison principalement du repli des revenus tirés des activités de
financement et de gestion des liquidités puisqu'au trimestre
précédent, les résultats avaient été favorisés par des occasions
sur le marché monétaire. Ce facteur a été neutralisé en partie par
l'incidence des coûts annuels liés à la conformité à la
réglementation au trimestre précédent.
Marchés des Capitaux
Le bénéfice net s'est établi à 1 071 millions
de dollars, soit une hausse de 966 millions
de dollars sur un an, du fait essentiellement de la diminution
de la dotation à la provision pour pertes de crédit et de
l'augmentation sans précédent des revenus du secteur Services
de banque d'investissement. Ces facteurs ont été neutralisés en
partie par une hausse de l'impôt attribuable à une augmentation du
bénéfice dégagé dans des territoires où les taux d'imposition sont
plus élevés et par la hausse de la rémunération découlant de
résultats supérieurs.
Par rapport au trimestre précédent, le bénéfice net est demeuré
relativement stable puisque le recul de la dotation à la provision
pour pertes de crédit et l'intensification des activités
d'origination de prêts et de titres de participation dans toutes
les régions ont été annulés par la baisse des revenus tirés des
activités de négociation de titres à revenu fixe constatée dans ces
régions par suite du ralentissement des activités des clients, et
par la hausse de l'impôt puisque celui du trimestre précédent
tenait compte d'ajustements fiscaux favorables.
Fonds propres, liquidité et qualité du crédit
Fonds propres - Au 30 avril 2021, notre
ratio CET1 s'établissait à 12,8 %, en hausse de
30 p.b. par rapport au dernier trimestre, en raison
principalement des capitaux autogénérés et de l'incidence des taux
d'actualisation plus élevés utilisés aux fins de la détermination
de nos obligations au titre des prestations de retraite et
avantages postérieurs à l'emploi, facteurs qui ont été
contrebalancés en partie par la croissance de l'actif pondéré
en fonction des risques (excluant le change).
Au troisième trimestre de 2021, nous prévoyons refléter les
mises à jour des paramètres du modèle afin de rehausser le seuil
utilisé pour identifier les petites entreprises clientes
assujetties au traitement applicable à la clientèle de détail, tel
que permis en vertu des exigences en matière de fonds propres
réglementaires, et recalibrer les paramètres relatifs à la
probabilité de défaillance pour les autres emprunteurs de notre
portefeuille de prêts de gros. Nous nous attendons à ce que la mise
en œuvre de ces mises à jour de paramètres fasse augmenter notre
ratio CET1 d'environ 70 à 80 p.b au troisième
trimestre de 2021. Cette incidence sera neutralisée en partie
par l'augmentation des multiplicateurs de la valeur à risque en
période de tensions qui entre en vigueur le
1er mai 2021, laquelle devrait réduire notre
ratio CET1 d'environ 10 à 15 p.b. Ces
deux estimations pourraient être appelées à changer en
fonction de la taille du portefeuille ou de la composition du
portefeuille détenu.
Liquidité - La moyenne du ratio de liquidité à court
terme du trimestre clos le 30 avril 2021 s'est établie à
133 %, ce qui représente un excédent d'environ
89,6 milliards de dollars par rapport au taux de
141 % et un excédent d'environ 104,3 milliards au
trimestre précédent. La moyenne du ratio de liquidité à court terme
a diminué par rapport au trimestre précédent en raison
principalement de la baisse des niveaux de financement associée aux
efforts soutenus déployés par la banque pour optimiser sa situation
de trésorerie.
Au 30 avril 2021, le ratio de liquidité à long terme
s'établissait à 118 %, ce qui se traduit par un excédent
d'environ 119,0 milliards de dollars, comparativement à
118 % et à un excédent d'environ 122,2 milliards au
trimestre précédent. Le ratio de liquidité à long terme est
demeuré stable pendant le trimestre, la baisse du financement de
gros ayant été largement contrebalancée par la croissance
soutenue des dépôts des clients.
Qualité du crédit
Deuxième trimestre de 2021 par rapport au deuxième
trimestre de 2020
Le total de la dotation à la provision
pour pertes de crédit s'est chiffré à (96) millions
de dollars. La dotation à la provision pour pertes de crédit
liée aux prêts a été de (83) millions de dollars, en
baisse de 2 817 millions par rapport à la période
correspondante de l'exercice précédent, en raison principalement de
la diminution des dotations dans les secteurs
Services bancaires aux particuliers et aux entreprises,
Marchés des Capitaux et Gestion de
patrimoine. Le ratio de la dotation à la provision pour pertes de
crédit liée aux prêts s'est chiffré à (5) p.b. Le ratio de la
dotation à la provision pour pertes de crédit liée aux prêts
douteux s'est dégagé à 11 p.b.
La dotation à la provision pour pertes de crédit liée aux prêts
productifs s'est établie à (260) millions de dollars,
contre 2 121 millions pour la période correspondante de
l'exercice précédent, ce qui tient principalement au contraste
entre l'augmentation des dotations attribuable aux effets de la
pandémie de COVID-19 pour l'exercice précédent et les
contrepassations de dotations pour le trimestre considéré. En dépit
des incertitudes qui subsistent en ce qui a trait aux effets de la
pandémie de COVID-19, ces contrepassations sont attribuables à des
améliorations de nos perspectives en matière de facteurs
macroéconomiques et de qualité du crédit.
La dotation à la provision pour pertes de crédit liée aux prêts
douteux s'est établie à 177 millions de dollars, soit un
recul de 436 millions attribuable principalement aux
recouvrements dans le secteur Marchés des Capitaux au
cours du trimestre considéré, lesquels contrastent avec les
dotations constituées au cours de l'exercice précédent. La baisse
des dotations des secteurs Services bancaires aux particuliers
et aux entreprises et Gestion de
patrimoine a également contribué à la diminution.
Deuxième trimestre de 2021 par rapport au premier
trimestre de 2021
La dotation à la provision pour
pertes de crédit liée aux prêts s'est chiffrée à (83) millions de
dollars, en baisse de 204 millions par rapport au trimestre
précédent, ce qui a découlé essentiellement de la diminution des
dotations des secteurs Services bancaires aux particuliers et
aux entreprises et Marchés des Capitaux, laquelle a été
contrebalancée en partie par les recouvrements plus élevés du
secteur Gestion de patrimoine pour le trimestre
précédent. Le ratio de la dotation à la provision pour pertes de
crédit liée aux prêts s'est chiffré à (5) p.b., en baisse de
12 p.b.
La dotation à la provision pour pertes de crédit liée aux prêts
productifs s'est établie à (260) millions de dollars, en
baisse de 163 millions de dollars, en raison
principalement de l'augmentation des contrepassations de dotations
dans les secteurs Services bancaires aux particuliers et aux
entreprises et Marchés des Capitaux. En dépit des incertitudes
qui subsistent en ce qui a trait aux effets de la pandémie de
COVID-19, ces contrepassations sont attribuables à des
améliorations de nos perspectives en matière de facteurs
macroéconomiques et de qualité du crédit.
La dotation à la provision pour pertes de crédit liée aux prêts
douteux s'est chiffrée à 177 millions de dollars, en
baisse de 41 millions, en raison principalement des
recouvrements dans le secteur Marchés des Capitaux, qui
contrastent avec les dotations constituées au cours du dernier
trimestre, et de la diminution des dotations dans le secteur
Services bancaires aux particuliers et aux entreprises,
facteurs qui ont été atténués par les recouvrements dans le
secteur Gestion de patrimoine au cours du
trimestre précédent.
Correction de valeur pour pertes de crédit
Le
ratio de la correction de valeur pour pertes de crédit liée aux
prêts et acceptations sur le total des prêts et acceptations s'est
chiffré à 79 p.b., en baisse de 6 p.b. par rapport au
dernier trimestre et de 5 p.b. par rapport au trimestre
correspondant de l'exercice précédent.
Banque relationnelle à l'ère numérique
L'utilisation du numérique poursuit sa progression comme
l'illustrent l'augmentation de 9 % du nombre d'utilisateurs de
services mobiles actifs sur 90 jours par rapport à il y a
un an qui atteint maintenant 5,3 millions et la hausse
du nombre de sessions mobiles de 22 % sur un an pour
s'établir à 111,6 millions. L'adoption du numérique a
progressé pour atteindre 56,8 % et les transactions en
libre-service ont atteint 93,5 %, soit une augmentation de
150 p.b. par rapport à l'an dernier.
Principales mesures du rendement et mesures hors
PCGR
Nous mesurons et évaluons le rendement de nos activités
consolidées et de chacun de nos secteurs d'exploitation en fonction
d'un certain nombre de paramètres financiers, dont le bénéfice
net, le rendement des capitaux propres attribuables aux
actionnaires ordinaires et des mesures hors PCGR, dont le bénéfice
avant dotations et impôts. Le rendement des capitaux propres
attribuables aux actionnaires ordinaires et le bénéfice avant
dotations et impôts n'ont pas de définition normalisée
en vertu des PCGR. Nous utilisons le rendement des
capitaux propres attribuables aux actions ordinaires à titre
de mesure du rendement du total du capital investi dans
nos secteurs. Nous sommes d'avis que certaines mesures hors
PCGR sont plus représentatives de nos résultats d'exploitation
courants et permettent aux lecteurs de mieux comprendre le point de
vue de la direction à l'égard de notre performance.
Pour de plus amples renseignements sur le rendement des capitaux
propres attribuables aux actionnaires ordinaires et les autres
principales mesures du rendement et mesures hors PCGR, se
reporter à la rubrique Principales mesures du rendement et
mesures hors PCGR de notre rapport aux actionnaires portant
sur le deuxième trimestre de 2021.
MISE EN GARDE AU SUJET DES DÉCLARATIONS PROSPECTIVES
À l'occasion, nous faisons des déclarations prospectives
verbalement ou par écrit au sens de certaines lois sur les valeurs
mobilières, y compris les règles d'exonération de la
Private Securities Litigation Reform Act of 1995 des
États-Unis, et de toute loi sur les valeurs mobilières en vigueur
au Canada. Nous pouvons faire des déclarations prospectives
dans le présent communiqué portant sur les résultats, dans d'autres
documents déposés auprès des organismes de réglementation canadiens
ou de la SEC, dans d'autres rapports aux actionnaires et dans
d'autres communications, y compris les déclarations de notre
président et chef de la direction. Les déclarations prospectives
dans le présent document comprennent, sans toutefois
s'y limiter, les déclarations relatives à nos objectifs
en matière de rendement financier, à notre vision et à nos
objectifs stratégiques, aux attentes à l'égard de notre
ratio CET1 et aux conséquences que la pandémie causée par le
coronavirus (COVID-19) pourrait continuer d'avoir sur nos activités
commerciales, nos résultats financiers, notre situation financière
et nos objectifs financiers, ainsi que sur l'économie mondiale
et la conjoncture des marchés financiers. L'information prospective
contenue dans le présent communiqué portant sur les résultats
est présentée afin d'aider les détenteurs de nos titres et les
analystes financiers à comprendre notre situation financière et nos
résultats d'exploitation aux dates présentées et pour les périodes
closes à ces dates, ainsi que nos objectifs en matière
de rendement financier, notre vision et nos objectifs
stratégiques, et pourrait ne pas convenir à d'autres fins. Les mots
« croire », « s'attendre à »,
« prévoir », « se proposer »,
« estimer », « planifier »,
« viser », « projeter », « devoir »
et « pouvoir », de même que l'emploi du futur ou du
conditionnel ainsi que de mots et d'expressions semblables
dénotent généralement des déclarations prospectives.
De par leur nature même, les déclarations prospectives nous
obligent à formuler des hypothèses et font l'objet d'incertitudes
et de risques intrinsèques qui donnent lieu à la possibilité que
nos prédictions, prévisions, projections, attentes et conclusions
se révèlent inexactes, que nos hypothèses soient incorrectes, et
que nos objectifs en matière de rendement financier, notre vision
et nos objectifs stratégiques ne se matérialisent pas. Nous
avertissons nos lecteurs de ne pas se fier indûment à ces
déclarations étant donné que les résultats réels pourraient
différer de façon significative des attentes exprimées dans ces
déclarations prospectives, en raison d'un certain nombre de
facteurs de risque. Ces facteurs, dont plusieurs sont indépendants
de notre volonté et dont nous pouvons difficilement prévoir les
répercussions, comprennent les risques de crédit, de marché, de
liquidité et de financement, d'assurance, de non-conformité à la
réglementation (ce qui pourrait faire en sorte que nous fassions
l'objet de procédures juridiques et réglementaires dont l'issue
potentielle pourrait notamment mener à des restrictions, sanctions
et amendes réglementaires), le risque de réputation, les risques
liés au cadre juridique et réglementaire et à la concurrence,
ainsi que les risques opérationnel, stratégique et systémique
et d'autres risques qui sont expliqués aux rubriques portant sur le
risque et à la rubrique Faits nouveaux importants : la
COVID-19 de notre rapport annuel pour
l'exercice clos le 31 octobre 2020 (le
« rapport annuel 2020 ») ainsi qu'aux rubriques Gestion
du risque et Incidence de la pandémie de COVID-19
de notre rapport aux actionnaires portant sur le
deuxième trimestre de 2021. Ces autres risques incluent
ceux qui concernent le contexte commercial
et la conjoncture économique, les technologies de
l'information et les cyber-risques, le marché de l'immobilier
canadien et l'endettement des ménages, l'incertitude géopolitique,
les risques liés à la confidentialité, aux données et aux tierces
parties, les changements de réglementation, les risques
environnementaux et sociaux (y compris les changements
climatiques), les bouleversements numériques et l'innovation, la
culture et la conduite, le contexte commercial et la
conjoncture économique dans les secteurs géographiques où nous
exerçons nos activités, l'incidence des modifications
des politiques budgétaires, monétaires et autres de
gouvernements, le risque fiscal et la transparence et
l'émergence d'urgences sanitaires ou de crises de santé publique
généralisées, telles que des épidémies et des pandémies, dont celle
de COVID-19, et leur incidence sur l'économie mondiale et
la conjoncture des marchés financiers, ainsi que sur nos activités
commerciales, nos résultats financiers, notre situation
financière et nos objectifs financiers.
Nous avertissons nos lecteurs que la liste susmentionnée de
facteurs de risque n'est pas exhaustive et que d'autres facteurs
pourraient également avoir une incidence défavorable sur nos
résultats. Les investisseurs et autres personnes qui se fient à nos
déclarations prospectives pour prendre des décisions
ayant trait à la Banque Royale du Canada
doivent bien tenir compte de ces facteurs et d'autres incertitudes
et événements potentiels. Les hypothèses économiques significatives
qui sous-tendent les déclarations prospectives du présent
communiqué portant sur les résultats sont présentées à la rubrique
Examen de la conjoncture économique, des marchés et du contexte
réglementaire et perspectives et, pour chaque secteur
d'exploitation, aux rubriques Priorités stratégiques
et Perspectives de notre rapport annuel 2020, mises à
jour aux rubriques Examen de la conjoncture économique, des marchés
et du contexte réglementaire et perspectives et Incidence de la
pandémie de COVID-19 de notre rapport aux actionnaires portant sur
le deuxième trimestre de 2021. Sauf si la loi l'exige,
nous ne nous engageons pas à mettre à jour quelque déclaration
prospective que ce soit, verbale ou écrite, que nous pouvons
faire ou qui peut être faite pour notre compte à l'occasion.
Des renseignements supplémentaires sur ces facteurs et sur
d'autres facteurs sont fournis aux
rubriques portant sur le risque et à la rubrique Faits nouveaux
importants : la COVID-19 de notre rapport annuel 2020
ainsi qu'aux rubriques Gestion du risque et
Incidence de la pandémie de COVID-19 de notre rapport aux
actionnaires portant sur le deuxième trimestre
de 2021.
L'information fournie dans les sites Web susmentionnés ou
pouvant être obtenue par l'intermédiaire de ces sites ne fait pas
partie du présent communiqué portant sur les résultats. Tous les
renvois à des sites Web contenus dans le présent communiqué
portant sur les résultats sont inactifs et ne sont indiqués
qu'à titre informatif.
ACCÈS AUX DOCUMENTS TRAITANT DES RÉSULTATS
TRIMESTRIELS
Les investisseurs, médias et autres parties
intéressées peuvent consulter le présent communiqué portant sur les
résultats trimestriels, les diapositives sur nos résultats
trimestriels, de l'information financière supplémentaire et notre
rapport aux actionnaires portant sur le deuxième trimestre
de 2021 en accédant à l'adresse
www.rbc.com/investisseurs.
Conférence téléphonique sur les résultats trimestriels et
diffusion Web
Notre conférence téléphonique sur les
résultats trimestriels aura lieu le 27 mai 2021 à
8 h 30 (HE) et comportera une présentation par
les dirigeants de RBC de nos résultats pour le deuxième
trimestre. Cette présentation sera suivie d'une période de
questions pour les analystes. Les parties intéressées pourront
écouter en direct la conférence téléphonique en accédant
à l'adresse rbc.com/investisseurs/quarterly-financial-statements.html
ou en composant le 416-340-2217 ou le 866-696-5910 et en
entrant le code d'accès 4691510#, entre 8 h 20 et
8 h 25 (HE).
Les commentaires de la direction seront affichés sur notre
site Web peu après la conférence téléphonique.
De plus, il sera possible d'écouter un enregistrement de
la conférence dès le 27 mai 2021 à 17 h (HE), et ce,
jusqu'au 24 août 2021, en accédant à l'adresse
rbc.com/investisseurs/quarterly-financial-statements.html ou en
composant le 905-694-9451 ou le 800-408-3053 et en entrant
le code d'accès 8026879#.
APERÇU DE RBC
La Banque Royale du Canada est
une institution financière mondiale définie par sa raison
d'être, guidée par des principes et orientée vers l'excellence
en matière de rendement. Notre succès est attribuable aux
quelque 86 000 employés qui mettent à profit leur
créativité et leur savoir-faire pour concrétiser notre vision, nos
valeurs et notre stratégie afin que nous puissions
contribuer à la prospérité de nos clients et au dynamisme des
collectivités. Selon la
capitalisation boursière, nous sommes la plus importante
banque du Canada et l'une des plus grandes banques du
monde. Nous avons adopté un modèle d'affaires diversifié axé
sur l'innovation et l'offre d'expériences exceptionnelles à nos
17 millions de clients au Canada, aux États-Unis et
dans 27 autres pays. Pour en savoir plus, visitez le site
rbc.com.
Nous sommes fiers d'appuyer une grande diversité d'initiatives
communautaires par des dons, des investissements dans la
collectivité et le travail bénévole de nos employés. Pour de plus
amples renseignements, visitez le site
www.rbc.com/collectivite-impact-social.
Les désignations
commerciales utilisées dans le présent communiqué portant sur les
résultats comprennent le symbole du LION et du
GLOBE TERRESTRE, BANQUE ROYALE DU CANADA et
RBC, lesquelles sont des désignations commerciales de la
Banque Royale du Canada utilisées par la
Banque Royale du Canada ou par ses filiales
autorisées. Toutes les autres désignations commerciales mentionnées
dans le présent communiqué portant sur les résultats,
y compris celles qui ne sont pas la propriété de la
Banque Royale du Canada, sont la propriété de leurs
propriétaires respectifs.
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SOURCE Banque Royale du Canada