Le présent communiqué de presse contient des déclarations
prospectives. Pour obtenir une description des facteurs
de risque et des hypothèses connexes, veuillez consulter la section
« Mise en garde concernant les déclarations
prospectives » plus loin dans ce communiqué de presse.
- Bénéfice net de 734 millions $, en hausse de 149,7 %, et
bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires en hausse de
189 % à 685 millions $, ou 0,76 $ par action ordinaire, soit une
augmentation de 192,3 %; bénéfice net ajusté(1) de 751
millions $, en hausse de 31,1 %, générant un BPA
ajusté(1) de 0,83 $, en hausse de 31,7 %
- Croissance de 6,4 % des produits des activités ordinaires
consolidés et de 6,2 % du BAIIA ajusté(2)
- Nombre total combiné de 115 916 ajouts nets d'abonnés des
services sans fil utilisant des téléphones mobiles et des appareils
mobiles connectés, des services Internet et des services de télé IP
de détail, en hausse de 75 % d'un exercice à l'autre
- Croissance des produits tirés des services sans fil et de la
facturation moyenne par utilisateur (FMU)(4) de
téléphones mobiles la plus élevée du secteur, grâce à 44 433 ajouts
nets d'abonnés des services postpayés utilisant des téléphones
mobiles, en hausse de 45 393 et à l'augmentation de 22,2 % des
ajouts nets d'abonnés utilisant des appareils mobiles connectés
pour atteindre 47 449
- Hausse de 80 %, à 27 112, des ajouts nets des abonnés des
services Internet de détail, et hausse de 12 % des produits tirés
des services résidentiels Internet; jusqu'à 900 000 nouveaux
emplacements couverts par le réseau à fibre optique et le service
Internet sans fil en 2021
- Leadership croissant en matière de 5G : total des avoirs
dans le spectre de la bande 3,5 GHz de 1 690 millions de MHz par
population; partenariats technologiques et stratégiques sur le
nuage avec AWS et Google Cloud; en bonne voie d'offrir la
couverture 5G à 70 % de la population nationale d'ici la fin de
l'exercice
- Situation financière solide : liquidités
disponibles(5) de 5,3 milliards $, permettant des
dépenses d'investissement accélérées, des achats de spectre pour
les services sans fil et une croissance du dividende
- Leadership continu en matière de normes ESG, comme
l'illustre le lancement de l'initiative Mieux pour tous
MONTRÉAL, le 5 août 2021 /CNW Telbec/ - BCE Inc. (TSX: BCE)
(NYSE: BCE) a présenté aujourd'hui ses résultats du deuxième
trimestre (T2).
« L'équipe Bell a fait progresser sa stratégie de
croissance au T2, grâce à une solide exécution dans tous nos
secteurs d'activité. Un an après les répercussions initiales de la
COVID-19 au début de 2020, nous avons enregistré une solide
augmentation continue des ajouts nets d'abonnés; une hausse de plus
de 6 % des produits des activités ordinaires consolidés et du
BAIIA ajusté grâce à une croissance de premier plan dans le secteur
des produits tirés des services sans fil et de la FMU; et une
nouvelle accélération des dépenses d'investissement dans des
réseaux de prochaine génération et des services innovants qui sont
essentiels à la reprise et à la croissance économique à long terme
du Canada, a affirmé Mirko Bibic, président et chef de la
direction de BCE Inc. et de Bell
Canada. Les Canadiens continuent d'opter pour la
puissance de nos réseaux de prochaine génération comme la 5G et
l'Internet pure fibre, ce qui se reflète dans la hausse de
12 % des produits tirés des services Internet résidentiels et
la croissance de 75 % des ajouts nets totaux d'abonnés des
services Internet de détail, de télé IP, ainsi que de téléphonie
mobile et d'appareils connectés, de même que dans le déploiement
continu de la plateforme de médias numériques exclusive et des
services connexes. »
« La vigueur constante de nos flux de trésorerie
disponibles et la solide situation financière générale de Bell
rendent possibles l'accélération historique de notre réseau dans
toutes les régions, propulsée par les politiques gouvernementales
encourageant les investissements dans l'infrastructure de prochaine
génération et par notre acquisition récente d'un important bloc de
spectre 5G; la croissance continue des dividendes pour nos
actionnaires; et la poursuite de notre leadership visant la
création d'un Canada diversifié, durable et branché, incarné par la
nouvelle initiative Mieux pour tous, qui englobe toutes nos
initiatives en matière d'ESG. Depuis un an et demi, les employés de
Bell dans chaque province et territoire relèvent jour et nuit le
défi de permettre à la population canadienne de demeurer connectée,
informée et soutenue pendant la crise. La performance
extraordinaire de notre équipe au T2, annoncée aujourd'hui,
illustre le fait que nous allons de l'avant et misons sur
l'expérience de 141 ans de Bell en matière de service, d'innovation
et d'investissement comme jamais auparavant, pour le bien de toutes
nos parties prenantes. »
PRINCIPAUX FAITS RÉCENTS TOUCHANT NOS ACTIVITÉS
Cultiver notre leadership en matière d'ESG grâce au lancement
de l'initiative Mieux pour tous
Centralisant les multiples
initiatives de Bell afin d'ouvrir la voie en matière de normes
environnementales, sociales et de gouvernance (ESG), le programme
Mieux pour tous a continué de générer des résultats positifs pour
les parties prenantes de Bell. Nous avons continué d'accélérer le
déploiement des réseaux 5G, de fibre optique et en milieu
rural; lancé un nouveau cadre de financement durable et réalisé le
premier placement d'obligations placement d'obligations durables du
secteur; adopté des cibles fondées sur la science pour réduire les
émissions de gaz à effet de serre; introduit l'environnement de
réponse unifié de sécurité de Bell (ERUSB), une solution de
cybersécurité gérée qui améliore la protection et la gestion des
données pour les clients de Bell Marchés Affaires; annoncé que les
nouvelles demandes de don sont maintenant acceptées pour le Fonds
diversité Bell Cause pour la cause, qui soutient les communautés
noires, autochtones et de couleur; et lancé la deuxième phase du
Fonds postsecondaire Bell Cause pour la cause, qui rehausse la
santé mentale des étudiants du postsecondaire du Canada.
Bâtir les meilleurs réseaux plus rapidement
Les
dépenses d'investissement de BCE ont été portées à
1,2 milliard $ - soit une hausse de 34,1 % par
rapport au T2 de l'exercice précédent - ce qui reflète l'exécution
continue du plan de déploiement accéléré du réseau de Bell, qui
soutient la reprise à la suite de la crise de la COVID-19 au Canada
et qui est rendu possible par les gouvernements et les organismes
de réglementation, qui appuient les investissements importants dans
les infrastructures de communication de prochaine génération, dont
l'expansion du service Internet résidentiel sans fil dans les
collectivités rurales et éloignées du Manitoba; l'accès Internet entièrement optique
dans les petites collectivités en Ontario et au Québec; et le réseau
mobile 5G dans plus de 50 nouvelles collectivités au
Canada atlantique, en Ontario, au
Québec et au Manitoba. Bell a
continué de travailler étroitement avec les gouvernements sur des
projets visant à offrir l'accès à large bande à des collectivités
éloignées et à d'autres régions difficiles à desservir, notamment
dans le cadre de l'Opération haute vitesse, au Québec, et de
l'initiative fédérale Fonds pour la large bande
universelle.
Accélérer le leadership de Bell dans la 5G
Bell
accroît son leadership en matière de 5G grâce à l'acquisition d'un
spectre de 3 500 MHz de premier ordre dans des marchés
urbains, de taille moyenne et ruraux, au coût par mégahertz par
population le moins élevé parmi tous les grands fournisseurs,
portant à 37 % la part de Bell
de ce spectre 5G de premier ordre offert à toutes les
entreprises titulaires. De nouveau nommé réseau 5G le plus
rapide au Canada (en anglais seulement), Bell 5G a
également lancé le premier service canadien d'itinérance 5G
aux États-Unis. Bell a annoncé des partenariats stratégiques sur le
nuage et technologiques avec Amazon Web Services (AWS) et Google
Cloud, ainsi qu'avec Casa Systems (en anglais seulement), un
fournisseur de matériel 5G dans les résidences et locaux
des clients, alors que Bell se prépare à lancer son service
Internet résidentiel sans fil 5G dans les régions rurales plus
tard cette année.
Offrir le contenu le plus captivant
Accroissant notre
position de chef de file des médias sportifs multiplateformes, Bell
a acquis le Groupe de course Octane, promoteur du Grand Prix de
Formule 1 du Canada, ainsi que les droits de diffusion des courses
de la Série W, en partenariat avec Formula 1; étendu son
partenariat avec les Jets de Winnipeg (en anglais seulement) et annoncé la
conclusion d'un nouveau partenariat avec les Blue Bombers de
Winnipeg; et signé ou prolongé des
ententes avec Wimbledon (en anglais seulement), LaLiga, la
Ligue canadienne de hockey (en anglais seulement) et la Ligue
nationale de crosse (en anglais seulement). La finale UEFA
Euro 2020 (en anglais seulement) a
été l'une des émissions les plus écoutées de l'année à CTV et TSN
et l'événement en direct le plus populaire de l'histoire du service
de diffusion en continu de TSN. Le réseau de langue française de
Bell Média Noovo a célébré une première année à succès avec une
augmentation d'auditoire de 10 %; MuchMusic (en anglais
seulement) a été revitalisée en tant que chaîne numérique
disponible sur les principaux réseaux sociaux; et Virgin Mobile
Canada est devenue Virgin Plus, reflétant l'évolution de son offre
de services pour inclure les services télé et Internet.
RÉSULTATS DU T2 DE BCE
Faits saillants financiers
(en millions $, sauf
les montants par action)
(non audité)
|
T2
2021
|
T2
2020
|
% de
variation
|
|
BCE
|
|
|
|
|
Produits
d'exploitation
|
5 698
|
5 354
|
6,4
|
%
|
Bénéfice
net
|
734
|
294
|
149,7
|
%
|
Bénéfice net
attribuable aux actionnaires ordinaires
|
685
|
237
|
189,0
|
%
|
Bénéfice net
ajusté
|
751
|
573
|
31,1
|
%
|
BAIIA
ajusté
|
2 476
|
2 331
|
6,2
|
%
|
Bénéfice net par
action ordinaire (BPA)
|
0,76
|
0,26
|
192,3
|
%
|
BPA ajusté
|
0,83
|
0,63
|
31,7
|
%
|
Flux de trésorerie
provenant des activités d'exploitation
|
2 499
|
2 562
|
(2,5)
|
%
|
Dépenses
d'investissement
|
(1 207)
|
(900)
|
(34,1)
|
%
|
Flux de trésorerie
disponibles(3)
|
1 248
|
1 611
|
(22,5)
|
%
|
« Nous avons enregistré une solide performance financière
consolidée ce trimestre, y compris une accélération de la
croissance des produits d'exploitation et du BAIIA ajusté, alors
que nous avons surmonté les répercussions importantes de la
COVID-19 survenues au T2 de l'exercice précédent, démontrant ainsi
notre dynamisme continu sur le marché et l'exécution remarquable
dans tous les secteurs de Bell. Dans un climat d'investissement de
plus en plus favorable et dans un contexte de regain de confiance
des consommateurs, les services sans fil, Internet résidentiels et
de médias ont été particulièrement vigoureux. Bien que les dépenses
en télécommunications des grandes entreprises clientes aient
continué d'être affectées par le contexte économique actuel, les
produits tirés des solutions de services d'affaires ont augmenté
d'un exercice à l'autre, un indicateur très positif de la poursuite
de la reprise générale », a affirmé Glen LeBlanc, chef des affaires financières de
BCE et de Bell Canada.
« La situation financière et la position concurrentielle de
BCE sont exceptionnelles, et notre robuste bilan de première
qualité est soutenu par des liquidités disponibles de
5,3 milliards $ à la fin du T2 et des régimes de retraite
à cotisations définies pleinement capitalisés. Grâce à un deuxième
trimestre de croissance consolidée saine, nous restons sur la bonne
voie pour atteindre nos objectifs financiers pour l'ensemble de
l'exercice 2021, même en tenant compte de l'augmentation des
dépenses dans le cadre de notre programme d'accélération des
dépenses d'investissement récemment bonifié. »
- Le total des produits d'exploitation a augmenté de 6,4 % par
rapport au T2 2020 pour s'établir à 5 698 millions $, stimulé par
l'augmentation de 5,0 % des produits tirés des services, qui ont
atteint 5 040 millions $, et par celle de 18,8 % des produits
d'exploitation tirés des produits, qui ont totalisé 658 millions $.
Ce résultat s'explique par la forte croissance des services sans
fil, Internet résidentiels et de médias d'un exercice à l'autre
alors que nous avons commencé à absorber les répercussions marquées
de la COVID-19 survenues au T2 2020, trimestre le plus durement
touché par la crise. Les produits tirés des Services sur fil de
Bell ont diminué en raison de la charge réglementaire de 44
millions $ imposée pour la période de mars 2016 jusqu'en juin 2021
suite à la décision récemment rendue par le CRTC visant les tarifs
de gros finaux d'accès Internet de gros. En ne tenant pas compte de
cette incidence réglementaire, le total des produits d'exploitation
de BCE a augmenté de 7,2 % pour le trimestre.
- Le bénéfice net a augmenté de 149,7 %, passant à 734 millions
$, et le bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires a
totalisé 685 millions $, ou 0,76 $ par action, en hausse de 189,0 %
et de 192,3 %, respectivement. Les hausses s'expliquent par la
croissance du BAIIA ajusté du fait de l'amélioration des activités
de consommation et des activités commerciales à mesure que
l'économie se remet de la COVID-19; la baisse d'un exercice à
l'autre des pertes de valeur hors trésorerie du secteur Média; et
l'augmentation des autres produits découlant en grande partie des
profits nets liés à la valeur de marché sur dérivés utilisés à
titre de couverture économique des régimes de rémunération fondée
sur des actions qui sont réglés en instruments de capitaux propres.
Ces facteurs ont été en partie annulés par l'augmentation de la
dotation aux amortissements et de l'impôt sur le résultat.
- Le bénéfice net ajusté s'est établi à 751 millions $, soit 0,83
% par action ordinaire, en hausse de 31,1 % et de 31,7 %,
respectivement, par rapport à 573 millions $, soit 0,63 $ par
action ordinaire, au T2 2020.
- Le BAIIA ajusté a augmenté de 6,2 % au T2 pour s'établir à 2
476 millions $, en raison des augmentations d'un exercice à l'autre
dans tous les secteurs d'activité de Bell. Au T2, la marge du BAIIA
ajusté consolidée(2) s'est établie à 43,5 %, ce qui est
identique à ce qu'elle était au T2 2020. En ne tenant pas compte de
la charge de 44 millions $ liée aux services Internet de gros
imposée par un organisme de réglementation au titre des Services
sur fil de Bell dont il est question plus haut, le BAIIA ajusté a
augmenté de 8,1 % et la marge s'est accrue de 0,4 point de
pourcentage, s'établissant à 43,9 % pour le trimestre.
- Les dépenses d'investissement de Bell ont augmenté de 34,1 %
pour s'établir à 1 207 millions $, ce qui représente un ratio
d'intensité du capital(4) de 21,2 %, comparativement à
16,8 % au T2 2020. La hausse des dépenses d'investissement d'un
exercice à l'autre s'inscrit dans la foulée de notre programme sur
deux ans visant à accélérer le déploiement des réseaux Internet
résidentiels sans fil 5G, de fibre optique et en zones rurales de
Bell.
- Les flux de trésorerie provenant des activités d'exploitation
de BCE ont totalisé 2 499 millions $, en baisse de 2,5 % par
rapport au T2 2020, en raison de l'augmentation de l'impôt sur le
résultat et des coûts liés aux indemnités de départ et autres
versés suite aux réductions de personnel survenues plus tôt cette
année, facteurs en partie neutralisés par l'accroissement du BAIIA
ajusté.
- Les flux de trésorerie disponibles ont diminué de 22,5 % pour
s'établir à 1 248 millions $, par rapport à 1 611 millions $ au T2
2020, en raison de l'augmentation des dépenses d'investissement et
de la baisse des flux de trésorerie provenant des activités
d'exploitation, déduction faite des fonds provenant des activités
abandonnées, ainsi que des coûts liés aux acquisitions et autres
payés.
RÉSULTATS D'EXPLOITATION DU T2 DE BCE PAR SECTEUR
Services sans fil de Bell
- Le total des produits d'exploitation tirés des services sans
fil a augmenté de 10,7 % pour s'établir à 2 128 millions $,
reflétant l'accroissement des produits des activités ordinaires
tirés des services et des produits.
- Parmi l'ensemble des joueurs nationaux de son secteur, Bell a
enregistré la plus forte croissance des produits tirés des services
sans fil, lesquels ont augmenté de 5,8 % pour s'établir à 1 580
millions $, soit la première hausse trimestrielle d'un exercice à
l'autre depuis le début de la crise de la COVID-19. Cette hausse
est attribuable à la saine croissance du nombre d'abonnés au cours
des 12 derniers mois, en raison de l'accent que nous mettons sur
les activations de téléphones intelligents à valeur plus élevée, de
la forte demande continue pour les solutions IdO de Bell, ainsi que
de l'augmentation des produits moyens par utilisateur de téléphones
mobiles d'un exercice à l'autre.
- Les produits d'exploitation tirés des produits ont augmenté de
27,7 % pour s'établir à 548 millions $, ce qui s'explique par la
hausse des volumes de transactions clients, notamment au titre des
canaux directs et numériques; la proportion plus importante des
ventes d'appareils mobiles haut de gamme; et l'accroissement d'un
exercice à l'autre des ventes de produits électroniques grand
public dans les magasins La Source en raison de la réouverture des
magasins.
- Le BAIIA ajusté des Services sans fil a augmenté de 10,2 % pour
s'établir à 969 millions $ en raison de l'effet de la forte
croissance des produits tirés des services, alors que la marge
connexe s'est contractée de 0,2 point de pourcentage pour s'établir
à 45,5 % du fait de l'accroissement des coûts d'exploitation
attribuable aux activités commerciales accrues.
- Bell a ajouté au total 46 247 nouveaux abonnés nets des
services postpayés et prépayés utilisant des téléphones mobiles, en
hausse par rapport à 12 110 au T2 2020.
- Le nombre d'ajouts nets d'abonnés des services postpayés
utilisant des téléphones mobiles a été porté à 44 433, en regard
d'une perte nette de 960 au T2 2020. L'amélioration marquée reflète
la hausse de 35,2 % du nombre d'ajouts bruts, soulignant l'accent
que nous mettons sur les transactions portant sur des téléphones
intelligents de grande valeur, la demande refoulée des
consommateurs ainsi que les volumes de ventes dans les canaux
directs et numériques, qui ont équilibré les restrictions continues
sur le magasinage en personne. Le taux de désabonnement des abonnés
des services postpayés utilisant des téléphones
mobiles(4) s'est établi à 0,83 %, en regard de 0,76 % à
l'exercice précédent.
- Le nombre d'ajouts nets d'abonnés des services prépayés
utilisant des téléphones mobiles a diminué à 1 814, alors qu'il
était de 13 070 au T2 2020. Cette baisse traduit la diminution de
18,4 % des activations brutes du fait du recul des activités sur le
marché en raison du ralentissement de l'immigration et des voyages
internationaux durant la pandémie de COVID-19. Cette baisse a été
en partie contrebalancée par l'amélioration de 0,65 point de
pourcentage du taux de désabonnement des abonnés des services
prépayés utilisant des téléphones mobiles, qui s'est établi à 3,98
%.
- La clientèle d'abonnés utilisant des appareils mobiles de Bell
totalisait 9 212 995 abonnés à la fin du T2 2021, en hausse de 2,6
% par rapport à l'exercice précédent, ce qui comprend 8 405 697
abonnés des services postpayés, en hausse de 2,8 %, et 807 298
abonnés des services prépayés, nombre qui est demeuré relativement
inchangé en regard du T2 2020.
- La FMU combinée des abonnés utilisant des téléphones mobiles a
augmenté de 3,3 % pour s'établir à 72,21 $, ce qui est la hausse la
plus élevée du secteur et s'explique par l'accent que nous mettons
sur les activations de plus grande valeur, y compris la base
croissante de clients utilisant des programmes de paiements par
versements et par l'augmentation des produits tirés des services
d'itinérance et des frais de dépassement de données.
- Les activations nettes d'abonnés utilisant des appareils
mobiles connectés ont augmenté de 22,2 % pour atteindre 47 449 du
fait de la forte demande continue pour les solutions IdO de Bell.
La clientèle d'abonnés utilisant des appareils mobiles connectés
totalisait 2 177 761 abonnés à la fin du T2 2021, en hausse de 13,7
% par rapport à l'exercice précédent.
Services sur fil de Bell
- Le total des produits d'exploitation tirés des services sur fil
a diminué de 1,3 % au T2 2021 pour s'établir à 3 003 millions $, ce
qui se traduit par la diminution des produits d'exploitation tirés
des services et des produits.
- Au T2, les produits tirés des services sur fil se sont
ressentis de la charge réglementaire de 44 millions $ au titre de
la décision récemment rendue par le CRTC visant les tarifs de gros
finaux d'accès Internet de gros pour la période de mars 2016 à juin
2021, et ont diminué de 0,9 % d'un
exercice à l'autre pour s'établir à 2 891 millions $. En ne tenant
pas compte de cette charge, les produits tirés des services sur fil
ont augmenté de 0,6 % en raison de la hausse de 12 % des produits
tirés des services Internet résidentiels, en partie contrebalancée
par le ralentissement des résultats des services sur fil d'affaires
attribuable à la demande exceptionnellement élevée au T2 2020 pour
les services de téléconférence, les outils de collaboration à
distance et les services vocaux alors que les Canadiens se sont
tournés vers le télétravail avec la mise en œuvre des restrictions
liées à la COVID-19.
- Les produits d'exploitation tirés des produits ont diminué de
11,1 % par rapport au T2 2020 pour s'établir à 112 millions $, ce
qui s'explique d'abord et avant tout par la diminution des ventes
d'équipement de transmission de données dans le secteur
public.
- Le BAIIA ajusté des services sur fil s'est accru de 1,1 % pour
s'établir à 1 293 millions $, ce qui traduit la baisse de 3,1 % des
coûts d'exploitation ayant entraîné l'amélioration de 1,1 point de
pourcentage de la marge, qui s'est établie à 43,1 %. En ne tenant
pas compte de l'incidence réglementaire liée aux services Internet
de gros dont il est question plus haut, le BAIIA ajusté des
services sur fil a augmenté de 4,5 %, pour une marge de 43,9
%.
- Bell a ajouté 17 680 nouveaux abonnés des services Internet de
détail, en baisse par rapport à 19 023 au T2 2020, alors que la
demande de services à large bande était forte et que le nombre de
désabonnements était moins élevé en raison de la COVID-19. En ce
qui concerne les connexions directes par fibre optique de Bell, les
ajouts nets d'abonnés des services Internet de détail ont totalisé
27 112, soit une hausse de 79,6 % par rapport à l'exercice
précédent. La clientèle des services Internet de détail totalisait
3 748 256 abonnés à la fin du T2, en hausse de 4,2 % par rapport au
T2 de l'exercice précédent, dont quelque 1,9 million d'abonnés des
services Internet par fibre résidentiels, en hausse de 15 %.
- Bell Télé a misé sur sa stratégie multimarques, y compris les
abonnements à l'application Bell Télé Fibe seule et aux services de
diffusion en continu de Virgin TV, pour enregistrer l'ajout de 4
540 nouveaux abonnés des services de télé IP de détail, par rapport
à une perte nette de 3 604 abonnés au T2 2020. À la fin du T2, Bell
desservait 1 821 609 abonnés des services de télé IP de détail, en
hausse de 3,1 % par rapport à l'exercice précédent.
- Les pertes nettes d'abonnés du service de télé par satellite de
détail ont diminué de 20,7 % pour s'établir à 9 468, en raison de
la hausse saisonnière et de l'augmentation des activations par des
petites entreprises en regard de l'exercice précédent. Les services
de télé par satellite de détail de Bell totalisaient 896 831
abonnés à la fin du T2, en baisse de 7,7 % par rapport à l'exercice
précédent.
- Les pertes nettes d'abonnés des SAR résidentiels de détail ont
totalisé 51 292 abonnés, en hausse par rapport à 48 405 au T2 2020,
alors que nous avions enregistré un nombre moins élevé de
désabonnements en raison de la COVID-19. Le nombre d'abonnés des
SAR résidentiels de détail s'établissait à 2 381 571 abonnés à la
fin du T2, en baisse de 8,0 % par rapport à l'exercice
précédent.
Bell Média
- Les produits d'exploitation de Bell Média ont augmenté de 30,4
% au T2 pour s'établir à 755 millions $, ce qui s'explique par
l'accroissement des dépenses des annonceurs à l'échelle des
plateformes télé, radio, affichage et médias numériques, du fait de
la reprise des activités commerciales touchées par la COVID-19 au
T2 2020, ainsi que par l'augmentation des produits tirés des frais
d'abonnement.
- Les produits tirés du contenu numérique ont affiché une hausse
de 57 % pour le trimestre, représentant maintenant 19 % du total
des produits des activités ordinaires de Bell Média, en hausse de
16 % par rapport au T2 2020.
- Le BAIIA ajusté s'est accru de 23,7 % pour s'établir à 214
millions $, du fait de l'incidence de l'accroissement des produits
des activités ordinaires d'un exercice à l'autre. La marge a
cependant diminué passant de 29,9 % à 28,3 %, ce qui s'explique par
l'augmentation de 33,3 % des coûts d'exploitation avec le retour du
contenu sportif en direct et des productions télévisuelles, ainsi
que par la non-récurrence des montants reçus en vertu de la
Subvention salariale d'urgence du Canada (SSUC) au T2 2020.
- Les produits tirés de la publicité se sont accrus de 65 % pour
le trimestre, du fait de la hausse des dépenses des annonceurs
attribuable au retour du contenu sportif en direct et à
l'accroissement de la programmation de contenu télévisuel original
par rapport à l'exercice précédent, ainsi que par l'apport
supplémentaire de la chaîne de langue française Noovo.
- SAM TV, l'outil de vente de Bell Média qui permet aux
annonceurs et autres professionnels du marketing de cibler le bon
public, sur la bonne plateforme média, a plus que triplé ses
produits tirés des ventes de 2020 au cours des six premiers mois de
2021.
- TSN et RDS demeurent les premières chaînes de sports anglophone
et francophone au Canada depuis le début de l'année de diffusion
2020-2021.
- Noovo continue à accroître considérablement sa part de marché
chez son public cible par rapport à ses concurrents de langue
française, ayant augmenté son auditoire aux heures de grande écoute
et sa part de marché de 2 points par rapport à l'exercice
précédent.
- Les produits tirés des frais d'abonnement ont augmenté de 6 %,
essentiellement du fait de la croissance du nombre d'abonnés des
services de diffusion en continu de Crave et de TSN Direct. Le
nombre d'abonnés de Crave a augmenté de 6 % par rapport à
l'exercice précédent et s'approche de la barre des 3 millions
d'abonnés, tandis que le nombre d'abonnés de TSN Direct a plus que
doublé, en partie grâce aux sommets atteints avec l'Euro 2020 de l'UEFA.
DIVIDENDE SUR ACTIONS ORDINAIRES
Le conseil
d'administration de BCE a déclaré un dividende trimestriel de
0,875 $ par action ordinaire, payable le 15 octobre 2021
aux actionnaires inscrits à la fermeture des bureaux
le 15 septembre 2021.
PERSPECTIVES POUR 2021
BCE a confirmé les objectifs de
son orientation financière pour 2021, tels qu'ils ont été présentés
le 4 février 2021 :
|
Orientation en
date du 4 février
|
Orientation en
date du 5 août
|
Croissance des
produits
|
2 % -
5 %
|
Sur la bonne
voie
|
Croissance du BAIIA
ajusté
|
2 % -
5 %
|
Sur la bonne
voie
|
Intensité du
capital
|
18 % -
20 %
|
Sur la bonne
voie
|
Croissance du BPA
ajusté
|
1 % -
6 %
|
Sur la bonne
voie
|
Flux de trésorerie
disponibles (en M$)
|
2 850 $ -
3 200 $
|
Sur la bonne
voie
|
Dividende sur actions
ordinaires annualisé
|
3,50 $
|
3,50 $
|
La pandémie de COVID-19 a continué de nuire à notre performance
financière et opérationnelle au T2 2021 du fait des mesures
imposées par les gouvernements pour lutter contre la pandémie, qui
ont comprimé les activités commerciales durant le trimestre. En
revanche, comparativement à la période correspondante de l'exercice
précédent, l'incidence de la pandémie sur notre performance d'un
exercice à l'autre a considérablement diminué, puisque les
résultats du deuxième trimestre de 2020 auront été les plus
durement touchés par la pandémie. Qui plus est, cela fait plus d'un
an que la pandémie a commencé à nuire à notre performance. Nous
avons donc depuis lors adapté nombre d'aspects de nos activités
afin de mieux évoluer dans ce contexte. Les produits d'exploitation
tirés des produits et des services d'itinérance des Services sans
fil de Bell ainsi que les produits tirés de la publicité de Bell
Média ont continué de se ressentir défavorablement de la pandémie
durant le trimestre à l'étude, quoique dans une mesure moindre
qu'au T2 2020. Au fil de la baisse des cas de COVID-19 et de la
progression des campagnes de vaccination, certaines mesures
d'urgence ont été assouplies vers la fin du deuxième trimestre, ce
qui a permis à de nombreuses entreprises de reprendre dans une
certaine mesure leurs activités commerciales, voire de les
accroître.
En raison des incertitudes entourant la gravité et la durée de
la pandémie de COVID-19, et des éventuelles résurgences, ainsi que
des diverses issues possibles, il est difficile pour le moment
d'estimer l'incidence de la pandémie de COVID-19 sur notre
entreprise ou sur nos futurs résultats financiers, ainsi que sur
les hypothèses connexes. Notre entreprise et nos résultats
financiers pourraient continuer de subir une incidence négative
considérable durant les périodes à venir, voire des répercussions
encore plus défavorables. L'ampleur des conséquences continues de
la pandémie de COVID-19 sur notre société dépendra de l'évolution
de la situation, laquelle est difficile à prévoir, notamment en ce
qui a trait à la prévalence de variants de la COVID-19 qui sont
plus contagieux et susceptibles de poser des risques plus sérieux
pour la santé, à la distribution en temps opportun de vaccins et de
traitements efficaces, au développement éventuel et à la
distribution de nouveaux vaccins ou traitements, à la période
nécessaire pour atteindre l'immunité collective, de même qu'à
d'éventuelles nouvelles informations concernant la gravité et la
durée de la pandémie de COVID-19, notamment le nombre et la gravité
des résurgences de cas de COVID-19, ainsi que les mesures requises
pour juguler le coronavirus ou remédier à ses effets, entre autres
choses. Veuillez consulter la section « Mise en garde
concernant les déclarations prospectives » plus loin dans ce
communiqué pour obtenir une description des principales hypothèses
sur lesquelles repose l'orientation financière 2021 de BCE,
ainsi que des principaux facteurs de risque connexes.
TÉLÉCONFÉRENCE À L'INTENTION DES ANALYSTES
FINANCIERS
BCE tiendra une téléconférence à l'intention des
analystes financiers afin de traiter de ses résultats du T2 2021,
le jeudi 5 août, à 8 h (heure de l'Est). Les journalistes
sont invités à y assister à titre d'auditeurs seulement. Pour
y assister, veuillez composer le numéro sans frais
1-800-806 5484 ou le 416-340-2217
et utilisez le code d'identification 2447561#. Une
reprise sera disponible jusqu'à minuit le 5 septembre 2021 au
1800408-3053 ou au 905-694-9451 (composez le code
d'identification 8741283#).
La conférence téléphonique fera également l'objet d'une
webdiffusion en direct sur le site Web de BCE, à Téléconférence sur
les résultats de BCE pour le T2 2021.
NOTES
L'information contenue dans le présent
communiqué est non auditée.
(1) Les termes bénéfice net ajusté et BPA ajusté
n'ont pas de définition normalisée en vertu des normes IFRS.
Il est donc peu probable qu'ils puissent être comparés avec des
mesures similaires présentées par d'autres émetteurs. Nous
définissons le bénéfice net ajusté comme le bénéfice net
attribuable aux actionnaires ordinaires avant les coûts liés aux
indemnités de départ, aux acquisitions et autres, les pertes nettes
(profits nets) lié(e)s à la valeur de marché sur dérivés utilisés à
titre de couverture économique des régimes de rémunération fondée
sur des actions qui sont réglés en instruments de capitaux propres,
les pertes nettes (profits nets) sur placements, les coûts liés au
remboursement anticipé de la dette, la perte de valeur d'actifs et
les activités abandonnées, déduction faite de l'impôt et des
participations ne donnant pas le contrôle (PNDPC). Nous définissons
le BPA ajusté comme le bénéfice net ajusté par action ordinaire de
BCE. Nous utilisons le bénéfice net ajusté et le BPA ajusté et nous
croyons que certains investisseurs et analystes utilisent ces
mesures, entre autres, pour évaluer la performance de nos activités
avant l'incidence des coûts liés aux indemnités de départ,
aux acquisitions et autres, des pertes nettes (profits nets)
lié(e)s à la valeur de marché sur dérivés utilisés à titre de
couverture économique des régimes de rémunération fondée sur des
actions qui sont réglés en instruments de capitaux propres, des
pertes nettes (profits nets) sur placements, des coûts liés au
remboursement anticipé de la dette, de la perte de valeur d'actifs
et des activités abandonnées, déduction faite de l'impôt et
des PNDPC. Nous excluons ces éléments parce qu'ils ont une
influence sur la comparabilité de nos résultats financiers et
peuvent éventuellement donner une fausse représentation de
l'analyse des tendances en matière de performance de l'entreprise.
Le fait d'exclure ces éléments ne veut pas dire qu'ils sont non
récurrents. Le bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires
et le BPA sont les mesures financières conformes aux
normes IFRS les plus comparables. Le tableau suivant présente
un rapprochement du bénéfice net attribuable aux actionnaires
ordinaires et du BPA avec le bénéfice net ajusté, préparé sur
une base consolidée et par action ordinaire de BCE (BPA
ajusté), respectivement.
(en millions $, sauf les montants par action)
|
|
T2 2021
|
T2 2020
|
|
|
TOTAL
|
PAR
ACTION
|
TOTAL
|
PAR ACTION
|
Bénéfice net
attribuable aux actionnaires ordinaires
|
685
|
0,76
|
237
|
0,26
|
Coûts liés aux
indemnités de départ, aux acquisitions et autres
|
5
|
0,01
|
16
|
0,02
|
(Profits nets) pertes
nettes lié(e)s à la valeur de marché sur dérivés utilisés à titre
de couverture économique des
régimes de rémunération fondée sur des actions qui sont réglés en
instruments de capitaux propres
|
(73)
|
(0,09)
|
7
|
-
|
Pertes nettes
(profits nets) sur placements
|
14
|
0,02
|
(11)
|
(0,01)
|
Coûts liés au
remboursement anticipé de la dette
|
-
|
-
|
-
|
-
|
Perte de valeur
d'actifs
|
120
|
0,13
|
328
|
0,36
|
Bénéfice net lié
aux activités abandonnées
|
-
|
-
|
(4)
|
-
|
Bénéfice net
ajusté
|
751
|
0,83
|
573
|
0,63
|
(2) Les termes BAIIA ajusté et marge du
BAIIA ajusté n'ont pas de définition normalisée
en vertu des normes IFRS. Il est donc peu probable qu'ils
puissent être comparés avec des mesures similaires présentées par
d'autres émetteurs. Nous définissons le BAIIA ajusté comme les
produits d'exploitation moins les coûts d'exploitation, comme il
est présenté dans les états consolidés du résultat net
de BCE. Le BAIIA ajusté des secteurs de BCE
correspond au bénéfice sectoriel présenté à la note 3,
Information sectorielle, des états financiers
consolidés du T2 2021 de BCE. Nous définissons la marge
du BAIIA ajusté comme le BAIIA ajusté divisé par les produits
d'exploitation. Nous utilisons le BAIIA ajusté et la marge du
BAIIA ajusté pour évaluer la performance de nos activités,
puisqu'ils reflètent leur rentabilité continue. Nous croyons que
certains investisseurs et analystes utilisent le BAIIA ajusté pour
évaluer la capacité d'une société d'assurer le service de sa dette
et de satisfaire à d'autres obligations de paiement, et qu'il
constitue une mesure courante servant à évaluer les entreprises
dans le secteur des télécommunications. Nous croyons que certains
investisseurs et analystes utilisent également le BAIIA ajusté et
la marge du BAIIA ajusté pour évaluer la performance de nos
activités. Le BAIIA ajusté est également un facteur dans la
détermination de la rémunération incitative à court terme pour
l'ensemble des dirigeants. Il n'existe aucune mesure financière
conforme aux normes IFRS directement comparable au BAIIA
ajusté et à la marge du BAIIA ajusté. Pour remédier à cette
situation, le tableau suivant présente un rapprochement
du bénéfice net et du BAIIA ajusté.
(en millions $)
|
T2 2021
|
|
T2 2020
|
|
Bénéfice
net
|
734
|
|
294
|
|
Coûts liés aux
indemnités de départ,
aux acquisitions et autres
|
7
|
|
22
|
|
Amortissement des
immobilisations corporelles
|
905
|
|
869
|
|
Amortissement des
immobilisations incorporelles
|
248
|
|
234
|
|
Charges
financières
|
|
|
|
|
Charges
d'intérêts
|
268
|
|
280
|
|
Intérêts liés aux
obligations au titre
des avantages postérieurs à l'emploi
|
5
|
|
11
|
|
Perte de valeur
d'actifs
|
164
|
|
449
|
|
Autres (produits)
charges
|
(91)
|
|
80
|
|
Impôt sur le
résultat
|
236
|
|
96
|
|
Bénéfice net lié aux
activités abandonnées
|
-
|
|
(4)
|
|
BAIIA
ajusté
|
2 476
|
|
2 331
|
|
Produits d'exploitation de BCE
|
5
698
|
|
5
354
|
|
Marge du BAIIA
ajusté
|
43,5
|
%
|
43,5
|
%
|
(3) Le terme flux de trésorerie disponibles n'a
pas de définition normalisée en vertu des normes IFRS. Il est
donc peu probable qu'il puisse être comparé avec des mesures
similaires présentées par d'autres émetteurs. Nous définissons les
flux de trésorerie disponibles comme les flux de
trésorerie liés aux activités d'exploitation, déduction faite des
rentrées de trésorerie provenant des activités abandonnées, des
coûts liés aux acquisitions et autres payés, qui comprennent les
coûts importants liés aux litiges, et du financement des
cotisations volontaires aux régimes de retraite, moins les dépenses
d'investissement, les dividendes sur actions privilégiées et les
dividendes payés par des filiales aux détenteurs de PNDPC.
Nous excluons les rentrées de trésorerie provenant des activités
abandonnées, les coûts liés aux acquisitions et autres payés et le
financement des cotisations volontaires aux régimes de retraite
parce qu'ils ont une influence sur la comparabilité de nos
résultats financiers et peuvent éventuellement donner une fausse
représentation de l'analyse des tendances en matière
de performance de l'entreprise. Le fait d'exclure ces éléments
ne veut pas dire qu'ils sont non récurrents. Nous considérons
les flux de trésorerie disponibles comme un important indicateur de
la solidité financière et de la performance de nos activités, car
ils révèlent le montant des fonds disponibles pour payer des
dividendes sur actions ordinaires, rembourser la dette et
réinvestir dans notre société. Nous croyons que certains
investisseurs et analystes utilisent les flux de trésorerie
disponibles pour évaluer une entreprise et ses actifs sous-jacents
et pour évaluer sa solidité financière et la performance de ses
activités. Les flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation
sont la mesure financière conforme aux normes IFRS la plus
comparable. Le tableau suivant présente un rapprochement des flux
de trésorerie liés aux activités d'exploitation et des flux de
trésorerie disponibles, sur une base consolidée.
(en millions $)
|
T2 2021
|
T2 2020
|
Flux de trésorerie
provenant
des activités d'exploitation
|
2 499
|
2 652
|
Dépenses
d'investissement
|
(1 207)
|
(900)
|
Dividendes en
trésorerie payés
sur actions privilégiées
|
(31)
|
(33)
|
Dividendes en
trésorerie payés par des filiales
aux détenteurs de PNDPC
|
(15)
|
(12)
|
Coûts liés aux
acquisitions et autres payés
|
2
|
11
|
Rentrées de
trésorerie provenant des activités abandonnées
(inclus dans les flux de trésorerie liés aux
activités d'exploitation)
|
-
|
(17)
|
Flux de trésorerie
disponibles
|
1 248
|
1 611
|
(4) Nous utilisons la FMU, le taux de désabonnement, l'intensité
du capital et les unités d'abonnement afin d'évaluer les progrès
accomplis à l'égard de nos impératifs stratégiques. Ces indicateurs
de performance clés ne sont pas des mesures comptables et
pourraient ne pas être comparables à des mesures similaires
présentées par d'autres émetteurs.
(5) Les liquidités disponibles au 30 juin 2021 comprenaient
1 752 millions $ sous forme de trésorerie et
d'équivalents de trésorerie, un montant de 400 millions $
disponible aux termes de nos programmes de créances clients
titrisées et un montant de 3,2 milliards $ disponible aux
termes de nos facilités de crédit bancaire engagées.
MISE EN GARDE CONCERNANT LES DÉCLARATIONS
PROSPECTIVES
Certaines déclarations faites dans le présent
communiqué constituent des déclarations prospectives. Ces
déclarations comprennent, sans s'y limiter, des déclarations
concernant l'orientation financière de BCE (ce qui comprend les
produits des activités ordinaires, le BAIIA ajusté, l'intensité du
capital, le BPA ajusté et les flux de trésorerie disponibles), le
dividende sur actions ordinaires annualisé et l'objectif de
croissance du dividende de BCE pour 2021, nos plans en matière de
déploiement du réseau et de dépenses d'investissement et les
avantages qui devraient en découler, notamment notre programme de
dépenses d'investissement accrues sur deux ans en vue d'accélérer
le déploiement des réseaux Internet résidentiels sans fil 5G,
de fibre optique et en milieu rural, la réalisation de certains
objectifs ESG (y compris, sans s'y limiter, notre objectif de
devenir un chef de file en matière de normes ESG et de demeurer un
chef de file dans la construction d'un Canada diversifié, durable
et connecté et nos cibles en matière de réduction des émissions de
gaz à effet de serre), les effets possibles sur nos activités,
notre situation financière, notre situation de trésorerie et nos
résultats financiers de la pandémie de COVID-19, les perspectives
commerciales, objectifs, plans et priorités stratégiques
de BCE, ainsi que d'autres déclarations qui ne renvoient pas à
des faits historiques. Habituellement, les termes comme
hypothèse, but, orientation, objectif,
perspective, projet, stratégie, cible
et d'autres expressions semblables, ainsi que les temps et les
modes comme le futur et le conditionnel de certains verbes tels que
viser, s'attendre à, croire, prévoir,
avoir l'intention de, planifier, chercher à et
aspirer à, permettent de repérer les déclarations
prospectives. Toutes ces déclarations prospectives sont faites
conformément aux « dispositions refuges » prévues dans
les lois canadiennes applicables en matière de valeurs mobilières
et dans la loi américaine Private Securities Litigation
Reform Act of 1995.
Les déclarations prospectives, du fait même de leur nature, font
l'objet de risques et d'incertitudes intrinsèques et reposent sur
plusieurs hypothèses, tant générales que précises, donnant lieu à
la possibilité que les résultats ou les événements réels diffèrent
de façon significative des attentes exprimées ou sous-entendues
dans ces déclarations prospectives et que nos perspectives
commerciales, objectifs, plans et priorités stratégiques ne soient
pas atteints. Ces déclarations ne représentent pas une garantie de
la performance ni des événements futurs, et nous mettons en garde
le lecteur contre le risque que représente le fait de s'appuyer sur
ces déclarations prospectives. Les déclarations prospectives qui
figurent dans le présent communiqué décrivent nos attentes en date
du 5 août 2021 et, par
conséquent, pourraient changer après cette date. Sauf dans la
mesure où les lois applicables en matière de valeurs mobilières
l'exigent, nous ne nous engageons aucunement à mettre à jour ou à
réviser les déclarations prospectives figurant dans le présent
communiqué, même à la suite de l'obtention de nouveaux
renseignements ou de l'occurrence d'événements futurs, ni pour
toute autre raison. Nous envisageons à l'occasion des opérations
potentielles comme des acquisitions, des cessions, des fusions, des
regroupements d'entreprises, des investissements, des
monétisations, des coentreprises ou d'autres transactions, qui
pourraient être importantes. Sauf indication contraire de notre
part, les déclarations prospectives ne tiennent pas compte de
l'effet potentiel de telles opérations ni d'éléments exceptionnels
qui pourraient être annoncés ou survenir après le 5 août 2021.
L'incidence financière de ces transactions et de ces éléments
exceptionnels peut s'avérer complexe et dépend de faits
particuliers à chacun d'eux. Nous ne pouvons donc décrire de
manière significative l'incidence prévue ni la présenter de la même
façon que les risques connus touchant nos activités. Les
déclarations prospectives qui figurent dans le présent communiqué
sont présentées dans le but d'aider les investisseurs et les autres
parties à comprendre certains éléments clés de nos résultats
financiers prévus ainsi que nos objectifs, priorités
stratégiques et perspectives commerciales, et à mieux comprendre le
contexte dans lequel nous prévoyons exercer nos activités. Le
lecteur est donc mis en garde contre le fait que cette information
pourrait ne pas convenir à d'autres fins.
Hypothèses importantes
Les déclarations prospectives
contenues dans le présent communiqué de presse reposent sur un
certain nombre d'hypothèses relatives à l'économie, au marché, à
l'exploitation et à la finance formulées par BCE, notamment, sans
s'y limiter, les hypothèses qui suivent.
Hypothèses relatives à l'économie
canadienne
Nos déclarations prospectives reposent sur
certaines hypothèses concernant l'économie canadienne, lesquelles
sont pour leur part fondées sur d'importantes hypothèses concernant
l'évolution de la pandémie de COVID-19, notamment le déroulement de
la vaccination à l'échelle mondiale. On suppose notamment que
l'immunité collective sera atteinte d'ici le troisième trimestre de
2021 au Canada, plus tard en 2021 aux États-Unis et dans
d'autres économies avancées ainsi qu'en Chine, puis en
2022 dans les autres économies émergentes. Plus
particulièrement, nous nous sommes appuyés sur les hypothèses
suivantes :
- Une forte reprise de la croissance économique, l'économie se
remettant des répercussions de la pandémie de COVID-19 et des
restrictions connexes, hypothèse qui s'appuie sur la plus récente
estimation de la Banque du Canada en ce qui concerne la croissance
du produit intérieur brut canadien d'environ 6 % en moyenne pour
2021;
- une amélioration de la confiance des consommateurs alors que
les campagnes de vaccination se poursuivent et que les restrictions
s'assouplissent;
- une hausse des investissements des entreprises des secteurs
autres que le secteur pétrolier et gazier, à mesure que la demande
augmente et que la confiance des entreprises s'accroît;
- une progression de l'emploi en 2021, malgré les difficultés
auxquelles sont toujours confrontés certains secteurs;
- une intensification du commerce électronique;
- des taux d'immigration qui demeureront faibles jusqu'à ce que
les restrictions en matière de voyages internationaux et les autres
restrictions liées à la santé soient levées;
- de faibles taux d'intérêt se maintenant à leur niveau actuel ou
près de ce niveau dans un avenir rapproché;
- un dollar canadien qui devrait se maintenir à son niveau actuel
ou près de ce niveau. Toute nouvelle fluctuation pourrait être
tributaire de l'incidence de la vigueur du dollar américain, des
taux d'intérêt et des variations des prix des marchandises.
Hypothèses relatives au marché canadien
Nos
déclarations prospectives reflètent également diverses hypothèses
relatives au marché canadien. En particulier, nous avons formulé
les hypothèses relatives au marché suivantes :
- L'intensité continue de la concurrence dans le marché
résidentiel, le marché d'affaires et le marché de gros des services
sur fil et sans fil;
- une hausse, à un rythme toutefois moins rapide, du taux de
pénétration du secteur du sans-fil;
- un effritement du marché des services de connectivité pour les
services voix et données, dans la foulée de la migration des
clients d'affaires vers des solutions de télécommunications
traditionnelles à plus faible prix ou des services par
contournement offerts par des concurrents;
- bien que le marché publicitaire subisse toujours l'incidence
défavorable du report ou de l'annulation de campagnes publicitaires
dans plusieurs secteurs par suite du ralentissement économique
durant la pandémie de COVID-19, nous nous attendons à une reprise
graduelle en 2021;
- la diminution de la clientèle d'abonnés des entreprises de
distribution de radiodiffusion (EDR) provoquée par
l'intensification de la concurrence découlant du lancement constant
de plateformes de diffusion en continu de vidéo sur demande par
abonnement et de l'expansion des agrégateurs de services par
contournement.
Hypothèses relatives au secteur sans fil de
Bell
Nos déclarations prospectives reposent également
sur les hypothèses relatives aux activités d'exploitation internes
suivantes en ce qui concerne notre secteur Services sans fil de
Bell :
- Préserver notre part du marché des ajouts nets d'abonnés des
services postpayés dans le sans-fil pour les exploitants
nationaux;
- dans le rapport de gestion annuel 2020 de BCE, nous faisions
état de notre hypothèse relative à la croissance continue de notre
clientèle des services prépayés. Du fait de la contraction des taux
d'immigration et de la réduction des déplacements de clients en
raison de la pandémie de COVID-19, nous prenons désormais pour
hypothèse une croissance modérée seulement de notre clientèle des
services prépayés en 2021;
- maintenir la priorité sur l'accroissement du nombre d'abonnés
utilisant des téléphones mobiles, ainsi que l'introduction d'un
plus grand nombre d'appareils 5G, 4G évolution à long terme (LTE)
et LTE Advanced et de nouveaux services de données;
- poursuivre le déploiement du réseau sans fil 5G offrant une
couverture qui rivalise avec celle des autres exploitants nationaux
partout au Canada;
- dans le rapport de gestion annuel 2020 de BCE, nous faisions
état de notre hypothèse relative à la diminution des dépenses
relatives à l'acquisition d'abonnés et à la fidélisation de la
clientèle grâce à l'adoption plus généralisée des programmes de
financement des appareils. Du fait de la fermeture de magasins et
des limites visant les heures d'ouverture au premier semestre de
l'exercice, imputables aux restrictions imposées par les autorités
gouvernementales en raison de la pandémie de COVID-19, et de
l'intensification de la concurrence qui s'en est ensuivie comme
l'attestent les offres accrocheuses de rabais sur le marché, nous
prenons désormais pour hypothèse que les dépenses relatives à
l'acquisition d'abonnés et à la fidélisation de la clientèle
augmenteront en 2021;
- l'incidence défavorable sur la FMU combinée des abonnées
utilisant des téléphones mobiles découlant de la diminution des
produits tirés des services d'itinérance sortante attribuable aux
restrictions en matière de voyages liées à la pandémie de COVID-19
et de la diminution des produits tirés des frais de dépassement de
données imputable à la poursuite de l'adoption de plans de services
de données illimitées;
- favoriser l'adoption plus généralisée des plans de services de
données illimitées et des programmes de financement des
appareils;
- l'absence d'incidence significative de nature financière,
opérationnelle ou concurrentielle découlant de modifications de la
réglementation sur nos activités dans le sans-fil.
Hypothèses relatives à notre secteur des services sur fil
de Bell
Nos déclarations prospectives reposent aussi sur
les hypothèses relatives aux activités d'exploitation internes
suivantes en ce qui concerne notre secteur Services sur fil de Bell
:
- La croissance continue du nombre d'abonnés des services
Internet et de télé IP de détail;
- l'accentuation de la substitution technologique par le sans-fil
et les services Internet;
- la poursuite des lancements d'offres accrocheuses de forfaits
de services résidentiels par nos concurrents dans la
câblodistribution dans les zones où nous fournissons des services
sur fil locaux;
- la migration continue des grandes entreprises clientes vers les
systèmes sur protocole Internet;
- les pressions continues de la concurrence visant à modifier les
prix dans nos marchés d'affaires et de gros;
- le maintien de l'intensité de la concurrence dans nos marchés
des petites et des moyennes entreprises, les câblodistributeurs et
d'autres entreprises de télécommunications continuant de cibler les
clients d'affaires;
- la mise à l'épreuve des catégories de produits qui génèrent
habituellement des marges élevées par l'offre, en croissance au
Canada, de services sur demande des grands fournisseurs mondiaux de
solutions d'affaires pour la transmission de la voix et de données
au moyen de services en nuage et par contournement;
- l'adoption accélérée par les abonnés des services par
contournement entraînant la réduction des forfaits télé;
- la poursuite du déploiement du réseau de fibre permettant la
connexion directe d'un plus grand nombre de foyers et d'entreprises
dans la zone de couverture des services sur fil et de la
technologie sans fil fixe jusqu'aux locaux de l'abonné dans les
collectivités rurales;
- la consommation croissante des services de télé par
contournement et de vidéo en continu sur demande ainsi que la
multiplication des appareils, comme les tablettes, qui exigent une
bande passante très élevée, ce qui nécessitera un niveau
d'investissements constants;
- la réalisation d'économies de coûts du fait de la réduction du
nombre de postes de cadre, notamment à la suite de départs naturels
et de départs à la retraite, de la réduction des taux contractuels
des fournisseurs, de l'efficacité opérationnelle découlant de
l'expansion de la zone de couverture du réseau de fibre au moyen de
connexions directes, des changements liés aux comportements des
consommateurs et à l'innovation au chapitre des produits, de la
nouvelle technologie pour centres d'appels permettant de fournir
des fonctions libre-service ainsi que d'autres améliorations au
chapitre de l'expérience en matière de service à la clientèle;
- l'absence d'incidence significative de nature financière,
opérationnelle ou concurrentielle découlant de modifications de la
réglementation sur nos activités dans le sur-fil.
Hypothèses relatives à notre secteur Bell
Média
En outre, nos déclarations prospectives reposent
sur les hypothèses relatives aux activités d'exploitation internes
suivantes en ce qui concerne notre secteur Bell Média :
- Des produits des activités ordinaires totaux qui devraient
refléter la reprise économique graduelle en 2021 ainsi que la
croissance des produits tirés des frais d'abonnement et
l'établissement de tarifs stratégiques pour les ventes de
publicité. Les répercussions de la pandémie de COVID-19 sur
plusieurs secteurs de l'économie devraient toutefois continuer
d'exercer une pression à la baisse sur les produits des activités
ordinaires;
- la croissance continue des coûts du contenu média pour obtenir
de la programmation de qualité, ainsi que le retour de la
programmation sportive et de divertissement, même si, à court
terme, les retards de production, les saisons sportives écourtées
et d'éventuelles annulations causés par la pandémie de COVID-19
actuelle pourraient encore donner lieu à des économies;
- le soutien continuel de Crave grâce à une offre de contenu
élargie et à l'amélioration de l'expérience utilisateur;
- des investissements dans des émissions d'information pour Noovo
et davantage de programmation originale en français pour mieux
servir nos clients francophones en leur offrant un vaste éventail
de contenu dans la langue de leur choix et sur leurs plateformes
préférées;
- un système d'attribution de pointe amélioré par notre outil de
gestion stratégique des audiences (SAM);
- la capacité d'acquérir et de produire avec succès des émissions
à cotes d'écoute élevées et du contenu différencié;
- l'établissement et le maintien d'ententes stratégiques
relativement à l'approvisionnement en contenu sur tous les écrans
et toutes les plateformes;
- la poursuite de la monétisation des droits sur le contenu et
des propriétés de Bell Média sur l'ensemble des plateformes;
- l'absence d'incidence significative de nature financière,
opérationnelle ou concurrentielle découlant de modifications de la
réglementation sur nos activités dans les médias.
Hypothèses financières relatives à BCE
Nos
déclarations prospectives reposent également sur les hypothèses
financières internes suivantes concernant BCE pour 2021 :
- Un coût total des régimes d'avantages postérieurs à l'emploi
qui devrait être d'environ 300 millions $, selon un taux
d'actualisation comptable estimatif de 2,6 %, qui se compose d'un
coût estimatif des services rendus au titre des régimes d'avantages
postérieurs à l'emploi supérieur au BAIIA ajusté d'environ 275
millions $ et de charges financières nettes estimatives au titre
des régimes d'avantages postérieurs à l'emploi inférieures au BAIIA
ajusté d'environ 25 millions $;
- une hausse de la dotation aux amortissements d'environ 200
millions $ à 250 millions $ comparativement à 2020;
- des charges et des paiements d'intérêts d'environ 1 050
millions $ à 1 100 millions $;
- un taux d'imposition effectif d'environ 27 %;
- des PNDPC d'environ 60 millions $;
- des besoins de capitalisation des régimes de retraite et
d'autres avantages postérieurs à l'emploi totalisant environ 350
millions $ à 375 millions $;
- des impôts en trésorerie d'environ 800 millions $ à 900
millions $;
- un nombre moyen d'actions ordinaires en circulation de BCE
d'environ 905 millions;
- un dividende sur actions ordinaires annuel de 3,50 $ par
action.
Les hypothèses ci-dessus utilisées, bien qu'elles soient
considérées comme raisonnables par BCE en date du 5 août 2021,
pourraient se révéler inexactes. Par conséquent, nos résultats
réels pourraient différer de façon importante des attentes
exprimées dans le présent communiqué de presse.
Risques importants
Les principaux facteurs de risque,
en conséquence desquels nos hypothèses et nos estimations
pourraient être inexactes et les résultats ou les événements réels
pourraient différer de façon significative de ceux qui sont
exprimés ou sous-entendus dans nos déclarations prospectives, y
compris notre orientation financière 2021, sont énumérés
ci-après. Étant donné que la réalisation de nos déclarations
prospectives, y compris notre capacité à atteindre nos résultats
financiers cibles pour 2021, dépend essentiellement de la
performance de notre entreprise qui, à son tour, est assujettie à
de nombreux risques. Par conséquent, le lecteur est prié de noter
que les risques qui suivent pourraient avoir une incidence
défavorable importante sur nos déclarations prospectives. Ces
risques comprennent, sans s'y limiter, ceux qui suivent : la
pandémie de COVID-19 et les conséquences défavorables des mesures
d'urgence déjà adoptées ou qui seront adoptées par suite de cette
pandémie, ainsi que les autres pandémies ou épidémies et les autres
risques liés à la santé; une conjoncture de marché économique ou
financière défavorable, une baisse du niveau d'activité de détail
et commerciale, et l'incidence défavorable qu'elle pourrait avoir
sur la demande de nos produits et services et sur les prix de
ceux-ci; l'intensité de l'activité de nos concurrents, y compris de
concurrents nouveaux et émergents; le rythme de substitution
technologique et la présence d'autres fournisseurs de services qui
contribuent à l'accélération des perturbations et à la
désintermédiation dans chacun de nos secteurs d'activité;
l'évolution des habitudes en matière de visionnement et l'expansion
des fournisseurs de télé par contournement et des autres
fournisseurs de services ainsi que la fragmentation du marché de la
publicité ou d'autres changements de ce marché; l'augmentation des
coûts du contenu et les obstacles à notre capacité à acquérir ou à
concevoir du contenu de premier plan; la prolifération du piratage
de contenu; la hausse du taux de pénétration des téléphones
intelligents au Canada et la baisse ou le ralentissement de
l'immigration; les initiatives, les procédures et les décisions
réglementaires ainsi que les consultations et les positions
gouvernementales qui nous touchent et qui touchent nos activités;
l'incapacité à protéger nos actifs corporels et incorporels contre
des événements comme des atteintes à la sécurité de l'information,
des accès non autorisés, des incendies et des catastrophes
naturelles; l'incapacité à transformer nos activités en vue de
créer les conditions propices à une expérience véritablement
centrée sur le client, tout en aplanissant notre structure de
coûts; l'incapacité à continuer d'investir dans des fonctions de
prochaine génération selon un plan rigoureux et stratégique; notre
incapacité à créer une expérience client positive; la complexité de
nos activités; l'incapacité à maintenir le fonctionnement de nos
réseaux dans le contexte de l'augmentation importante de la demande
relativement à la capacité; le risque que nous puissions devoir
engager des dépenses d'investissement importantes afin de fournir
une capacité supplémentaire et de réduire la congestion sur nos
réseaux; l'incapacité à mettre en œuvre ou à maintenir des systèmes
de technologies de l'information (TI) très performants;
l'incapacité à générer les avantages escomptés de nos
restructurations d'entreprises, des remplacements et des mises à
niveau de systèmes, des refontes de processus, des réductions de
personnel, et de l'intégration des entreprises acquises; les
événements qui pourraient toucher le fonctionnement de nos réseaux,
de nos systèmes de TI, de notre équipement et de nos autres
installations et notre capacité à les protéger, tester, maintenir,
remplacer et mettre à niveau; les risques liés au matériel en
orbite et les autres risques opérationnels auxquels sont exposés
les satellites utilisés pour fournir notre service de télé par
satellite; l'incapacité à attirer des employés possédant les
compétences appropriées, à les fidéliser et à stimuler leur
performance dans un environnement sûr; les interruptions de travail
et les pénuries de main-d'œuvre; et notre dépendance aux tiers
fournisseurs, aux impartiteurs et aux consultants pour offrir de
façon ininterrompue la gamme de produits et de services nécessaire
pour exercer nos activités; l'échec de nos processus de sélection,
de gouvernance et de surveillance des fournisseurs; le risque lié à
la sécurité et à la fuite de données si les protocoles de contrôle
de la sécurité qui concernent nos fournisseurs sont contournés; la
qualité de nos produits et de nos services et la mesure dans
laquelle ils peuvent comporter des défauts de fabrication ou ne pas
être conformes aux normes et aux règlements gouvernementaux
applicables; notre incapacité d'accéder à des sources de capital
adéquates et de générer des flux de trésorerie liés aux activités
d'exploitation suffisants pour répondre à nos besoins de
liquidités, financer nos dépenses d'investissement et assurer la
croissance planifiée; l'impossibilité de garantir que des
dividendes seront déclarés par le conseil d'administration de BCE,
ni que le dividende sur actions ordinaires sera majoré;
l'incapacité à gérer les différents risques de crédit, de liquidité
et de marché; la volatilité liée à l'obligation au titre des
régimes de retraite et les cotisations accrues aux régimes
d'avantages postérieurs à l'emploi; des impôts nouvellement exigés
ou plus élevés découlant de l'adoption de nouvelles lois fiscales
ou de modifications apportées aux lois fiscales existantes ou à
leur interprétation, et l'incapacité à prévoir l'issue des audits
gouvernementaux; l'incapacité à réduire les coûts, ainsi que toute
augmentation imprévue de coûts; l'incapacité à faire évoluer nos
pratiques afin d'effectuer un suivi et un contrôle efficaces des
activités frauduleuses; le règlement défavorable des litiges, en
particulier des actions collectives; de nouvelles modifications ou
des modifications défavorables aux lois applicables et l'incapacité
d'agir en amont pour ce qui est du respect de nos obligations
juridiques et réglementaires; l'incapacité à comprendre les
préoccupations concernant les changements climatiques ou les
attentes en constante évolution des parties prenantes et du
gouvernement pour ce qui est des questions environnementales, et à
y répondre adéquatement; et les préoccupations en matière de santé
relatives aux émissions de radiofréquences par des appareils et des
équipements de communication sans fil.
Nous prévenons le lecteur que la liste de facteurs de risque qui
précède n'est pas exhaustive et que d'autres facteurs pourraient
avoir une incidence défavorable sur nos résultats. Nous
encourageons les investisseurs à lire également le rapport de
gestion annuel de 2020 de BCE (inclus dans le rapport
annuel 2020 de BCE) daté du 4 mars 2021, et le rapport de gestion du premier et du
deuxième trimestre de 2021 daté du 28 avril 2021 et du 4 août 2021, respectivement, pour
obtenir plus de détails au sujet de certains des facteurs de risque
et hypothèses mentionnés et d'autres facteurs de risque et
hypothèses, ces documents étant déposés par BCE auprès des
autorités des provinces canadiennes en valeurs mobilières
(disponibles à Sedar.com) et de la Securities and Exchange
Commission des États-Unis (disponibles à SEC.gov). Ces documents
sont également disponibles à BCE.ca.
À propos de BCE
BCE est la plus grande entreprise de
communications du Canada, fournissant des services large bande
évolués sans fil, de télévision, Internet, de médias et de
communications d'affaires de Bell. Pour en savoir plus, visitez
Bell.ca ou BCE.ca.
Grâce à Mieux pour tous, nous investissons pour créer un
meilleur aujourd'hui et un avenir meilleur en appuyant la
prospérité sociale et économique de nos communautés. Cela comprend
l'initiative Bell Cause pour la cause, qui fait la promotion de la
santé mentale au Canada grâce à des campagnes nationales de
sensibilisation et de lutte contre la stigmatisation, notamment à
l'aide de la Journée Bell Cause pour la cause, et le financement
important par Bell d'initiatives d'accès aux soins communautaires,
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Pour en savoir plus, veuillez visiter le site Bell.ca/Cause.
Questions des médias :
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514 391-5263
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