- Produits des activités ordinaires de 848,7 millions $, par
rapport à 832,4 millions $ pour l'exercice précédent
- RPA de 0,08 $, vs 0,18 $ pour
l'exercice précédent
- RPA ajusté(1) de 0,19 $, vs 0,22 $ (0,19 $,
abstraction faite des programmes d'aide gouvernementale
COVID-19(2)) pour l'exercice précédent
- Résultat opérationnel(3) correspondant à un
bénéfice de 65,5 millions $, vs 82,9 millions $ pour l'exercice
précédent
- Résultat opérationnel sectoriel ajusté(4)
correspondant à un bénéfice de 112,7 millions $, vs 97,2 millions $
(86,6 millions $, abstraction faite des programmes d'aide
gouvernementale COVID-19(5)) pour l'exercice
précédent
- Flux de trésorerie disponibles(6) de 282,1
millions $, par rapport à 224,0 millions $ pour l'exercice
précédent
- Prises de commandes(7) de 1 377,2 millions $ pour
un carnet de commandes(7) de 9,2 milliards $ et un ratio
valeur comptable des commandes/ventes(7) de
1,62
- Ratio valeur comptable des commandes/ventes du secteur Civil
de 1,93 et taux d'utilisation des centres de
formation(8) de 60 %
- Ratio valeur comptable des commandes/ventes du secteur
Défense de 1,39 et de 1,05 pour les 12 derniers mois
MONTRÉAL, le 11 févr. 2022 /CNW Telbec/ - (NYSE : CAE)
(TSX : CAE) - CAE annonce aujourd'hui des produits des
activités ordinaires de 848,7 millions $ pour le
troisième trimestre de l'exercice 2022, comparativement à
832,4 millions $ pour le troisième trimestre de
l'exercice précédent. Les produits des activités ordinaires ont
augmenté de 15 % pour le trimestre, abstraction faite des
produits des activités ordinaires de 93,5 millions $
enregistrés au troisième trimestre de l'exercice précédent en vertu
d'un contrat d'approvisionnement en respirateurs attribué par le
gouvernement du Canada dans le cadre des efforts humanitaires
de CAE liés à la COVID‑19. Le résultat net attribuable aux
détenteurs d'instruments de capitaux propres correspond à un
bénéfice de 26,2 millions $ (0,08 $ par action)
pour le troisième trimestre, comparativement à
48,8 millions $ (0,18 $ par action) l'an
dernier. Au troisième trimestre de l'exercice 2022, le
résultat net ajusté(9) correspond à un bénéfice
de 60,7 millions $ (0,19 $ par action),
par rapport à 60,0 millions $ (0,22 $
par action) pour l'exercice précédent.
Le résultat opérationnel du trimestre correspond
à un bénéfice de 65,5 millions $ (7,7 % des produits
des activités ordinaires), comparativement à
82,9 millions $ (10,0 % des produits des activités
ordinaires) l'an dernier. Au troisième trimestre, le résultat
opérationnel sectoriel ajusté correspond à un bénéfice de
112,7 millions $ (13,3 % des produits des activités
ordinaires), par rapport à 97,2 millions $ (11,7 %
des produits des activités ordinaires) pour l'exercice précédent.
Le résultat opérationnel sectoriel ajusté, abstraction faite des
programmes d'aide gouvernementale COVID‑19, correspond à un
bénéfice de 112,7 millions $ (13,3 % des produits
des activités ordinaires), par rapport à 86,6 millions $
(10,4 % des produits des activités ordinaires) l'an dernier.
Toute l'information financière est en dollars canadiens, sauf
indication contraire.
Sommaire des résultats consolidés
(montants en
millions, sauf les montants par action)
|
T3-2022
|
|
T3-2021
|
|
Variation
en %
|
|
Produits des activités
ordinaires
|
848,7
|
$
|
832,4
|
$
|
2
|
%
|
Résultat
opérationnel
|
65,5
|
$
|
82,9
|
$
|
(21)
|
%
|
Résultat opérationnel
sectoriel (ROS) ajusté
|
112,7
|
$
|
97,2
|
$
|
16
|
%
|
En pourcentage des
produits des activités ordinaires
|
13,3
|
%
|
11,7
|
%
|
|
|
ROS ajusté, abstraction
faite des programmes
|
112,7
|
$
|
86,6
|
$
|
30
|
%
|
d'aide gouvernementale COVID-19
|
En pourcentage des
produits des activités ordinaires
|
13,3
|
%
|
10,4
|
%
|
|
|
Résultat net
|
28,4
|
$
|
49,7
|
$
|
(43)
|
%
|
Résultat net
attribuable aux détenteurs d'instruments
de capitaux propres de la Société
|
26,2
|
$
|
48,8
|
$
|
(46)
|
%
|
Résultat de base et
dilué par action (RPA)
|
0,08
|
$
|
0,18
|
$
|
(56)
|
%
|
Résultat net
ajusté
|
60,7
|
$
|
60,0
|
$
|
1
|
%
|
RPA ajusté
|
0,19
|
$
|
0,22
|
$
|
(14)
|
%
|
Résultat net ajusté,
abstraction faite des programmes
d'aide gouvernementale COVID-19(10)
|
60,7
|
$
|
52,2
|
$
|
16
|
%
|
RPA ajusté, abstraction
faite des programmes
d'aide gouvernementale COVID-19
|
0,19
|
$
|
0,19
|
$
|
--
|
%
|
Prises de
commandes
|
1
377,2
|
$
|
710,7
|
$
|
94
|
%
|
Carnet de commandes
total
|
9
177,2
|
$
|
7 820,1
|
$
|
17
|
%
|
« Je suis très satisfait de notre
performance du troisième trimestre, caractérisée par une croissance
à deux chiffres, de solides flux de trésorerie disponibles et
des prises de commandes qui ont presque doublé par rapport au
troisième trimestre de l'exercice précédent. Tout cela
renforce ma conviction que CAE sera en meilleure position,
plus résiliente et plus rentable à l'avenir », a déclaré
Marc Parent, président et chef de la direction de CAE.
« Dans un contexte toujours aussi difficile à l'échelle
mondiale, nous avons enregistré une croissance des revenus de
15 %, avant l'apport de notre initiative humanitaire portant
sur les respirateurs l'an dernier, une augmentation de 16 % du
résultat opérationnel sectoriel ajusté et un résultat ajusté par
action de 0,19 $. Les flux de trésorerie disponibles ont été
robustes, s'élevant à 282,1 millions $, ce qui souligne
la capacité à générer des liquidités de notre entreprise. Nous
avons notamment réalisé d'excellents progrès au chapitre des
commandes, comme en témoignent notre ratio valeur comptable des
commandes/ventes de 1,62, l'obtention de commandes d'une valeur de
près de 1,4 milliard $ et notre carnet de commandes de
9,2 milliards $ à la clôture du trimestre. Dans le
secteur Civil, nous avons obtenu des commandes d'une valeur de
753 millions $, pour un ratio valeur comptable des
commandes/ventes de 1,93, y compris des accords de formation à long
terme avec des compagnies aériennes et des exploitants d'avions
d'affaires, de même que la vente de 19 simulateurs de vol.
Dans le secteur Défense, nous avons obtenu des commandes de
solutions d'entraînement et de soutien aux missions d'une valeur de
593 millions $, pour un ratio valeur comptable des
commandes/ventes de 1,39. Enfin, dans le secteur Santé, nous
avons à nouveau enregistré une croissance à deux chiffres des
revenus grâce à notre organisation redynamisée et à nos solutions
innovatrices. »
À propos des perspectives de CAE, Marc Parent a ajouté : « Nous sommes
habilement passés à l'offensive pendant cette période de
perturbation, et les perspectives à long terme de CAE n'ont jamais
été aussi reluisantes. Nous prévoyons que les vents contraires de
la pandémie nous accompagneront pendant un certain temps,
y compris les perturbations continues de la chaîne
d'approvisionnement, l'absentéisme des employés et des clients en
raison des infections, les contraintes opérationnelles des
autorités locales et les restrictions intermittentes aux
frontières. L'actuelle recrudescence de la COVID-19 a repoussé la
perspective d'une reprise mondiale, mais notre performance au cours
du trimestre confirme que nous sommes fermement engagés sur la voie
d'une reprise cyclique et d'une croissance à long terme lorsque nos
marchés finiront par s'ouvrir et sortir de la
pandémie. »
Solutions de formation pour l'aviation civile
(Civil)
Au troisième trimestre, le secteur Civil a
enregistré des produits des activités ordinaires de
390,1 millions $, par rapport à
412,2 millions $ au troisième trimestre de l'exercice
précédent, en raison d'une hausse de 10 points de pourcentage
du taux d'utilisation des centres de formation du
secteur Civil, qui s'est établi à 60 %, et d'une baisse
du nombre de livraisons de simulateurs de vol (FFS)(11),
qui se sont établies à sept pour le trimestre, par rapport à dix au
troisième trimestre de l'exercice précédent. Cette baisse reflète
les différences temporaires dans le calendrier trimestriel des
livraisons de FFS et demeure cohérente avec les perspectives, qui
font état de quelque 30 simulateurs pour l'exercice. Les
produits des activités ordinaires tirés de la formation du
secteur Civil, y compris les participations de CAE
dans des coentreprises, se sont accrus de quelque 10 % par
rapport au troisième trimestre de l'exercice précédent. Le résultat
opérationnel correspond à un bénéfice de 57,1 millions $,
comparativement à 48,4 millions $ pour le trimestre
correspondant de l'exercice précédent. Le résultat opérationnel
sectoriel ajusté correspond à un bénéfice de
83,4 millions $ (21,4 % des produits des activités
ordinaires), par rapport à 62,0 millions $ (15,0 %
des produits des activités ordinaires) au troisième trimestre
de l'exercice précédent. Le résultat opérationnel sectoriel ajusté,
abstraction faite des programmes d'aide gouvernementale COVID-19,
qui sont absents pour le trimestre, correspond à un bénéfice de
83,4 millions $ (21,4 % des produits des activités
ordinaires), par rapport à 58,4 millions $
(14,2 % des produits des activités ordinaires) pour le
trimestre correspondant de l'exercice précédent.
Le secteur Civil a obtenu ce trimestre des
contrats de solutions de formation d'une valeur de
752,5 millions $, notamment pour la vente de 19 FFS,
portant à 33 FFS le total des commandes pour les neuf premiers
mois de l'exercice. Depuis la
clôture du trimestre, le secteur Civil a obtenu des commandes pour
quatre FFS additionnels, portant à 37 FFS le nombre total
depuis le début de l'exercice. Plus de 60 % des commandes de
FFS obtenues par le secteur Civil depuis le début de l'exercice
proviennent de clients en Amérique, où la reprise du secteur
du transport aérien et de la demande de formation des pilotes a été
beaucoup plus marquée. Parmi les contrats de formation
importants, notons des prolongations de cinq ans d'ententes de
formation dans le domaine de l'aviation commerciale avec Avianca et
Endeavor Air, une entente de formation de neuf ans dans le
domaine de l'aviation commerciale avec Norwegian
ainsi que des ententes de formation de cinq ans dans le
domaine de l'aviation d'affaires avec Global
Jet Luxembourg, XO Jet et Vista Jet. Le secteur
Civil a également annoncé l'expansion de sa capacité de formation
des pilotes à Dubaï et le déploiement de son premier simulateur
Bombardier Global 6500 au centre exploité par la coentreprise
Emirates-CAE Flight Training.
Le ratio valeur comptable des commandes/ventes
s'est établi à 1,93 pour le trimestre et à 1,20 pour les
12 derniers mois. Le carnet de commandes du
secteur Civil totalisait 4,6 milliards $ à la fin du
trimestre.
Le 28 octobre 2021, CAE a annoncé un
accord portant sur l'acquisition de la division AirCentre de Sabre
axée sur les opérations aériennes. Sous réserve de sa
conclusion, l'acquisition élargira davantage la portée de CAE
auprès de sa vaste clientèle au-delà de la formation des pilotes et
la positionnera comme un chef de file technologique dans le marché
croissant des solutions numériques de gestion des vols et des
équipages en tête de l'industrie. L'accord, qui est évalué à
392,5 millions $ US, abstraction faite des
ajustements postérieurs à la clôture, inclut le catalogue
de produits Aircentre de Sabre, les technologies connexes et
la propriété intellectuelle ainsi que le transfert des employés
hautement qualifiés d'AirCentre. La clôture de la transaction, qui
devrait survenir au premier trimestre de l'année civile 2022,
est assujettie aux conditions habituelles et aux approbations
réglementaires.
Sommaire des résultats - Solutions de
formation pour l'aviation civile
(en millions, sauf
les unités NES et les FFS)
|
T3-2022
|
|
T3-2021
|
|
Variation
en %
|
|
Produits des activités
ordinaires
|
390,1
|
$
|
412,2
|
$
|
(5)
|
%
|
Résultat
opérationnel
|
57,1
|
$
|
48,4
|
$
|
18
|
%
|
Résultat opérationnel
sectoriel (ROS) ajusté
|
83,4
|
$
|
62,0
|
$
|
35
|
%
|
En pourcentage des
produits des activités ordinaires
|
21,4
|
%
|
15,0
|
%
|
|
|
ROS ajusté, abstraction
faite des programmes
d'aide gouvernementale COVID-19
|
83,4
|
$
|
58,4
|
$
|
43
|
%
|
En pourcentage des
produits des activités ordinaires
|
21,4
|
%
|
14,2
|
%
|
|
|
Prises de
commandes
|
752,5
|
$
|
329,3
|
$
|
129
|
%
|
Carnet de commandes
total
|
4
606,0
|
$
|
4 198,1
|
$
|
10
|
%
|
Unités
NES(12)
|
249
|
|
245
|
|
2
|
%
|
FFS dans le réseau de
CAE(11)
|
312
|
|
320
|
|
(3)
|
%
|
FFS livrés
|
7
|
|
10
|
|
(30)
|
%
|
Taux
d'utilisation
|
60
|
%
|
50
|
%
|
20
|
%
|
Défense et sécurité (Défense)
Pour le
troisième trimestre, les produits des activités ordinaires du
secteur Défense se sont établis à 426,5 millions $,
en hausse de 42 % par rapport au troisième trimestre de
l'exercice précédent, ce qui comprend un montant de
127,9 millions $ généré par la division
Formation militaire de L3Harris Technologies
(L3H MT). Le résultat opérationnel correspond à un
bénéfice de 16,5 millions $, comparativement à
21,8 millions $ pour le trimestre correspondant de
l'exercice précédent. Le résultat opérationnel sectoriel ajusté
correspond à un bénéfice de 32,0 millions $ (7,5 %
des produits des activités ordinaires), compte tenu d'un montant de
19,6 millions $ lié à L3H MT, par rapport à
22,3 millions $ (7,5 % des produits des activités
ordinaires) au troisième trimestre de l'exercice précédent. Le
résultat opérationnel sectoriel ajusté, abstraction faite des
programmes d'aide gouvernementale COVID-19, correspond à un
bénéfice de 32,0 millions $ (7,5 % des produits des
activités ordinaires), par rapport à 15,9 millions $
(5,3 % des produits des activités ordinaires) pour le
trimestre correspondant de l'exercice précédent. Les activités
internes du secteur Défense (soit le secteur Défense,
abstraction faite de L3H MT) ont généré des produits des
activités ordinaires et un résultat opérationnel sectoriel ajusté
en hausse par rapport au trimestre précédent, mais ceux-ci sont
toutefois demeurés inférieurs à ceux de la période correspondante
de l'exercice précédent, traduisant les répercussions de la
COVID-19 sur les prises de commandes et l'exécution des
programmes, surtout à l'échelle mondiale, depuis le début de la
pandémie.
Le secteur Défense a obtenu des commandes
d'une valeur de 592,6 millions $, y compris des
contrats à titre de maître d'œuvre obtenus aux termes d'appels
d'offres, des réattributions et des prolongations de contrats, dans
les cinq domaines (aérien, terrestre, maritime, spatial et cyber).
Dans le domaine aérien, le secteur Défense a renforcé sa présence
internationale grâce à un contrat des
Forces aériennes allemandes, obtenu aux termes
d'un appel d'offres, pour fournir la formation initiale au
pilotage, remplaçant l'entreprise qui détenait ce contrat depuis
60 ans. Outre ce nouveau programme d'entraînement en vol, le
secteur Défense a également étendu sa relation avec le
chef de la formation aéronavale (CNATRA) de la US Navy grâce à
l'ajout de l'entraînement en vol sur T-45 à son contrat de services
d'instruction. En plus de l'entraînement en vol, le secteur Défense
a obtenu un contrat pluriannuel d'un client australien pour fournir
des services intégrés de soutien et d'entraînement sur un éventail
de plateformes stratégiques. Parmi les autres prolongations de
contrats, mentionnons quatre contrats de sous-traitance liés au
programme IDIQ à prestataire unique Simulator Common Architecture
Requirements and Standards (SCARS) du secteur Défense, alors que
l'US Air Force accélère l'intégration et la normalisation
de quelque 2 400 simulateurs répartis dans
300 emplacements.
Élargissant ses activités au-delà de ses
principaux programmes aériens, terrestres et maritimes, le
secteur Défense a remporté ses premiers contrats à titre de
maître d'œuvre aux termes d'appels d'offres dans les domaines cyber
et spatial. Après la fin du trimestre, le secteur Défense a obtenu
un contrat du ministère de la Défense nationale du Canada
afin d'étendre les capacités de détection de cyberintrusions dans
le cadre du programme Innovation pour la défense, l'excellence et
la sécurité (Idées) et ce secteur a également obtenu son premier
contrat de simulation en tant que maître d'œuvre dans le domaine
spatial. Ces contrats stratégiques en tant que maître d'œuvre dans
les domaines cyber et spatial, ainsi que son premier contrat en
tant que maître d'œuvre aux termes d'un appel d'offres pour la
communauté du renseignement américaine au deuxième trimestre,
positionnent davantage le secteur Défense de CAE en tant que
plus importante entreprise mondiale de formation et de simulation,
peu importe la plateforme, assurant la préparation aux missions en
intégrant des systèmes et solutions dans les cinq domaines.
Le ratio valeur comptable des
commandes/ventes du secteur Défense s'est établi à 1,39 pour
le trimestre et à 1,05 pour les 12 derniers mois
(excluant les options de contrat). Son carnet de commandes,
y compris les options et la participation de CAE dans des
coentreprises, s'établissait à 4,6 milliards $ à la fin
du trimestre. Le bassin d'occasions d'affaires du
secteur Défense demeure solide, des soumissions et
propositions de valeur de quelque 6,2 milliards $ étant
en attente de la décision des clients.
Sommaire des résultats - Défense et
sécurité
(montants en
millions)
|
T3-2022
|
|
T3-2021
|
|
Variation
en %
|
|
Produits des activités
ordinaires
|
426,5
|
$
|
299,3
|
$
|
42
|
%
|
Résultat
opérationnel
|
16,5
|
$
|
21,8
|
$
|
(24)
|
%
|
Résultat opérationnel
sectoriel (ROS) ajusté
|
32,0
|
$
|
22,3
|
$
|
43
|
%
|
En pourcentage des
produits des activités ordinaires
|
7,5
|
%
|
7,5
|
%
|
|
|
ROS ajusté, abstraction
faite des programmes
d'aide gouvernementale COVID-19
|
32,0
|
$
|
15,9
|
$
|
101
|
%
|
En pourcentage des
produits des activités ordinaires
|
7,5
|
%
|
5,3
|
%
|
|
|
Prises de
commandes
|
592,6
|
$
|
260,5
|
$
|
127
|
%
|
Carnet de commandes
total
|
4
571,2
|
$
|
3 622,0
|
$
|
26
|
%
|
Santé
Pour le troisième trimestre, les
produits des activités ordinaires du secteur Santé se sont établis
à 32,1 millions $, comparativement à
120,9 millions $ au troisième trimestre de l'exercice
précédent, compte tenu de produits des activités ordinaires de
93,5 millions $ tirés d'un contrat d'approvisionnement en
respirateurs attribué par le gouvernement du Canada.
Abstraction faite du contrat visant les respirateurs à l'exercice
précédent, les produits des activités ordinaires auraient augmenté
de 17 % ce trimestre. Le résultat opérationnel correspond à
une perte de 8,1 millions $, comparativement à un
bénéfice de 12,7 millions $ pour le trimestre
correspondant de l'exercice précédent. Le résultat opérationnel
sectoriel ajusté correspond à une perte de
2,7 millions $, par rapport à un bénéfice de
12,9 millions $ (10,7 % des produits des
activités ordinaires) au troisième trimestre de l'exercice
précédent. Le résultat opérationnel sectoriel ajusté, abstraction
faite des programmes d'aide gouvernementale COVID-19, correspond
lui aussi à une perte de 2,7 millions $, par rapport à un
bénéfice de 12,3 millions $ (10,2 % des produits des
activités ordinaires) pour le trimestre correspondant de l'exercice
précédent. Le secteur Santé a de nouveau enregistré une
croissance de ses produits des activités ordinaires trimestriels
par rapport à l'exercice précédent (abstraction faite des
respirateurs) alors qu'elle déploie une organisation élargie et
redynamisée, dans l'objectif précis d'atteindre une plus
grande portée.
Le secteur Santé a lancé une nouvelle
version du gestionnaire d'inventaire de l'outil CAE
LearningSpace Enterprise qui accroît les fonctionnalités de
LearningSpace en offrant une plateforme unique pour le suivi et la
gestion des actifs de centres de simulation ainsi que
l'établissement de rapports à leur sujet, ainsi qu'une nouvelle
plateforme de commerce électronique pour ses dispositifs
d'entraînement des compétences, rehaussant l'expérience des
utilisateurs et élargissant l'accès des clients
(https://medicalskillstrainers.cae.com/).
Au cours du trimestre, le secteur Santé a lancé
CAE Vimedix 3.3, une nouvelle version de sa plateforme
de formation en échographie qui facilite l'élaboration des
évaluations et la création des exercices, inclut un nouveau contenu
pédagogique axé sur l'échographie au point de service et la
médecine d'urgence, et introduit une toute nouvelle fonction de
sonde virtuelle. Le secteur Santé a également lancé
11 nouveaux cours numériques en ligne offerts sur demande dans
le cadre de sa collaboration avec le British
Columbia Institute of Technology, qui comprennent
une simulation virtuelle ciblant des évaluations et traitements
médicaux spécifiques.
Sommaire des résultats - Santé
(montants en
millions)
|
T3-2022
|
|
T3-2021
|
|
Variation
en %
|
|
Produits des activités
ordinaires
|
32,1
|
$
|
120,9
|
$
|
(73)
|
%
|
Résultat
opérationnel
|
(8,1)
|
$
|
12,7
|
$
|
(164)
|
%
|
Résultat opérationnel
sectoriel (ROS) ajusté
|
(2,7)
|
$
|
12,9
|
$
|
(121)
|
%
|
En pourcentage des
produits des activités ordinaires
|
--
|
%
|
10,7
|
%
|
|
|
ROS ajusté, abstraction
faite des programmes
d'aide gouvernementale COVID-19
|
(2,7)
|
$
|
12,3
|
$
|
(122)
|
%
|
En pourcentage des
produits des activités ordinaires
|
--
|
%
|
10,2
|
%
|
|
|
Autres points saillants financiers
CAE
a engagé des coûts de restructuration, d'intégration et
d'acquisition de 47,2 millions $ au
troisième trimestre de l'exercice 2022, dont un montant
de 17,4 millions $ au titre de L3H MT et un montant
de 23,0 millions $ au titre du programme de
restructuration mis en place dans la foulée des mesures annoncées
précédemment afin de mieux desservir le marché en optimisant les
actifs et la présence à l'échelle mondiale de CAE, en adaptant
son effectif mondial et en ajustant ses activités en fonction de la
demande attendue pour certains produits et services.
La Société prévoit toujours réaliser d'importantes économies
annuelles récurrentes, pour éventuellement atteindre des économies
annuelles de l'ordre de 65 à 70 millions $ d'ici le début
de l'exercice 2023.
Les flux de trésorerie nets liés aux activités
opérationnelles se sont établies à 309,6 millions $ pour
le trimestre, comparativement à 234,8 millions $
pour le troisième trimestre de l'exercice précédent. Les flux
de trésorerie disponibles ont totalisé 282,1 millions $
pour le trimestre, par rapport à 224,0 millions $ pour le
troisième trimestre de l'exercice précédent. L'augmentation traduit
essentiellement l'investissement moindre dans le fonds de roulement
hors trésorerie, neutralisé en partie par les paiements de
coûts d'intégration et d'acquisition liés aux entreprises récemment
acquises ainsi que les indemnités de cessation d'emploi et autres
coûts associés au programme de restructuration annoncé
précédemment.
La charge d'impôt sur le résultat s'est établie à
2,6 millions $ ce trimestre, ce qui correspond à un taux
d'imposition effectif de 8 %, comparativement à un taux
d'imposition effectif nul pour le troisième trimestre de l'exercice
précédent. Le taux d'imposition a été touché par les coûts de
restructuration, d'intégration et d'acquisition enregistrés pour le
trimestre considéré, sans lesquels le taux d'imposition utilisé
pour calculer le résultat net ajusté de 60,7 millions $ et le RPA
ajusté de 0,19 $ se serait établi à 20 % pour le troisième
trimestre de l'exercice 2022. Au troisième trimestre de
l'exercice précédent, le taux d'imposition avait été touché
par les coûts de restructuration et les contrôles fiscaux.
Abstraction faite de l'incidence de ces éléments, le taux
d'imposition se serait établi à 16 % pour le troisième
trimestre de l'exercice précédent. Sur cette base, l'augmentation
du taux d'imposition s'explique en grande partie par la composition
des revenus provenant de différentes juridictions.
Les dépenses d'investissement en immobilisations
liées à la croissance et à la maintenance(13) ont
totalisé 76,9 millions $ pour le trimestre.
À la fin du trimestre, la dette
nette(14) était de 2 310,5 millions $ et
le ratio de la dette nette sur le capital(15) était de
36,5 %. À la fin du trimestre précédent, la dette nette était
de 2 481,5 millions $ et le ratio de la dette nette
sur le capital était de 38,2 %.
Le rendement du capital utilisé (RCU)
ajusté(16) s'est établi à 6,1 % pour le trimestre,
comparativement à 6,6 % au trimestre précédent et à 6,4 %
au troisième trimestre de l'exercice précédent. Le RCU, abstraction
faite des programmes d'aide gouvernementale COVID-19, s'est établi
à 5,5 % pour le trimestre, comparativement à 5,5 % au
trimestre précédent et à 5,0 % au troisième trimestre de
l'exercice précédent.
La participation de CAE au programme de SSUC du
gouvernement du Canada (programme d'aide gouvernementale
COVID-19) a pris fin le 5 juin 2021 et,
en conséquence, CAE n'a réclamé aucun montant en vertu de
la SSUC au titre des salaires et charges salariales engagés après
cette date.
Perspectives de la direction
Depuis le
début de la pandémie en mars 2020, CAE a pris plusieurs importantes
mesures stratégiques en saisissant les occasions d'affaires issues
des perturbations du marché, y compris la mobilisation de
capitaux propres de quelque 1,6 milliard $ afin de
saisir un bassin d'occasions de croissance, et la conclusion (ou
l'annonce) de neuf acquisitions rentables. Parallèlement à
l'expansion de la portée externe de CAE, la Société a entrepris des
initiatives au niveau de l'entreprise visant à réduire
considérablement sa structure de coûts et à atteindre un niveau
encore plus élevé d'excellence opérationnelle, notamment au moyen
de la consolidation de sa base d'actifs mondiale et de la mise en
place de processus numériques innovateurs. CAE a mis en œuvre une
stratégie de croissance visant à lui permettre d'émerger de la
pandémie en meilleure position, plus résiliente et plus rentable
que jamais auparavant. Plus précisément, en guise de point de
repère sur le chemin de la reprise cyclique et par la suite,
la Société vise actuellement une marge opérationnelle
sectorielle ajustée consolidée d'environ 17 % d'ici à ce que
ses marchés se soient généralement ressaisis, ainsi qu'une
progression constante par la suite. Elle prévoit atteindre ce
niveau de rentabilité grâce à une base d'activités beaucoup plus
importante et à une structure de capital post-pandémie qui lui
permettra de conserver une grande marge de manœuvre pour investir
davantage dans son avenir.
Malgré les défis continus posés par la pandémie,
CAE affiche déjà une meilleure performance financière, élargit et
optimise sa position, et obtient des commandes importantes. Nous
prévoyons que les vents contraires de la pandémie nous
accompagneront pendant un certain temps, y compris les
perturbations continues de la chaîne d'approvisionnement, les
absences sporadiques de personnel en raison des infections à la
COVID-19, les contraintes opérationnelles imposées par les
autorités locales et les restrictions intermittentes aux
frontières. L'émergence et la propagation rapide du
variant Omicron ont repoussé la perspective d'une reprise
mondiale à grande échelle, mais n'ont pas changé la vision
positive de la direction quant au potentiel de CAE lorsque ses
marchés finaux finiront par s'ouvrir et sortir de la pandémie.
Les tendances à long terme attendues sont
favorables pour les trois principaux secteurs d'activité de
la Société. La volonté accrue des compagnies aériennes de
confier à CAE leurs activités cruciales de formation et de
soutien opérationnel numérique ainsi que leurs besoins en gestion
des équipages, l'accroissement de la demande prévue de pilotes
(départs et réorientations de carrière découlant de la crise) et la
forte croissance de la demande de voyages en jets d'affaires sont
des éléments positifs durables pour le secteur Civil. Le
changement de paradigme, qui fait passer de conflits asymétriques à
des menaces contre des adversaires de force comparable, et la
reconnaissance de la hausse marquée du besoin de solutions
numériques et synthétiques immersives pour la défense
nationale sont autant de facteurs qui sont favorables au secteur
Défense. Quant à lui, le secteur Santé est prêt à saisir les
occasions découlant de la pénurie croissante de personnel infirmier
et de la demande en hausse pour des solutions de sécurité
publique.
La Société est d'avis que la demande de
déplacements aériens est refoulée et que la reprise du secteur
Civil aux niveaux d'avant la pandémie ou à des niveaux plus élevés
dépend du moment et du rythme auxquels les restrictions
frontalières et les quarantaines seront levées en toute sécurité
dans le monde. La solide performance de la formation du secteur
Civil en Amérique et la hausse des commandes de FFS constituent un
modèle convaincant pour le potentiel d'une reprise mondiale plus
large. Pour l'exercice 2022, dans l'ensemble, la Société
prévoit enregistrer une forte croissance du secteur Civil.
Compte tenu de la pertinence croissante de
l'entraînement et de la simulation, le secteur Défense
de CAE est également en passe de devenir plus important et
plus rentable au cours des prochaines années. La direction se
concentre actuellement sur l'intégration de L3H MT, et elle
prévoit réaliser les synergies de coûts attendues de l'ordre de 35
à 45 millions $ d'ici l'exercice 2024. Le secteur
Défense est désormais plus étroitement aligné sur les priorités
absolues de ses clients et s'est taillé une place en tant que plus
importante entreprise mondiale de formation et de simulation, peu
importe la plateforme, dans le marché de la défense. Cette position
devrait accroître le potentiel d'obtention de nouvelles affaires
dans le monde, accroissement qu'accéléreront la capacité et la
clientèle élargies de l'entité regroupée. Les activités américaines
du secteur Défense de CAE demeurent relativement peu touchées par
la pandémie. Elles font toutefois face à des vents contraires en
matière de budgets pour le démarrage de nouveaux programmes en
raison de la « résolution permanente » (continuing
resolution) adoptée par le Congrès. Les obstacles
découlant de la COVID-19 sont plus persistants pour les entreprises
internationales du secteur de la défense; toutefois,
la direction estime que ceux-ci sont temporaires, et elle anticipe
toujours une forte croissance à l'exercice 2022, abstraction
faite de ces répercussions. Elle s'attend à ce que cette
amélioration soit due à une réaccélération des prises de commandes,
notamment à l'égard des programmes de produits dont la marge
est plus élevée, et à ce que le ratio valeur comptable des
commandes/ventes annuel du secteur Défense soit supérieur
à 1,0 pour la première fois en quatre ans. La Société
prévoit également que l'amélioration des résultats du secteur
Défense découlera de la réalisation progressive des synergies
issues de l'intégration de L3H MT.
Enfin, pour le secteur Santé, la Société
prévoit poursuivre la croissance trimestrielle par rapport à
l'exercice précédent, gagner des parts dans le marché de la
formation et de la simulation en soins de santé et se concentrer
sur l'atteinte d'une plus grande portée. À long terme, le
secteur Santé pourrait devenir une activité importante et
rentable pour CAE et, pour l'exercice en cours, la direction
s'attend à ce qu'il affiche une croissance à deux chiffres de ses
produits des activités ordinaires et de son résultat net
(abstraction faite des respirateurs).
Les dépenses totales d'investissement en
immobilisations devraient dépasser 250 millions $ pour
l'exercice 2022, principalement afin de soutenir les occasions
de croissance durables et rentables. Habituellement, les
investissements dans le fonds de roulement hors trésorerie sont
plus élevés au premier semestre de l'exercice et, à l'instar des
exercices précédents, la direction prévoit qu'une partie de ces
investissements dans le fonds de roulement hors trésorerie
seront repris au second semestre. La Société continue de viser une
conversion de 100 % du résultat net en flux de trésorerie
disponibles pour l'exercice. Outre les coûts de restructuration,
d'intégration et d'acquisition liés à l'acquisition de
L3H MT dans le secteur Défense, CAE s'attend à engager
des coûts de restructuration totaux de quelque
50 millions $ à l'exercice 2022 au titre de ses
initiatives d'économies de coûts continues. La Société prévoit
toujours réaliser des économies annuelles récurrentes de l'ordre
de 65 à 70 millions $ d'ici le début de
l'exercice 2023.
Les attentes de la direction sont fondées sur les
conditions du marché, sur le moment et le niveau d'assouplissement
des restrictions de mobilité mondiales liées à la COVID-19, sur la
réceptivité des clients à l'égard des solutions de formation et de
soutien opérationnel de CAE, ainsi que sur les hypothèses
importantes formulées dans ce communiqué, dans le rapport de
gestion trimestriel et dans le rapport de gestion de
l'exercice 2021 de CAE.
Responsabilité sociale d'entreprise
Au
cours du trimestre, CAE a été reconnue pour son engagement envers
l'égalité des genres avec son inclusion à l'indice de
l'égalité des genres 2022 de Bloomberg LP pour une quatrième
année consécutive. CAE a continué à soutenir l'engagement et
l'expérience des employés - elle a été reconnue comme l'un des
meilleurs employeurs canadiens pour les jeunes par
l'organisation « Canada's Top 100 ».
L'équipe Formation pour l'aviation d'affaires de CAE
a reçu le prix Or pour l'Expérience des employés en temps de
crise et le prix Argent pour l'Expérience des clients en temps
de crise - Gouvernement et Aviation, à l'occasion des
prix International Customer Experience
Awards (ICXA). CAE a renforcé son appui aux employés vétérans
grâce au lancement d'Insignia, un groupe de ressources pour les
employés. Comme témoignage des liens étroits avec cette communauté,
CAE a reçu la médaille du programme HIRE Vets du département
américain de la main‑d'œuvre.
CAE a de nouveau fait preuve de son engagement
envers la santé et la sécurité de la collectivité avec la
réouverture temporaire du Centre de vaccination CAE
Montréal, réduisant ainsi la pression sur le système de santé alors
qu'il devient nécessaire d'accélérer l'administration des
doses de rappel dans la province de Québec. CAE a également
soutenu la collectivité locale en recueillant 1 million $
pour Centraide du Grand Montréal (United Way) par
l'entremise de dons de la part des employés, d'activités de
collecte de fonds et d'un don de l'entreprise.
En proposant des solutions de formation sur
simulateurs, CAE contribue depuis longtemps à la décarbonisation
de l'industrie aéronautique. On estime qu'au cours de
l'exercice 2021 de la Société, plus de cinq millions
de tonnes d'émissions de CO2e ont été évitées grâce
à l'utilisation des simulateurs du réseau mondial de CAE
plutôt que d'appareils réels. En septembre 2020, CAE
est devenue la première entreprise aéronautique canadienne à
devenir carboneutre.
Pour en savoir plus sur la feuille de route et
les réalisations de CAE en matière de développement durable,
consultez le rapport, au
https://www.cae.com/fr/responsabilite-sociale/.
Information détaillée
Nous recommandons fortement aux
lecteurs de consulter le rapport de gestion ainsi que les états
financiers consolidés de CAE qui sont disponibles sur notre site
Web à www.cae.com/fr/investisseurs pour obtenir un exposé plus
complet de nos résultats sectoriels.
Les états financiers consolidés intermédiaires et
le rapport de gestion de CAE pour le trimestre clos le
31 décembre 2021 ont été déposés auprès des commissions
canadiennes de valeurs mobilières sur SEDAR (www.sedar.com) et
sont disponibles sur notre site Web (www.cae.com). Ces
documents ont également été déposés auprès de la
Securities and Exchange Commission des États-Unis et
sont disponibles sur son site Web (www.sec.gov). Les
détenteurs de titres de CAE peuvent également obtenir un
exemplaire imprimé des états financiers consolidés et du
rapport de gestion de la Société, sans frais, en communiquant avec
le service de Relations avec les investisseurs
(investisseurs@cae.com).
Conférence téléphonique sur les résultats du
T3 de l'exercice 2022
Marc Parent, président et
chef de la direction de CAE; Sonya Branco,
vice-présidente exécutive, Finances, et chef de
la direction financière; et Andrew Arnovitz,
vice-président principal, Relations avec les investisseurs et
Gestion du risque d'entreprise, tiendront une conférence
téléphonique qui sera axée sur les résultats aujourd'hui à
13 h (HE). La conférence est destinée aux analystes, aux
investisseurs institutionnels et aux médias. Le numéro à
composer pour entendre cette téléconférence est le +1‑877‑586‑3392
ou le +1‑416‑981‑9024. Une diffusion audio en direct sera
accessible au public sur le site Web de CAE à
www.cae.com.
CAE est une entreprise de haute technologie à la
fine pointe de l'immersion numérique qui fournit des solutions pour
rendre le monde plus sécuritaire. Appuyés par plus de 70 ans
d'innovations, nous continuons à réinventer l'expérience client et
à révolutionner les solutions de formation et de soutien
opérationnel dans les domaines de l'aviation civile, de la défense
et la sécurité et des soins de santé. Nous sommes le partenaire de
choix des clients du monde entier qui exercent leurs activités dans
des environnements complexes, souvent dangereux et fortement
réglementés où la réussite est essentielle. Témoignage des besoins
permanents de nos clients pour nos solutions, plus de 60 % des
produits des activités ordinaires de CAE proviennent d'activités
récurrentes. Nous avons la plus vaste présence mondiale de
l'industrie, avec plus de 11 000 employés répartis dans
180 emplacements et centres de formation dans plus de
35 pays.
Mise en garde concernant les contraintes liées
au communiqué sommaire des résultats
Ce communiqué sommaire
des résultats renferme des renseignements limités qui visent à
aider le lecteur à évaluer le rendement de CAE, mais ces
renseignements ne devraient pas être utilisés par les lecteurs qui
ne connaissent pas CAE et ne devraient en aucun cas remplacer les
états financiers, les notes annexes aux états financiers et le
rapport de gestion de CAE.
Mise en garde concernant les énoncés
prospectifs
Le présent communiqué de presse contient des
énoncés de nature prospective concernant nos activités,
les événements et les faits nouveaux qui pourraient selon nous
avoir lieu dans l'avenir. Il s'agit par exemple d'énoncés
concernant notre vision, nos stratégies, les tendances et
perspectives commerciales, nos produits des activités ordinaires
futurs, nos dépenses d'investissement en immobilisations, nos
expansions et initiatives nouvelles, nos obligations financières,
nos liquidités disponibles, nos ventes futures, la conjoncture
économique en général, les perspectives et tendances d'un secteur
d'activité, les économies de coûts récurrentes annuelles prévues
qui découleront des programmes d'excellence opérationnelle, les
marchés potentiels estimatifs, les énoncés relatifs à notre
acquisition de L3H MT et à notre acquisition proposée de la
division AirCentre de Sabre axée sur les opérations
aériennes, l'accès de CAE aux sources de financement,
l'accroissement prévu de divers paramètres financiers, les attentes
concernant les économies de coûts et les synergies prévues, la
solidité, la complémentarité et la compatibilité des acquisitions
de L3H MT et de Sabre avec nos activités et nos équipes
existantes, les autres avantages prévus des acquisitions de
L3H MT et de Sabre et leur incidence sur notre croissance
future, nos résultats d'exploitation, notre rendement, nos
activités, nos projets et nos occasions, nos perspectives
commerciales, nos objectifs, notre développement, nos plans, nos
stratégies de croissance et autres priorités stratégiques et notre
position de chef de file dans nos marchés ainsi que d'autres
énoncés qui ne concernent pas des faits historiques.
Les énoncés prospectifs contiennent normalement
des termes comme croire, compter que, s'attendre à, prévoir,
envisager, continuer de, estimer, pouvoir, vouloir, devoir,
stratégie, futur et des formulations analogues. Toutes ces
déclarations sont des déclarations prospectives au sens des
dispositions d'exonération des lois canadiennes applicables sur les
valeurs mobilières et au sens de la loi américaine
Private Securities Litigation Reform Act
de 1995.
De par leur nature, les énoncés prospectifs
exigent que nous formulions des hypothèses et sont assujettis à des
risques et incertitudes inhérents à nos activités qui pourraient
faire en sorte que les résultats réels au cours de périodes
futures diffèrent considérablement des résultats indiqués dans les
énoncés prospectifs. Bien que ces énoncés soient fondés sur
les attentes et les hypothèses de la direction concernant les
tendances historiques, les conditions actuelles et les faits
attendus dans l'avenir, ainsi que sur d'autres facteurs que nous
jugeons raisonnables et appropriés dans les circonstances, nous
avisons le lecteur de ne pas se fier outre mesure aux énoncés
prospectifs, puisqu'ils risquent de ne pas être exacts. Les
déclarations prospectives contenues dans le présent communiqué
représentent nos attentes en date du 11 février 2022 et,
par conséquent, peuvent changer après cette date. Sauf dans la
mesure prévue par la loi, nous rejetons toute intention ou
obligation d'actualiser ou de réviser l'un ou l'autre des
énoncés prospectifs, que ce soit à la lumière de nouveaux
renseignements, d'événements futurs ou d'autres facteurs. Les
informations et déclarations prospectives contenues dans le présent
communiqué sont expressément visées par la présente mise en garde.
De plus, les énoncés comportant « à notre avis » ou
d'autres expressions semblables reflètent nos opinions sur un sujet
donné. Ces énoncés sont fondés sur l'information dont nous
disposions en date du présent rapport. Bien que nous soyons d'avis
que cette information constitue un fondement raisonnable à ces
énoncés, elle peut être limitée ou incomplète. Nos énoncés ne
doivent pas être interprétés comme le reflet d'une enquête
exhaustive sur la totalité de l'information pertinente ou d'un
examen de toute cette information. Ces énoncés sont intrinsèquement
incertains, et les investisseurs sont priés de ne pas se fier
indûment à ces énoncés. Sauf indication contraire de CAE, ces
déclarations ne tiennent pas compte de l'incidence potentielle
d'éventuels éléments exceptionnels ni des cessions, monétisations,
fusions, acquisitions, autres regroupements d'entreprises ou autres
transactions qui pourraient être annoncés ou survenir après
le 11 février 2022. Les répercussions financières de ces
transactions et de ces éléments exceptionnels peuvent être
complexes et dépendent des faits propres à chacun d'eux. Nous ne
pouvons donc pas décrire les répercussions prévues de façon
significative ou de la même façon que nous présentons les risques
connus qui touchent notre entreprise. Les énoncés prospectifs
présentés dans ce communiqué visent à aider les investisseurs et
d'autres parties à comprendre certains éléments clés de nos
résultats financiers prévus pour l'exercice 2022 et à obtenir
une meilleure compréhension de notre environnement opérationnel
prévu. Les lecteurs sont avisés que ces renseignements peuvent ne
pas convenir à d'autres fins.
Hypothèses importantes
Les énoncés
prospectifs dans le présent communiqué de presse sont basés sur
certaines hypothèses, y compris, sans s'y limiter :
les répercussions négatives prévues de la pandémie de COVID-19 sur
nos activités, nos résultats d'exploitation, nos flux de trésorerie
et/ou notre situation financière, y compris l'effet escompté
des mesures d'atténuation mises en œuvre à la suite de la pandémie
de COVID-19 et le moment et le degré d'assouplissement des
restrictions de déplacement à l'échelle mondiale liées à la
COVID-19, la conjoncture de marché, la réceptivité des clients
envers les solutions de formation et de soutien opérationnel de
CAE, l'exactitude de nos estimations des marchés potentiels et des
occasions sur les marchés, la réalisation des économies de coûts
récurrentes annuelles prévues et des autres avantages escomptés des
récentes initiatives de restructuration et des programmes
d'excellence opérationnelle, la stabilité des taux de change, la
capacité à couvrir l'exposition aux risques liés aux fluctuations
des taux d'intérêt et des taux de change, la disponibilité
d'emprunts sur lesquels effectuer des prélèvements et l'utilisation
d'une ou de plusieurs de nos conventions de crédit de premier rang,
les liquidités disponibles provenant de notre trésorerie et
équivalents de trésorerie, des montants non utilisés sur nos
facilités de crédit renouvelables, du solde disponible dans le
cadre de notre programme d'achat de créances, de nos flux de
trésorerie provenant des activités d'exploitation et de l'accès
continu au financement par emprunt de façon suffisante pour
répondre aux besoins financiers dans un avenir prévisible, l'accès
aux sources de financement dans les délais prévus, l'absence de
répercussions importantes d'ordre financier, opérationnel
ou concurrentiel découlant de modifications de la
réglementation touchant nos activités, notre capacité à conserver
nos contrats et à en obtenir de nouveaux, la clôture de
l'acquisition proposée de Sabre, l'intégration et la réalisation
des avantages et synergies attendus de l'acquisition proposée de
Sabre dans les délais prévus, notre capacité à réaliser des
synergies et à maintenir notre position sur le marché à la suite de
l'exécution réussie des plans d'intégration liés à l'acquisition de
L3H MT, notre capacité à achever par ailleurs l'intégration de
l'entreprise L3H MT acquise dans les délais prévus et selon
les coûts prévus, notre capacité à attirer et à retenir des
employés clés en lien avec l'acquisition de L3H MT, les
estimations et attentes de la direction par rapport à la
conjoncture économique et commerciale futures et autres facteurs
liés à l'acquisition de L3H MT et aux effets connexes sur la
croissance et l'accroissement de divers paramètres financiers,
la réalisation des avantages stratégiques, financiers et autres
attendus de l'acquisition de L3H MT dans les délais prévus, et
selon les conditions économiques, politiques et du secteur prévues,
l'exactitude et l'exhaustivité des informations, y compris
l'information financière, communiquées au grand public et autres
par L3Harris Technologies, et l'absence de coûts ou de passifs
non déclarés importants liés à l'acquisition de L3H MT. Pour
de plus amples renseignements, y compris à l'égard des autres
hypothèses sous‑jacentes aux énoncés prospectifs formulés dans le
présent communiqué, veuillez vous reporter à la rubrique pertinente
du rapport de gestion de CAE pour l'exercice clos le
31 mars 2021. Compte tenu de l'incidence de l'évolution
des circonstances entourant la pandémie de COVID‑19 et des mesures
connexes prises par CAE, les gouvernements, les autorités
de réglementation, les entreprises et les clients, les hypothèses
de CAE font intrinsèquement l'objet de plus d'incertitude.
Par conséquent, les hypothèses énoncées dans le présent
communiqué et, par ricochet, les énoncés prospectifs fondés sur ces
hypothèses, pourraient se révéler inexacts.
Risques importants
Les facteurs de
risque importants qui pourraient faire en sorte que les résultats
ou événements actuels diffèrent considérablement de ceux exprimés
dans nos énoncés prospectifs sont mentionnés dans le rapport
de gestion pour l'exercice clos le 31 mars 2021
déposé par CAE auprès des Autorités canadiennes en valeurs
mobilières (disponible au www.sedar.com) et auprès de la
Securities and Exchange Commission des États‑Unis
(disponible au www.sec.gov). Le rapport de gestion de
l'exercice 2021 est également disponible au www.cae.com. L'un
ou plusieurs des facteurs décrits dans le rapport de gestion
de CAE pourraient être exacerbés par la pandémie
de COVID‑19 en progression et avoir des conséquences sur
les activités, les résultats d'exploitation et la situation
financière de CAE qui soient beaucoup plus graves que s'il
n'y avait pas eu de pandémie. Ainsi, les lecteurs sont
informés que les risques divulgués pourraient avoir une incidence
défavorable importante sur nos énoncés prospectifs. Nous devons
souligner le fait que la liste des facteurs de risque n'est pas
exhaustive et d'autres facteurs pourraient également avoir des
répercussions défavorables sur nos résultats.
Mesures hors PCGR et autres mesures
financières
Le présent communiqué comprend des mesures hors
PCGR et d'autres mesures financières. Les mesures hors PCGR
fournissent une information supplémentaire utile, mais n'ont pas de
signification normalisée établie conformément aux PCGR. Le
lecteur doit se garder de les confondre avec les mesures du
rendement établies conformément aux PCGR ou de les substituer
à celles‑ci. En outre, il doit éviter de comparer ces mesures
hors PCGR aux mesures portant un nom similaire que fournissent
ou utilisent d'autres sociétés. La direction croit que la
présentation de certaines mesures hors PCGR fournit aux
lecteurs une meilleure compréhension de nos résultats et des
tendances tout en leur fournissant des renseignements additionnels
sur nos résultats financiers et opérationnels.
Changements apportés aux mesures hors PCGR et
aux chiffres comparatifs
Au quatrième trimestre de
l'exercice 2021, nous avons changé la désignation des mesures de
rentabilité suivantes sans en modifier la composition :
- Le résultat opérationnel sectoriel ajusté (auparavant, le
résultat opérationnel sectoriel avant les éléments
particuliers);
- Le BAIIA ajusté (auparavant, le BAIIA avant les éléments
particuliers);
- Le résultat net ajusté (auparavant, le résultat net avant les
éléments particuliers);
- Le résultat ajusté par action (auparavant, le résultat par
action avant les éléments particuliers).
Nous avons également introduit de nouvelles
mesures hors PCGR qui reflètent l'incidence des programmes
d'aide gouvernementale COVID-19 sur les mesures ci‑dessus, de
manière à incorporer les directives récentes et en évolution
des Autorités canadiennes en valeurs mobilières. Ces mesures
ne tiennent pas compte des charges opérationnelles accrues
découlant de la COVID‑19 que nous comptabilisons et qui sont prises
en compte dans nos résultats.
En outre, nous n'utilisons plus la mesure
hors PCGR du résultat opérationnel sectoriel et l'avons
remplacée par le résultat opérationnel sectoriel ajusté.
Les chiffres comparatifs ont été reclassés aux
fins de conformité avec ces changements de présentation.
(1) Le résultat par action ajusté est
une mesure hors PCGR qui est obtenue en éliminant les coûts de
restructuration, d'intégration et d'acquisition, et les pertes de
valeur et les autres profits et pertes découlant de transactions
stratégiques ou d'événements importants, après impôt, ainsi
que les éléments fiscaux non récurrents importants du résultat
dilué par action des activités poursuivies attribuable aux
détenteurs d'instruments de capitaux propres de la Société.
L'incidence par action correspond à ces coûts de restructuration,
d'intégration et d'acquisition et à ces pertes de valeur et autres
profits et pertes, après impôt, de même qu'aux éléments fiscaux
non récurrents, divisés par le nombre moyen pondéré dilué
d'actions. Nous calculons cette mesure parce que nous estimons
qu'elle est un meilleur indicateur de notre performance
opérationnelle par action et qu'elle facilite la comparaison
entre les périodes.
(2) Le résultat par action ajusté,
abstraction faite des programmes d'aide gouvernementale COVID‑19,
exclut en outre l'incidence des apports gouvernementaux liés aux
programmes d'aide COVID‑19 qui ont été portés au crédit du
résultat, après impôt, mais n'est pas ajusté pour tenir compte
des charges opérationnelles accrues découlant de la COVID‑19 que
nous comptabilisons et dont nous tenons compte dans nos
résultats.
(3) Le résultat opérationnel est une
mesure additionnelle conforme aux PCGR qui nous indique quel
résultat nous avons obtenu avant la prise en compte des effets de
certaines décisions financières, structures fiscales et activités
abandonnées. Nous en suivons l'évolution, car nous trouvons qu'il
facilite la comparaison entre les périodes et avec les résultats
d'entreprises et de secteurs d'activité où la structure de
capital et la réglementation fiscale sont différentes des
nôtres.
(4) Le résultat opérationnel sectoriel
ajusté est une mesure hors PCGR qui correspond à la somme des
indicateurs clés utilisés pour mesurer le résultat financier
individuel des secteurs opérationnels. Le résultat opérationnel
sectoriel ajusté donne une indication de la rentabilité
individuelle des secteurs puisqu'il exclut l'incidence des éléments
qui ne se rapportent pas directement à leur performance. Le
résultat opérationnel sectoriel ajusté correspond au résultat
opérationnel, abstraction faite des coûts de restructuration,
d'intégration et d'acquisition, ainsi que des pertes de valeur et
autres profits et pertes découlant des transactions stratégiques ou
d'événements importants. Nous calculons cette mesure parce que nous
estimons qu'elle est un meilleur indicateur de notre performance
opérationnelle et facilite la comparaison entre les périodes. Le
résultat opérationnel sectoriel ajusté est également la mesure de
rentabilité qu'utilise la direction pour prendre des décisions sur
l'attribution des ressources aux secteurs et évaluer la performance
sectorielle.
(5) Le résultat opérationnel sectoriel
ajusté, abstraction faite des programmes d'aide gouvernementale
COVID‑19, exclut en outre l'incidence des apports gouvernementaux
liés aux programmes d'aide COVID‑19 qui ont été portés au crédit du
résultat net, mais n'est pas ajusté pour tenir compte des charges
opérationnelles accrues découlant de la COVID‑19 que nous
comptabilisons et dont nous tenons compte dans nos résultats. Bien
que la direction sache que cette mesure puisse faire l'objet
d'ajustements supplémentaires, elle n'emploierait pas expressément
une telle mesure pour évaluer la rentabilité afin de prendre des
décisions concernant l'affectation des ressources aux secteurs ni
pour évaluer la performance sectorielle.
(6) Les flux de trésorerie disponibles
sont une mesure hors PCGR qui nous indique les sommes dont
nous disposons pour investir dans les occasions de croissance,
rembourser notre dette et nous acquitter de nos obligations
financières courantes. C'est un indicateur de notre santé
financière et de notre liquidité. Ils correspondent aux flux
de trésorerie nets liés aux activités opérationnelles
poursuivies, dont sont soustraits les dépenses d'investissement en
immobilisations liées à la maintenance, les autres actifs sans lien
avec la croissance et les dividendes versés et auxquels sont
ajoutés le produit de la cession d'immobilisations corporelles, les
dividendes reçus des participations mises en équivalence et le
produit des participations mises en équivalence, déduction faite
des paiements.
(7) Prises de commandes et carnet de
commandes
Les prises de commandes sont une mesure
hors PCGR qui nous indique combien valent en principe les
commandes que nous avons reçues :
- Pour le secteur Solutions de formation pour l'aviation civile,
nous considérons qu'un élément fait partie des prises de commandes
dès l'instant où nous avons avec le client une entente commerciale
ayant force obligatoire définissant de façon suffisamment précise
les obligations respectives des parties pour constituer les bases
d'un contrat. Par ailleurs, les produits des activités ordinaires
attendus provenant des clients avec des contrats de formation à
court terme et à long terme sont inclus dès que nous avons de la
part de ces clients leur engagement à nous payer les honoraires de
formation, ou lorsque nous pouvons raisonnablement compter sur la
génération des produits des activités ordinaires;
- Pour le secteur Défense et sécurité, nous considérons qu'un
élément fait partie des prises de commandes dès l'instant où nous
avons avec le client une entente commerciale ayant force
obligatoire définissant de façon suffisamment précise les
obligations respectives des parties pour constituer les bases d'un
contrat. Les contrats du secteur Défense et sécurité sont
généralement réalisés sur une longue période, mais certains d'entre
eux doivent être renouvelés chaque année. Pour ce secteur, nous
n'inscrivons un élément d'un contrat dans les prises de commandes
que lorsque le client en a obtenu l'autorisation et le
financement;
- Pour le secteur Santé, une commande est habituellement
convertie en produits des activités ordinaires dans les 12 mois;
par conséquent, nous présumons que le montant des commandes
correspond aux produits des activités ordinaires.
Le ratio valeur comptable des commandes/ventes
correspond au total des commandes divisé par le total des produits
des activités ordinaires d'une période donnée.
Le carnet de commandes total est une mesure
hors PCGR qui représente les produits des activités ordinaires
attendus et comprend les commandes engagées, le carnet de commandes
des coentreprises de même que les commandes non financées et les
options.
- Les commandes engagées nous indiquent à combien se montent les
commandes que nous avons reçues, mais que nous n'avons pas encore
exécutées. Elles correspondent à la somme des prises de commandes
de la période et du solde des commandes engagées à la fin de
l'exercice précédent, moins les produits des activités ordinaires
comptabilisés pour la période, plus ou moins les ajustements du
carnet de commandes. Si le montant d'une commande déjà comptabilisé
pour un exercice antérieur est modifié, le carnet de commandes est
ajusté;
- Le carnet de commandes des coentreprises se compose de
commandes engagées qui représentent la valeur prévue de notre
quote-part des commandes qu'ont reçues les coentreprises, mais
qu'elles n'ont pas encore exécutées. Le carnet de commandes des
coentreprises est établi sur la même base que pour les commandes
engagées telle qu'elle est décrite ci-dessus;
- Les commandes non financées s'entendent des commandes fermes du
secteur Défense et sécurité que nous avons reçues, mais que nous
n'avons pas encore exécutées et pour lesquelles l'autorisation de
financement n'a pas encore été obtenue. Le carnet de commandes
tient compte des options dont la probabilité d'exercice est élevée,
mais pas des contrats à exécution indéterminée et à quantité
indéterminée (ID/IQ). Lorsqu'une option est exercée, elle est
inscrite dans les prises de commandes de la période et est sortie
des commandes non financées et des options.
(8) Le taux d'utilisation est
l'une des mesures opérationnelles que nous utilisons pour évaluer
la performance de notre réseau de simulateurs du secteur Solutions
de formation pour l'aviation civile. Bien que ce taux n'ait pas de
corrélation exacte avec les produits des activités ordinaires
comptabilisés, nous l'utilisons, parallèlement à d'autres mesures,
puisque nous sommes d'avis qu'il s'agit d'un indicateur de notre
rendement opérationnel. Il correspond au nombre d'heures de
formation vendues sur nos simulateurs pour la période, divisé par
la capacité de formation pratique disponible pour cette même
période.
(9) Le résultat net ajusté est une
mesure hors PCGR que nous utilisons comme mesure additionnelle
de nos résultats opérationnels. Il correspond au résultat net
attribuable aux détenteurs d'instruments de capitaux propres de la
Société au titre des activités poursuivies, et exclut les coûts de
restructuration, d'intégration et d'acquisition et les pertes de
valeur et autres profits et pertes découlant des transactions
stratégiques ou d'événements importants, après impôt, de même que
les éléments fiscaux non récurrents importants. Nous en suivons
l'évolution, car nous trouvons qu'il dresse un meilleur portrait de
notre performance opérationnelle et qu'il nous permet de comparer
plus facilement nos résultats entre les périodes.
(10) Le résultat net ajusté,
abstraction faite des programmes d'aide gouvernementale COVID‑19,
exclut en outre l'incidence des apports gouvernementaux liés aux
programmes d'aide COVID‑19 qui ont été portés au crédit du résultat
net, après impôt, mais n'est pas ajusté pour tenir compte des
charges opérationnelles accrues découlant de la COVID-19 que nous
comptabilisons et dont nous tenons compte dans nos
résultats.
(11) Un simulateur de vol (FFS) est
une reproduction en taille réelle d'un cockpit d'avion d'une
marque, d'un modèle et d'une série donnés, qui comprend un système
de mouvement. Habituellement, le nombre de FFS dans le réseau
n'inclut que les FFS haute fidélité et exclut les dispositifs
de formation fixes et les autres dispositifs de niveau inférieur,
car de tels dispositifs sont généralement utilisés en plus des FFS
dans le cadre des mêmes programmes de formation autorisés.
(12) Le nombre équivalent de
simulateurs (NES) est une mesure opérationnelle qui nous indique le
nombre moyen total de simulateurs de vol qui étaient en état
de dégager des résultats au cours de la période.
(13) Les dépenses d'investissement en
immobilisations liées à la maintenance sont une mesure
hors PCGR que nous utilisons pour calculer les investissements
devant être réalisés pour maintenir les niveaux courants d'activité
économique. Les dépenses d'investissement en immobilisations liées
à la croissance sont une mesure hors PCGR que nous utilisons
pour calculer les investissements devant être réalisés pour
accroître les niveaux courants d'activité économique.
(14) La dette nette est une mesure
hors PCGR qui nous indique à combien se monte notre dette une
fois pris en compte la trésorerie et les équivalents de
trésorerie. Elle nous indique quelle est globalement notre
situation financière. Elle correspond à la différence entre le
montant de la dette à long terme, partie courante comprise, et
le montant de la trésorerie et des équivalents
de trésorerie.
(15) Le ratio de la dette nette sur
les capitaux propres correspond à la dette nette divisée par la
somme du total des capitaux propres et de la dette nette.
(16) Le rendement du capital utilisé
(RCU) est une mesure hors PCGR qui sert à évaluer la rentabilité de
notre capital investi. Nous calculons ce ratio sur une période de
quatre trimestres consécutifs en divisant le résultat net
attribuable aux détenteurs d'instruments de capitaux propres de la
Société, en excluant les charges financières nettes, après impôt,
par le montant moyen du capital utilisé.
Rapprochement du résultat opérationnel sectoriel
ajusté
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Solutions de
formation pour
l'aviation civile
|
|
Défense et
sécurité
|
|
Santé
|
|
Total
|
Trimestres clos les
31 décembre
|
2021
|
|
2020
|
|
2021
|
|
2020
|
|
2021
|
|
2020
|
|
2021
|
|
2020
|
|
Résultat
opérationnel
|
57,1
|
$
|
48,4
|
$
|
16,5
|
$
|
21,8
|
$
|
(8,1)
|
$
|
12,7
|
$
|
65,5
|
$
|
82,9
|
$
|
Coûts de
restructuration, d'intégration
et d'acquisition
|
26,3
|
|
13,6
|
|
15,5
|
|
0,5
|
|
5,4
|
|
0,2
|
|
47,2
|
|
14,3
|
|
Résultat opérationnel
sectoriel (ROS) ajusté
|
83,4
|
$
|
62,0
|
$
|
32,0
|
$
|
22,3
|
$
|
(2,7)
|
$
|
12,9
|
$
|
112,7
|
$
|
97,2
|
$
|
Programmes d'aide
gouvernementale COVID-19
|
--
|
|
3,6
|
|
--
|
|
6,4
|
|
--
|
|
0,6
|
|
--
|
|
10,6
|
|
ROS ajusté, abstraction
faite des programmes
d'aide gouvernementale COVID-19
|
83,4
|
$
|
58,4
|
$
|
32,0
|
$
|
15,9
|
$
|
(2,7)
|
$
|
12,3
|
$
|
112,7
|
$
|
86,6
|
$
|
Rapprochement du résultat net ajusté et du résultat par
action ajusté
|
Trimestres clos
les
31 décembre
|
|
(montants en
millions, sauf les montants par action)
|
2021
|
|
2020
|
|
Résultat net
attribuable aux détenteurs d'instruments de capitaux propres de la
Société
|
26,2
|
$
|
48,8
|
$
|
Coûts de
restructuration, d'intégration et d'acquisition, après
impôt
|
34,5
|
|
11,2
|
|
Résultat net
ajusté
|
60,7
|
$
|
60,0
|
$
|
Programmes d'aide
gouvernementale COVID-19, après impôt
|
--
|
$
|
7,8
|
$
|
Résultat net ajusté,
abstraction faite des programmes d'aide gouvernementale
COVID-19
|
60,7
|
$
|
52,2
|
$
|
|
|
|
|
|
Nombre moyen d'actions
en circulation (dilué)
|
318,7
|
|
273,0
|
|
|
|
|
|
|
RPA ajusté
|
0,19
|
$
|
0,22
|
$
|
RPA ajusté, abstraction
faite des programmes d'aide gouvernementale COVID-19
|
0,19
|
$
|
0,19
|
$
|
Rapprochement des flux de trésorerie disponibles
(montants en
millions)
|
T3-2022
|
|
T3-2021
|
|
Flux de trésorerie liés
aux activités opérationnelles*
|
99,2
|
$
|
125,7
|
$
|
Variation du fonds de
roulement hors trésorerie
|
210,4
|
|
109,1
|
|
Flux de trésorerie nets
liés aux activités opérationnelles
|
309,6
|
$
|
234,8
|
$
|
Dépenses
d'investissement en immobilisations liées à la
maintenance
|
(18,1)
|
|
(5,3)
|
|
Variation des autres
actifs
|
(10,1)
|
|
(9,2)
|
|
Produit de la cession
d'immobilisations corporelles
|
0,2
|
|
1,5
|
|
(Paiements nets versés
aux) produit net tiré des participations mises en
équivalence
|
(19,5)
|
|
0,5
|
|
Dividendes reçus des
participations mises en équivalence
|
20,0
|
|
1,7
|
|
Flux de trésorerie
disponibles
|
282,1
|
$
|
224,0
|
$
|
* avant variation du
fonds de roulement hors trésorerie
|
|
|
|
|
Rapprochement du capital utilisé et de la dette nette
(montants en
millions)
|
31 décembre
2021
|
|
31 mars
2021
|
|
Utilisation du
capital :
|
|
|
|
|
Actifs
courants
|
2
196,1
|
$
|
3 378,6
|
$
|
Déduire :
trésorerie et équivalents de trésorerie
|
(463,5)
|
|
(926,1)
|
|
Passifs
courants
|
(1
861,7)
|
|
(2 633,3)
|
|
Déduire : partie
courante de la dette à long terme
|
195,9
|
|
216,3
|
|
Fonds de roulement hors
trésorerie
|
66,8
|
$
|
35,5
|
$
|
Immobilisations
corporelles
|
2
132,1
|
|
1 969,4
|
|
Autres actifs non
courants
|
4
887,0
|
|
3 400,4
|
|
Autres passifs non
courants
|
(760,9)
|
|
(767,1)
|
|
Total du capital
utilisé
|
6
325,0
|
$
|
4 638,2
|
$
|
Provenance du
capital :
|
|
|
|
|
Partie courante de la
dette à long terme
|
195,9
|
$
|
216,3
|
$
|
Dette à long
terme
|
2
578,1
|
|
2 135,2
|
|
Déduire :
trésorerie et équivalents de trésorerie
|
(463,5)
|
|
(926,1)
|
|
Dette nette
|
2
310,5
|
$
|
1 425,4
|
$
|
Capitaux propres
attribuables aux détenteurs d'instruments de capitaux propres de la
Société
|
3
938,5
|
|
3 140,5
|
|
Participations ne
donnant pas le contrôle
|
76,0
|
|
72,3
|
|
Provenance du
capital
|
6
325,0
|
$
|
4 638,2
|
$
|
Pour d'autres mesures hors PCGR et d'autres
mesures financières surveillées par CAE, et pour un rapprochement
de telles mesures et des mesures définies par les PCGR les
plus directement comparables, veuillez vous reporter à la
rubrique 5 du rapport de gestion de CAE pour le
trimestre clos le 31 décembre 2021 déposé auprès
des Autorités canadiennes en valeurs mobilières qui est
disponible sur notre site Web (www.cae.com) et sur celui
de SEDAR (www.sedar.com).
État consolidé du résultat net
(Non audité)
|
Trimestres clos les
31 décembre
|
Périodes de neuf mois
closes les
31 décembre
|
|
(montants en millions de dollars canadiens, sauf les montants par action)
|
2021
|
|
2020
|
|
2021
|
|
2020
|
|
|
Produits des activités ordinaires
|
848,7
|
$
|
832,4
|
$
|
2
416,3
|
$
|
2 087,6
|
$
|
|
Coût des ventes
|
606,2
|
|
603,5
|
|
1
732,4
|
|
1 559,7
|
|
|
Marge
brute
|
242,5
|
$
|
228,9
|
$
|
683,9
|
$
|
527,9
|
$
|
|
Frais de recherche et de développement
|
31,7
|
|
36,5
|
|
85,9
|
|
82,2
|
|
|
Frais de vente, généraux et d'administration
|
117,5
|
|
105,3
|
|
345,5
|
|
287,4
|
|
|
Autres (profits) et pertes
|
(6,3)
|
|
(1,5)
|
|
(16,1)
|
|
92,4
|
|
|
Quote-part du résultat net après impôt des participations mises en équivalence
|
(13,1)
|
|
(8,6)
|
|
(33,2)
|
|
(0,3)
|
|
|
Coûts de restructuration, d'intégration et d'acquisition
|
47,2
|
|
14,3
|
|
110,9
|
|
65,4
|
|
|
Résultat opérationnel
|
65,5
|
$
|
82,9
|
$
|
190,9
|
$
|
0,8
|
$
|
|
Charges financières - montant
net
|
34,5
|
|
33,3
|
|
98,1
|
|
103,6
|
|
|
Résultat avant
impôt sur le résultat
|
31,0
|
$
|
49,6
|
$
|
92,8
|
$
|
(102,8)
|
$
|
|
Charge (recouvrement) d'impôt sur le résultat
|
2,6
|
|
(0,1)
|
|
(0,1)
|
|
(36,5)
|
|
|
Résultat
net
|
28,4
|
$
|
49,7
|
$
|
92,9
|
$
|
(66,3)
|
$
|
|
Attribuable
aux :
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Détenteurs d'instruments de
capitaux propres de la Société
|
26,2
|
$
|
48,8
|
$
|
86,6
|
$
|
(67,0)
|
$
|
|
Participations ne
donnant pas le contrôle
|
2,2
|
|
0,9
|
|
6,3
|
|
0,7
|
|
|
Résultat par
action attribuable aux détenteurs d'instruments
de capitaux propres de la Société
|
|
|
|
|
|
|
De base
et dilué
|
0,08
|
$
|
0,18
|
$
|
0,28
|
$
|
(0,25)
|
$
|
|
État consolidé du résultat global
(Non audité)
|
Trimestres clos les
31 décembre
|
Périodes de neuf mois
closes les
31 décembre
|
(montants en millions de dollars canadiens)
|
2021
|
|
2020
|
|
2021
|
|
2020
|
|
Résultat net
|
28,4
|
$
|
49,7
|
$
|
92,9
|
$
|
(66,3)
|
$
|
Éléments pouvant être reclassés en résultat net
|
|
|
|
|
Écarts de conversion liés aux
opérations à l'étranger
|
(22,7)
|
$
|
(79,2)
|
$
|
(10,9)
|
$
|
(198,8)
|
$
|
Gain (perte) sur les couvertures d'investissements
nets dans des opérations
à l'étranger - montant net
|
2,2
|
|
53,1
|
|
(5,3)
|
|
125,3
|
|
Reclassement au résultat
net d'écarts de conversion
|
(1,1)
|
|
(3,3)
|
|
(4,3)
|
|
(19,8)
|
|
Gain (perte) sur les
couvertures de flux de trésorerie -
montant net
|
9,5
|
|
17,0
|
|
(8,2)
|
|
60,4
|
|
Reclassement au résultat net du
gain sur les couvertures de flux de
trésorerie
|
(12,1)
|
|
(6,0)
|
|
(12,0)
|
|
(18,4)
|
|
Impôt sur le résultat
|
2,5
|
|
(4,5)
|
|
3,0
|
|
(15,5)
|
|
|
(21,7)
|
$
|
(22,9)
|
$
|
(37,7)
|
$
|
(66,8)
|
$
|
Éléments qui ne seront jamais
reclassés en résultat net
|
|
|
|
|
Réévaluations des obligations au titre
des régimes de retraite à
prestations définies
|
(20,9)
|
$
|
7,1
|
$
|
15,2
|
$
|
(100,8)
|
$
|
Perte sur les
actifs financiers détenus à la juste valeur par le
biais du résultat
global - montant net
|
--
|
|
(1,8)
|
|
--
|
|
(1,8)
|
|
Impôt sur le résultat
|
5,6
|
|
(1,7)
|
|
(3,9)
|
|
26,8
|
|
|
(15,3)
|
$
|
3,6
|
$
|
11,3
|
$
|
(75,8)
|
$
|
Autres éléments du résultat global
|
(37,0)
|
$
|
(19,3)
|
$
|
(26,4)
|
$
|
(142,6)
|
$
|
Total du résultat global
|
(8,6)
|
$
|
30,4
|
$
|
66,5
|
$
|
(208,9)
|
$
|
Attribuable aux
:
|
|
|
|
|
Détenteurs d'instruments de capitaux
propres de la Société
|
(10,4)
|
$
|
31,3
|
$
|
60,4
|
$
|
(205,0)
|
$
|
Participations ne
donnant pas le contrôle
|
1,8
|
|
(0,9)
|
|
6,1
|
|
(3,9)
|
|
État consolidé de la situation financière
(Non audité)
|
31 décembre
|
|
31 mars
|
|
(montants en millions de dollars canadiens)
|
2021
|
|
2021
|
|
Actif
|
|
|
|
|
Trésorerie et équivalents de trésorerie
|
463,5
|
$
|
926,1
|
$
|
Dépôts soumis à
restrictions au titre des reçus de
souscription
|
--
|
|
700,1
|
|
Créances clients
|
522,5
|
|
518,6
|
|
Actifs sur contrat
|
538,4
|
|
461,9
|
|
Stocks
|
546,9
|
|
647,8
|
|
Acomptes
|
57,3
|
|
52,1
|
|
Impôt sur le résultat
à recouvrer
|
46,2
|
|
39,8
|
|
Actifs financiers dérivés
|
21,3
|
|
32,2
|
|
Total de l'actif courant
|
2
196,1
|
$
|
3 378,6
|
$
|
Immobilisations corporelles
|
2
132,1
|
|
1 969,4
|
|
Actifs au
titre des droits d'utilisation
|
349,8
|
|
308,5
|
|
Immobilisations incorporelles
|
3
428,9
|
|
2 055,8
|
|
Investissement dans les
participations mises en équivalence
|
454,8
|
|
422,2
|
|
Actifs d'impôt différé
|
121,7
|
|
104,9
|
|
Actifs financiers dérivés
|
6,7
|
|
13,2
|
|
Autres actifs non courants
|
525,1
|
|
495,8
|
|
Total de l'actif
|
9
215,2
|
$
|
8 748,4
|
$
|
Passif et capitaux propres
|
|
|
|
|
Dettes fournisseurs et charges à
payer
|
890,9
|
$
|
945,6
|
$
|
Provisions
|
34,0
|
|
52,6
|
|
Impôt sur le résultat à
payer
|
16,7
|
|
16,2
|
|
Passifs sur contrat
|
698,7
|
|
674,7
|
|
Partie courante de la dette
à long terme
|
195,9
|
|
216,3
|
|
Passifs au
titre des reçus de souscription
|
--
|
|
714,1
|
|
Passifs financiers dérivés
|
25,5
|
|
13,8
|
|
Total du
passif courant
|
1
861,7
|
$
|
2 633,3
|
$
|
Provisions
|
25,5
|
|
30,9
|
|
Dette à long
terme
|
2
578,1
|
|
2 135,2
|
|
Obligations au
titre des redevances
|
145,7
|
|
141,8
|
|
Obligations au
titre des avantages du personnel
|
216,7
|
|
222,2
|
|
Passifs d'impôt différé
|
78,3
|
|
123,5
|
|
Passifs financiers dérivés
|
1,4
|
|
3,1
|
|
Autres passifs non courants
|
293,3
|
|
245,6
|
|
Total du
passif
|
5
200,7
|
$
|
5 535,6
|
$
|
Capitaux propres
|
|
|
|
|
Capital-actions
|
2
223,9
|
$
|
1 516,2
|
$
|
Surplus d'apport
|
37,6
|
|
22,5
|
|
Cumul des autres
éléments du résultat global
|
35,4
|
|
58,1
|
|
Résultats non
distribués
|
1
641,6
|
|
1 543,7
|
|
Capitaux propres attribuables aux détenteurs d'instruments de
capitaux propres de la Société
|
3
938,5
|
$
|
3 140,5
|
$
|
Participations ne
donnant pas le contrôle
|
76,0
|
|
72,3
|
|
Total des capitaux propres
|
4
014,5
|
$
|
3 212,8
|
$
|
Total du passif et des
capitaux propres
|
9
215,2
|
$
|
8 748,4
|
$
|
État consolidé des variations des
capitaux propres
(Non audité)
|
Attribuable aux détenteurs
d'instruments de capitaux propres de la
Société
|
|
|
|
Période de neuf mois close le 31 décembre 2021
|
Actions ordinaires
|
|
|
Cumul des autres
|
|
|
|
Participations
|
|
Total des
|
|
(montants en millions de dollars canadiens, sauf les nombres d'actions
|
Nombre
d'actions
|
Valeur
attribuée
|
|
Surplus
d'apport
|
|
éléments du
résultat global
|
|
Résultats non
distribués
|
|
Total
|
|
ne donnant
pas le contrôle
|
|
capitaux propres
|
|
Soldes au
31 mars 2021
|
293 355
463
|
1 516,2
|
$
|
22,5
|
$
|
58,1
|
$
|
1 543,7
|
$
|
3 140,5
|
$
|
72,3
|
$
|
3
212,8
|
$
|
Résultat net
|
--
|
--
|
$
|
--
|
$
|
--
|
$
|
86,6
|
$
|
86,6
|
$
|
6,3
|
$
|
92,9
|
$
|
Autres éléments du
résultat global
|
--
|
--
|
|
--
|
|
(37,5)
|
|
11,3
|
|
(26,2)
|
|
(0,2)
|
|
(26,4)
|
|
Total du résultat
global
|
--
|
--
|
$
|
--
|
$
|
(37,5)
|
$
|
97,9
|
$
|
60,4
|
$
|
6,1
|
$
|
66,5
|
$
|
Émission d'actions
ordinaires suite à la conversion des reçus de
souscription
|
22 400 000
|
677,2
|
|
12,5
|
|
--
|
|
--
|
|
689,7
|
|
--
|
|
689,7
|
|
Exercice d'options
sur actions
|
1 227 885
|
30,5
|
|
(4,0)
|
|
--
|
|
--
|
|
26,5
|
|
--
|
|
26,5
|
|
Charge liée aux
paiements fondés sur des actions
|
--
|
--
|
|
6,6
|
|
--
|
|
--
|
|
6,6
|
|
--
|
|
6,6
|
|
Transfert des pertes
réalisées sur les couvertures
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
de flux de trésorerie liés aux regroupements d'entreprises
|
--
|
--
|
|
--
|
|
14,8
|
|
--
|
|
14,8
|
|
--
|
|
14,8
|
|
Transactions avec
les participations ne donnant pas
le contrôle
|
--
|
--
|
|
--
|
|
--
|
|
--
|
|
--
|
|
(2,4)
|
|
(2,4)
|
|
Soldes au 31 décembre
2021
|
316 983
348
|
2
223,9
|
$
|
37,6
|
$
|
35,4
|
$
|
1
641,6
|
$
|
3
938,5
|
$
|
76,0
|
$
|
4
014,5
|
$
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Attribuable aux détenteurs
d'instruments de capitaux propres de la
Société
|
|
|
|
Période de neuf mois close le 31 décembre 2020
|
Actions ordinaires
|
|
Cumul
des autres
|
|
|
|
Participations
|
|
Total des
|
|
(montants en millions de dollars canadiens, sauf les nombres d'actions)
|
Nombre d'actions
|
Valeur
attribuée
|
|
Surplus
d'apport
|
|
éléments du
résultat global
|
|
Résultats non
distribués
|
|
Total
|
|
ne donnant
pas le contrôle
|
|
capitaux
propres
|
|
Soldes au
31 mars 2020
|
265 619
627
|
679,5
|
$
|
26,9
|
$
|
193,2
|
$
|
1 590,1
|
$
|
2 489,7
|
$
|
88,6
|
$
|
2 578,3
|
$
|
Résultat net
|
--
|
--
|
$
|
--
|
$
|
--
|
$
|
(67,0)
|
$
|
(67,0)
|
$
|
0,7
|
$
|
(66,3)
|
$
|
Autres éléments du
résultat global
|
--
|
--
|
|
--
|
|
(64,0)
|
|
(74,0)
|
|
(138,0)
|
|
(4,6)
|
|
(142,6)
|
|
Total du résultat
global
|
--
|
--
|
$
|
--
|
$
|
(64,0)
|
$
|
(141,0)
|
$
|
(205,0)
|
$
|
(3,9)
|
$
|
(208,9)
|
$
|
Émission d'actions ordinaires aux termes d'un
placement d'actions
|
16 594 126
|
478,8
|
|
--
|
|
--
|
|
--
|
|
478,8
|
|
--
|
|
478,8
|
|
Exercice d'options
sur actions
|
547 025
|
11,1
|
|
(1,4)
|
|
--
|
|
--
|
|
9,7
|
|
--
|
|
9,7
|
|
Charge liée aux
paiements fondés sur des actions
|
--
|
--
|
|
8,8
|
|
--
|
|
--
|
|
8,8
|
|
--
|
|
8,8
|
|
Transactions avec
les participations ne donnant pas
le contrôle
|
--
|
--
|
|
--
|
|
--
|
|
--
|
|
--
|
|
(5,8)
|
|
(5,8)
|
|
Soldes au 31 décembre 2020
|
282 760
778
|
1 169,4
|
$
|
34,3
|
$
|
129,2
|
$
|
1 449,1
|
$
|
2 782,0
|
$
|
78,9
|
$
|
2 860,9
|
$
|
Tableau consolidé des flux de trésorerie
(Non audité)
|
|
Périodes de neuf mois closes les 31 décembre
|
(montants en millions de dollars canadiens)
|
2021
|
|
2020
|
|
Activités opérationnelles
|
|
|
|
Résultat net
|
92,9
|
$
|
(66,3)
|
$
|
Ajustements pour :
|
|
|
|
Dotation aux amortissements
|
229,6
|
|
241,0
|
|
Dépréciation d'actifs non
financiers
|
33,7
|
|
137,6
|
|
Quote-part du résultat net
après impôt des participations mises en
équivalence
|
(33,2)
|
|
(0,3)
|
|
Impôt sur le
résultat différé
|
(18,1)
|
|
(39,5)
|
|
Crédits d'impôt à l'investissement
|
(21,4)
|
|
(22,6)
|
|
Charge liée aux
paiements fondés sur des actions
|
3,3
|
|
2,5
|
|
Régimes de retraite à
prestations définies
|
10,0
|
|
11,8
|
|
Autres passifs non courants
|
(32,8)
|
|
(15,0)
|
|
Actifs et
passifs financiers dérivés - montant net
|
8,1
|
|
(27,5)
|
|
Autres
|
40,4
|
|
44,8
|
|
Variation du fonds de roulement hors trésorerie
|
(101,1)
|
|
(74,5)
|
|
Flux de trésorerie nets liés aux activités opérationnelles
|
211,4
|
$
|
192,0
|
$
|
Activités d'investissement
|
|
|
|
Regroupements d'entreprises, nets de la trésorerie acquise
|
(1
384,8)
|
$
|
(134,7)
|
$
|
Acquisition d'un
investissement dans une participation mise
en équivalence
|
(4,3)
|
|
--
|
|
Ajouts d'immobilisations corporelles
|
(197,5)
|
|
(57,1)
|
|
Produit de la cession d'immobilisations corporelles
|
8,1
|
|
1,7
|
|
Ajouts d'immobilisations incorporelles
|
(64,4)
|
|
(45,0)
|
|
(Paiements nets versés
aux) produit net reçu des participations
mises en équivalence
|
(19,9)
|
|
1,4
|
|
Dividendes reçus des
participations mises en équivalence
|
20,6
|
|
11,7
|
|
Autres
|
(2,4)
|
|
(5,1)
|
|
Flux de trésorerie nets liés aux activités d'investissement
|
(1
644,6)
|
$
|
(227,1)
|
$
|
Activités de financement
|
|
|
|
Remboursement net au titre des prélèvements aux termes des facilités de crédit
renouvelables
|
--
|
$
|
(705,6)
|
$
|
Produit tiré de la dette à long
terme
|
422,4
|
|
23,3
|
|
Remboursement sur la dette
à long terme
|
(60,9)
|
|
(18,4)
|
|
Remboursement sur les obligations
locatives
|
(75,5)
|
|
(59,9)
|
|
Produit net de l'émission
d'actions ordinaires
|
695,5
|
|
482,6
|
|
Autres
|
(3,0)
|
|
(0,7)
|
|
Flux de trésorerie nets liés aux activités de financement
|
978,5
|
$
|
(278,7)
|
$
|
Incidence des écarts de conversion sur la trésorerie
|
|
|
|
|
et les équivalents de trésorerie
|
(7,9)
|
$
|
(12,8)
|
$
|
Diminution nette de la trésorerie et des équivalents de trésorerie
|
(462,6)
|
$
|
(326,6)
|
$
|
Trésorerie et équivalents de trésorerie à l'ouverture de la période
|
926,1
|
|
946,5
|
|
Trésorerie et équivalents de trésorerie à la clôture de la période
|
463,5
|
$
|
619,9
|
$
|
SOURCE CAE INC.