TORONTO, le
26 mai 2016 /CNW/ - La Banque Royale du Canada (RY sur TSX et NYSE) a annoncé
aujourd'hui son intention, sous réserve de l'approbation du Bureau
du surintendant des institutions financières (BSIF) et de la Bourse
de Toronto, de lancer une offre
publique de rachat dans le cours normal des activités par
l'intermédiaire de la Bourse de Toronto et de racheter, en vue de les annuler,
jusqu'à 20 millions d'actions ordinaires, soit environ
1,3 % de ses actions ordinaires en circulation au
20 mai 2016. Le 20 mai 2016, la Banque comptait
1 488 261 713 actions ordinaires en
circulation. La Banque compte déposer un avis d'intention auprès de
la Bourse de Toronto à cet
égard.
Les rachats débuteront vers le
1er juin 2016, à condition que la Bourse de
Toronto ait accepté l'avis
d'intention, et se poursuivront jusqu'au 31 mai 2017
ou aux environs de cette date. Les rachats pourront être effectués
par l'intermédiaire de la Bourse de Toronto, de la Bourse de New York, et
d'autres bourses et systèmes de négociation canadiens désignés. Les
actions seront rachetées à leur cours au moment du rachat.
Les rachats envisagés donneront à la Banque la souplesse voulue
pour gérer ses ratios de capital tout en créant de la valeur pour
les actionnaires. Au 30 avril 2016, les ratios de la
composante actions ordinaires et assimilées T1, de capital de
catégorie 1 et de capital total de la Banque s'établissaient à
10,3 %, à 11,9 % et à 14,0 %, respectivement.
Mise en garde concernant les déclarations
prospectives
Certaines déclarations contenues dans le
présent communiqué de presse pourraient être réputées constituer
des déclarations prospectives aux termes de certaines lois sur les
valeurs mobilières, notamment des « mesures refuges »
(safe harbor) de la Private Securities Litigation Reform
Act of 1995 des États-Unis et des lois canadiennes sur les
valeurs mobilières applicables. Ces déclarations prospectives
comprennent notamment les déclarations concernant l'offre publique
de rachat dans le cours normal des activités de la Banque Royale du
Canada. Les mots
« croire », « s'attendre à »,
« prévoir », « se proposer »,
« estimer », « planifier »,
« projeter », « devoir » et
« pouvoir », de même que l'emploi du futur ou du
conditionnel ainsi que de mots et d'expressions semblables dénotent
généralement des déclarations prospectives.
De par leur nature même, les déclarations prospectives reposent
sur des hypothèses et font l'objet d'incertitudes et de risques
intrinsèques qui entraînent la possibilité que nos prédictions,
prévisions, projections, attentes ou conclusions se révèlent
inexactes, que nos hypothèses s'avèrent erronées et que nos
déclarations prospectives, y compris les déclarations relatives à
l'offre publique de rachat dans le cours normal des activités de la
Banque Royale du Canada, ne se
matérialisent pas. Nous avertissons les lecteurs de ne pas se fier
indûment à ces déclarations, puisque nos résultats réels pourraient
différer sensiblement des attentes exprimées dans ces déclarations
prospectives en raison d'un certain nombre de facteurs de risques.
Ces facteurs, dont plusieurs sont indépendants de notre volonté et
dont nous pouvons difficilement prédire les effets,
comprennent : les risques de crédit, de marché, de liquidité,
de financement, d'assurance, de non-conformité à la réglementation
et de concurrence, les risques opérationnels, stratégiques,
réputationnels et systémiques, les risques liés au cadre juridique
et réglementaire ainsi que d'autres risques qui sont expliqués aux
rubriques Gestion du risque et Aperçu d'autres risques de notre
rapport annuel de 2015, de même qu'à la rubrique Gestion du
risque de notre rapport aux actionnaires du deuxième trimestre
de 2016 ; la faiblesse des prix du pétrole et du
gaz ; l'endettement élevé des ménages canadiens ;
l'exposition à des secteurs plus volatils, comme les prêts liés au
secteur immobilier commercial et le financement à effet de
levier ; la cybersécurité ; la lutte
anti-blanchiment ; la conjoncture commerciale et économique au
Canada, aux États-Unis et dans
certains autres pays où nous exerçons nos activités ;
l'incidence des modifications des politiques gouvernementales
fiscales, monétaires et autres ; le risque fiscal et la
transparence ; le risque environnemental.
Nous avertissons les lecteurs que la liste susmentionnée de
facteurs de risque n'est pas exhaustive et que d'autres facteurs
pourraient également avoir une incidence défavorable sur nos
résultats. Les investisseurs et autres personnes qui se fient à nos
déclarations prospectives pour prendre des décisions à notre égard
doivent bien tenir compte de ces facteurs et d'autres incertitudes
et événements potentiels. Les hypothèses économiques importantes
qui sous-tendent les déclarations prospectives contenues dans le
présent communiqué sont présentées à la rubrique Vue d'ensemble et
perspectives et, pour chacun de nos secteurs d'exploitation, à la
rubrique Perspectives et priorités de notre rapport
annuel 2015, tel que mis à jour par la rubrique Vue d'ensemble
de notre rapport aux actionnaires du deuxième trimestre
de 2016. Des renseignements supplémentaires sur ces facteurs
et sur d'autres facteurs sont fournis
aux rubriques Gestion du risque et Aperçu d'autres risques de notre
rapport annuel de 2015, de même qu'à la rubrique Gestion du
risque de notre rapport aux actionnaires du deuxième trimestre
de 2016. À moins que la loi ne l'exige, nous ne nous engageons
pas à mettre à jour quelque déclaration prospective que ce soit qui
est faite dans le présent communiqué.
SOURCE RBC (French)