Sauf indication contraire, tous les montants sont libellés en
dollars canadiens et sont basés sur nos états financiers dressés
selon la Norme comptable internationale 34 Information
financière intermédiaire. Notre rapport aux actionnaires
portant sur le premier trimestre de 2020 ainsi que notre document
d'information financière complémentaire sont disponibles sur notre
site Web, à l'adresse http://www.rbc.com/investisseurs.
Bénéfice net
3,5 milliards
de dollars
Bénéfice record
|
Bénéfice dilué par
action
2,40 $
Solide croissance de 12 %
d'un exercice à l'autre
|
RCP
(1)
17,6 %
Déploiement équilibré
des capitaux
|
Ratio CET1
12,0 %
Excellent ratio
de fonds propres
|
TORONTO, le 21 févr. 2020 /CNW/
- La Banque Royale du Canada (RY
sur TSX et NYSE) a déclaré aujourd'hui un bénéfice net de
3 509 millions de dollars pour le trimestre
clos le 31 janvier 2020, en hausse de 337 millions, ou
11 %, par rapport au trimestre correspondant
de l'exercice précédent et une solide croissance du bénéfice
dilué par action de 12 %. Ces résultats reflètent la
croissance record du bénéfice du secteur Marchés des Capitaux ainsi
que la forte croissance du bénéfice du secteur Services
bancaires aux particuliers et aux entreprises, éléments
qui témoignent du maintien de la croissance élevée des volumes
dans notre secteur Services bancaires canadiens. La progression a
également été favorisée par la hausse marquée du bénéfice des
secteurs Gestion de patrimoine et
Assurances. Ces facteurs ont été neutralisés en partie
par la diminution des résultats du secteur Services aux
investisseurs et de trésorerie.
Comparativement au trimestre précédent, le bénéfice net a grimpé
de 303 millions de dollars grâce à l'augmentation des
résultats des secteurs Marchés des Capitaux, Services aux
investisseurs et de trésorerie, Services bancaires aux particuliers
et aux entreprises et Services de soutien généraux. Ces facteurs
ont été contrebalancés en partie par le recul du bénéfice des
secteurs Gestion de patrimoine et
Assurances. Les résultats du quatrième trimestre de 2019
tenaient compte du profit tiré de la vente des activités de BlueBay
dans le secteur de la dette privée
(134 millions de dollars après impôt) du
secteur Gestion de patrimoine,
lequel a été compensé en grande partie par l'accroissement des
indemnités de départ et coûts connexes (83 millions après
impôt) associés au repositionnement de notre secteur Services aux
investisseurs et de trésorerie, ainsi que par un ajustement
comptable défavorable (41 millions après impôt) dans le
secteur Services de soutien généraux.
Les résultats du trimestre reflètent aussi une diminution de la
dotation à la provision pour pertes de crédit, le ratio total
de la dotation à la provision pour pertes de crédit liées aux prêts
s'étant établi à 26 points de base (p.b.). Le ratio de la
dotation à la provision pour pertes de crédit liée aux prêts
douteux s'est établi à 21 p.b., soit une amélioration de
6 p.b. par rapport au trimestre précédent en raison de la
diminution des dotations liées aux prêts douteux dans les secteurs
Services bancaires aux particuliers et aux entreprises et
Gestion de patrimoine. Notre
position de capital est demeurée solide, avec un ratio de fonds
propres de première catégorie sous forme d'actions ordinaires
(CET1) de 12,0 %. De plus, nous avons annoncé aujourd'hui
une majoration de 0,03 $, ou 3 %, de notre dividende
trimestriel, le portant ainsi à 1,08 $ par action.
« Nous avons connu
un excellent début d'exercice, le bénéfice ayant grimpé de 11 %
d'un exercice à l'autre. Nos résultats témoignent de la force que
représentent nos activités diversifiées, notre stratégie ciblée et
l'engagement indéfectible de nos collègues pour créer plus de
valeur pour les clients tout en positionnant la banque pour
l'avenir. En plus d'afficher un bénéfice record pour le trimestre,
nous sommes heureux d'annoncer une majoration de trois pour cent de
notre dividende trimestriel. Dans le contexte d'incertitude
macroéconomique actuel, nous continuons de miser sur la gestion
prudente des risques, de mettre à profit notre envergure et notre
situation concurrentielle et d'équilibrer nos investissements dans
la technologie et les talents pour assurer une croissance durable à
long terme. »
- Dave McKay, président et chef de la direction de
RBC
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T1
2020
|
•
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Bénéfice net de 3 509
millions de dollars
|
↑
|
11 %
|
par rapport
au
|
•
|
Bénéfice dilué par
action de 2,40 $
|
↑
|
12 %
|
T1
2019
|
•
|
RCP (1) de
17,6 %
|
↑
|
90 p.b.
|
|
•
|
Ratio CET1 de 12,0
%
|
↑
|
60 p.b.
|
T1
2020
|
•
|
Bénéfice net de 3 509
millions de dollars
|
↑
|
9 %
|
par rapport
au
|
•
|
Bénéfice dilué par
action de 2,40 $
|
↑
|
10 %
|
T4
2019
|
•
|
RCP (1) de
17,6 %
|
↑
|
140 p.b
|
|
•
|
Ratio CET1 de 12,0
%
|
↓
|
10 p.b.
|
|
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|
|
|
(1)
|
RCP :
Rendement des capitaux propres attribuables aux actionnaires
ordinaires. Cette mesure n'a pas de sens normalisé en vertu des
PCGR. Pour de plus amples renseignements, se reporter à
la rubrique Principales mesures du rendement et mesures hors PCGR
figurant à la page 3 du présent communiqué.
|
Services bancaires aux particuliers et aux
entreprises
Le bénéfice net a atteint 1 686 millions de dollars,
en hausse de 115 millions, ou 7%, par rapport à l'exercice
précédent, en raison surtout de la croissance moyenne des prêts,
qui s'est établie à 7 %, ce qui rend compte de la forte
progression des prêts hypothécaires résidentiels et de
la solide croissance moyenne des dépôts de 9 % dans le
secteur Services bancaires canadiens. La hausse des frais de
placement liés aux fonds communs de placement attribuable à
l'augmentation des soldes permise par l'appréciation marquée des
marchés et des ventes nettes a également contribué à
l'augmentation. Ces facteurs ont été atténués par le rétrécissement
des écarts ayant découlé surtout de l'incidence des pressions
concurrentielles sur les prix et des changements dans l'offre de
produits. Le bénéfice net a également été touché par la hausse des
coûts liés à la technologie et coûts connexes, y compris
les solutions numériques destinées à nos clients, qu'il
s'agisse de particuliers ou d'entreprises, ainsi que par
l'augmentation des coûts liés au personnel. Les résultats de
l'exercice précédent tenaient également compte d'une réduction de
valeur des actifs d'impôt différé par suite d'un changement apporté
au taux d'imposition des sociétés à la Barbade.
En regard du trimestre précédent, le bénéfice net a grimpé de 68
millions de dollars, ou 4 %, sous l'effet essentiellement de
la diminution de la dotation à la provision pour pertes de
crédit et de la hausse des revenus sur cartes.
Gestion de patrimoine
Le bénéfice net s'est chiffré à 623 millions de dollars, en
hausse de 26 millions, ou 4 %, par rapport à il y a un
an, en raison surtout de l'augmentation de la moyenne des actifs
liés aux services tarifés des clients qui s'explique par
l'appréciation des marchés, attribuable surtout à la vigueur des
marchés boursiers d'Amérique du Nord et aux ventes nettes,
lesquelles ont bénéficié de la confiance des clients, qui
continuent de faire appel à nous pour une part grandissante de
leurs activités. L'augmentation des volumes de transactions a
également contribué à cette hausse. Ces facteurs ont été atténués
par l'augmentation de la rémunération variable proportionnelle à la
croissance des revenus et par l'accroissement des coûts liés à la
technologie et au personnel. Les résultats de l'exercice précédent
ont également été touchés par un ajustement comptable favorable de
28 millions de dollars en lien avec le secteur Gestion de patrimoine - Canada.
Comparativement au trimestre précédent, le bénéfice net a
diminué de 106 millions de dollars, ou 15 %, en raison surtout
du profit tiré de la vente des activités de BlueBay dans le secteur
de la dette privée (134 millions après impôt) au trimestre
précédent.
Assurances
Le bénéfice net s'est établi à 181 millions de dollars, en
hausse de 15 millions, ou 9 %, sur un an, du fait surtout
de nouveaux contrats de réassurance du risque de longévité, en
partie contrebalancée par l'incidence moindre des renégociations de
contrats de réassurance.
En regard du trimestre précédent, le bénéfice net a fléchi de
101 millions de dollars, ou 36 %, en raison surtout de l'incidence
d'une baisse de la sinistralité favorable liée aux placements, de
nouveaux contrats de réassurance du risque de longévité et de
renégociations de contrats de réassurance.
Services aux investisseurs et de trésorerie
Le bénéfice net de 143 millions de dollars a reculé de
18 millions, ou 11 %, par rapport à il y a un an, en
raison surtout du rétrécissement des marges sur les dépôts des
clients et de la baisse des revenus tirés de nos services
d'administration d'actifs.
Comparativement au trimestre précédent, le bénéfice net a bondi
de 98 millions de dollars, en raison surtout de la
comptabilisation, au trimestre précédent, des indemnités de départ
et coûts connexes associés au repositionnement du secteur.
Marchés des Capitaux
Le bénéfice net s'est chiffré à 882 millions de dollars, en
progression de 229 millions, ou 35 %, par rapport à il y a un
an, ce qui témoigne surtout de la hausse des revenus tirés des
activités de négociation de titres à revenu fixe dans toutes les
régions, les activités de négociation d'obligations de sociétés et
de taux d'intérêt ayant été particulièrement avantageuses.
L'intensification des activités de fusion et acquisition,
principalement en Amérique du Nord, et l'intensification des
activités d'origination de titres de créance, surtout aux
États‑Unis, sont également à l'origine de l'augmentation. En outre,
la dotation à la provision pour pertes de crédit a diminué parce
que les résultats de l'exercice précédent tenaient compte de
l'incidence d'une dotation liée aux prêts douteux à l'égard d'un
compte du secteur des services publics. Ces facteurs ont été
atténués par l'accroissement de la rémunération découlant de
résultats supérieurs et par une hausse du taux d'imposition
effectif, laquelle reflète principalement des changements dans la
composition du bénéfice.
En regard du trimestre précédent, le bénéfice net a bondi de 298
millions de dollars, ou 51 %, en raison surtout de
l'accroissement des revenus des secteurs Marchés mondiaux et Grande
entreprise et services de banque d'investissement. Ces facteurs ont
été contrebalancés en partie par la hausse de la rémunération
découlant de résultats supérieurs et par une augmentation du taux
d'imposition effectif, ce qui reflète principalement les
changements dans la composition du bénéfice.
Fonds propres et qualité du crédit
Fonds propres - Au 31 janvier 2020, le
ratio CET1 au titre de Bâle III s'élevait à 12,0 %,
en baisse de 10 p.b. par rapport au trimestre précédent, sous
l'effet essentiellement de l'accroissement de l'actif pondéré en
fonction des risques, des rachats d'actions, de l'incidence de la
baisse des taux d'actualisation servant au calcul de nos
obligations au titre des prestations de retraite et des autres
avantages postérieurs à l'emploi ainsi que de l'incidence nette des
changements de réglementation et de l'actualisation des
modèles, facteurs atténués par les capitaux
autogénérés. Nous avons versé à nos actionnaires une tranche
de 2,2 milliards de dollars de notre bénéfice trimestriel,
soit plus de 60 %, par voie de dividendes et de rachats
d'actions.
Qualité du crédit - Le total de la dotation à la
provision pour pertes de crédit s'est établi à 419 millions de
dollars. La dotation à la provision pour pertes de crédit liée
aux prêts s'est chiffrée à 421 millions de dollars, en baisse
de 95 millions, ou 18 %, par rapport au
trimestre correspondant de l'exercice précédent, en raison
surtout de la diminution des dotations dans les secteurs Marchés
des Capitaux et Gestion de
patrimoine. Le ratio total de la dotation à la provision pour
pertes de crédit liée aux prêts s'est fixé à 26 p.b., soit une
amélioration de 8 p.b. par rapport à l'exercice précédent. Le ratio
de la dotation à la provision pour pertes de crédit liée aux prêts
douteux s'est quant à lui chiffré à 21 p.b.
La dotation à la provision pour pertes de crédit liée aux prêts
a diminué de 84 millions de dollars, ou 17 %, par rapport au
trimestre précédent, et le ratio total de la dotation à la
provision pour pertes de crédit liée aux prêts s'est amélioré de 6
p.b. comparativement au trimestre précédent. Le ratio de la
dotation à la provision pour pertes de crédit liée aux prêts
douteux s'est amélioré de 6 p.b. en raison de la diminution
des dotations liées aux prêts douteux dans le secteur Services
bancaires aux particuliers et aux entreprises, plus
particulièrement dans le portefeuille de prêts commerciaux des
Services bancaires canadiens, ainsi que dans le secteur
Gestion de patrimoine.
Banque relationnelle à l'ère numérique
Le nombre d'utilisateurs de services mobiles actifs sur 90 jours
s'est accru de 15 % par rapport à il y a un an pour atteindre
4,6 millions, le nombre de sessions mobiles s'étant ainsi
accru de 22 %. L'adoption du numérique a progressé pour
atteindre 52,5 %.
Principales mesures du rendement et mesures hors
PCGR
Nous mesurons et évaluons le rendement de nos activités
consolidées et de chacun de nos secteurs d'exploitation en fonction
d'un certain nombre de paramètres financiers, dont le bénéfice
net et le rendement des capitaux propres attribuables aux
actionnaires ordinaires. Le rendement des capitaux propres
attribuables aux actionnaires ordinaires n'a pas de définition
normalisée en vertu des PCGR. Nous l'utilisons à titre de
mesure du rendement du total du capital investi dans nos
secteurs.
Pour de plus amples renseignements sur le rendement des capitaux
propres attribuables aux actionnaires ordinaires et les autres
principales mesures du rendement et mesures hors PCGR, se reporter
à la rubrique Principales mesures du rendement et mesures hors PCGR
de notre rapport aux actionnaires portant sur le premier trimestre
de 2020.
MISE EN GARDE AU SUJET DES DÉCLARATIONS PROSPECTIVES
À l'occasion, nous faisons des déclarations prospectives
verbalement ou par écrit au sens de certaines lois sur les valeurs
mobilières, y compris les règles d'exonération de la
Private Securities Litigation Reform Act of 1995 des
États-Unis, et de toute loi sur les valeurs mobilières en vigueur
au Canada. Nous pouvons faire des
déclarations prospectives dans le présent communiqué portant sur
les résultats, dans d'autres documents déposés auprès des
organismes de réglementation canadiens ou de la SEC, dans d'autres
rapports aux actionnaires et dans d'autres communications. Les
déclarations prospectives dans le présent document comprennent,
sans toutefois s'y limiter, les déclarations relatives à nos
objectifs en matière de rendement financier, à notre vision et à
nos objectifs stratégiques, à l'examen de la conjoncture
économique, des marchés et du contexte réglementaire et aux
perspectives concernant les économies canadienne, américaine,
européenne et internationale, au contexte réglementaire au sein
duquel nous exerçons nos activités, et au contexte de gestion des
risques, y compris le risque de liquidité et de
financement ainsi que les déclarations de notre président et
chef de la direction. L'information prospective contenue dans le
présent communiqué portant sur les résultats est présentée afin
d'aider les détenteurs de nos titres et les analystes financiers à
comprendre notre situation financière et nos résultats
d'exploitation aux dates présentées et pour les périodes closes à
ces dates, ainsi que nos objectifs en matière de rendement
financier, notre vision et nos objectifs stratégiques, et pourrait
ne pas convenir à d'autres fins. Les mots « croire »,
« s'attendre à », « prévoir », « se
proposer », « estimer », « planifier »,
« viser », « projeter », « devoir »
et « pouvoir », de même que l'emploi du futur ou du
conditionnel ainsi que de mots et d'expressions semblables dénotent
généralement des déclarations prospectives.
De par leur nature même, les déclarations prospectives nous
obligent à formuler des hypothèses et font l'objet d'incertitudes
et de risques intrinsèques qui donnent lieu à la possibilité que
nos prédictions, prévisions, projections, attentes et conclusions
se révèlent inexactes, que nos hypothèses soient incorrectes, et
que nos objectifs en matière de rendement financier, notre vision
et nos objectifs stratégiques ne se matérialisent pas. Nous
avertissons nos lecteurs de ne pas se fier indûment à ces
déclarations étant donné que les résultats réels pourraient
différer de façon significative des attentes exprimées dans ces
déclarations prospectives, en raison d'un certain nombre de
facteurs de risque. Ces facteurs, dont plusieurs sont indépendants
de notre volonté et dont nous pouvons difficilement prévoir les
répercussions, comprennent les risques de crédit, de marché, de
liquidité et de financement, d'assurance, de non-conformité à la
réglementation et de réputation, les risques liés au cadre
juridique et réglementaire et à la concurrence, ainsi que les
risques opérationnel, stratégique et systémique et d'autres risques
qui sont expliqués aux rubriques portant sur le risque de notre
rapport annuel 2019 ainsi qu'à la rubrique Gestion du risque
de notre rapport aux actionnaires portant sur le premier trimestre
de 2020, y compris les technologies de l'information et le
cyber-risque, les risques liés à la protection de la vie privée,
aux données et aux tierces parties, l'incertitude géopolitique, le
prix des maisons et l'endettement des ménages au Canada, les changements de réglementation,
l'innovation et les bouleversements numériques, les changements
climatiques, le contexte commercial et la conjoncture économique
dans les secteurs géographiques où nous exerçons nos activités,
l'incidence des modifications des politiques budgétaires,
monétaires et autres de gouvernements, le risque fiscal et la
transparence, ainsi que les risques environnementaux et
sociaux.
Nous avertissons nos lecteurs que la liste susmentionnée de
facteurs de risque n'est pas exhaustive et que d'autres facteurs
pourraient également avoir une incidence défavorable sur nos
résultats. Les investisseurs et autres personnes qui se fient à nos
déclarations prospectives pour prendre des décisions ayant trait à
la Banque Royale du Canada doivent
bien tenir compte de ces facteurs et d'autres incertitudes et
événements potentiels. Les hypothèses économiques significatives
qui sous‑tendent les déclarations prospectives du présent
communiqué portant sur les résultats sont présentées à la rubrique
Examen de la conjoncture économique, des marchés et du contexte
réglementaire et perspectives et, pour chaque secteur
d'exploitation, aux rubriques Priorités stratégiques et
Perspectives de notre rapport annuel 2019, mises à jour à la
rubrique Examen de la conjoncture économique, des marchés et du
contexte réglementaire et perspectives de notre rapport aux
actionnaires portant sur le premier trimestre de 2020. Sauf si la
loi l'exige, nous ne nous engageons pas à mettre à jour quelque
déclaration prospective que ce soit, verbale ou écrite, que nous
pouvons faire ou qui peut être faite pour notre compte à
l'occasion.
Des renseignements supplémentaires sur ces facteurs et sur
d'autres facteurs sont fournis aux
rubriques portant sur le risque de notre rapport annuel 2019
ainsi qu'à la rubrique Gestion du risque de notre rapport aux
actionnaires portant sur le premier trimestre de 2020.
L'information fournie dans les sites Web susmentionnés ou
pouvant être obtenue par l'intermédiaire de ces sites ne fait pas
partie du présent communiqué portant sur les résultats. Tous les
renvois à des sites Web contenus dans le présent communiqué portant
sur les résultats sont inactifs et ne sont indiqués qu'à titre
informatif.
ACCÈS AUX DOCUMENTS TRAITANT DES RÉSULTATS
TRIMESTRIELS
Les investisseurs, médias et autres parties
intéressées peuvent consulter le présent communiqué portant sur les
résultats trimestriels, les diapositives sur nos résultats
trimestriels, de l'information financière supplémentaire et notre
rapport aux actionnaires du premier trimestre de 2020 en
accédant à l'adresse rbc.com/investisseurs.
Conférence téléphonique sur les résultats trimestriels et
diffusion Web
La conférence téléphonique sur les résultats
trimestriels aura lieu le 21 février 2020 à 8 h (HNE) et
comportera une présentation par les dirigeants de RBC de nos
résultats pour le premier trimestre. Cette présentation sera
suivie d'une période de questions pour les analystes.
Les parties intéressées pourront écouter en direct la conférence
téléphonique en accédant
à l'adresse rbc.com/investisseurs/quarterly-financial-statements.html
ou en composant le 416-340-2217 ou le 866-696-5910 et en
entrant le code d'accès 7752881#, entre 7 h 50 et
7 h 55 (HNE).
Les commentaires de la direction seront affichés sur notre site
Web peu après la conférence téléphonique. De plus, il sera possible
d'écouter un enregistrement de la conférence dès le
21 février 2020 à 17 h (HNE), et ce, jusqu'au 26 mai
2020, en accédant à l'adresse
rbc.com/investisseurs/quarterly-financial-statements.html ou en
composant le 905-694-9451 ou le 800-408-3053 et en entrant le code
d'accès 5219292#.
APERÇU DE RBC
La Banque Royale du Canada est une institution financière mondiale
définie par sa raison d'être, guidée par des principes et orientée
vers l'excellence en matière de rendement. Notre succès est
attribuable aux quelque 85 000 employés qui concrétisent
notre vision, nos valeurs et notre stratégie afin que
nous puissions contribuer à la prospérité de nos clients et au
dynamisme des collectivités. Selon
la capitalisation boursière, nous sommes la plus importante
banque du Canada et l'une des plus grandes banques du
monde. Nous avons adopté un modèle d'affaires diversifié axé sur
l'innovation qui nous permet d'offrir des expériences
exceptionnelles à 17 millions de clients au Canada, aux États-Unis et dans 34 autres
pays. Pour en savoir plus, visitez le site rbc.com.
Nous sommes fiers d'appuyer une grande diversité d'initiatives
communautaires par des dons, des investissements dans la
collectivité et le travail bénévole de nos employés. Pour de plus
amples renseignements, visitez le site
rbc.com/collectivites-impact-social.
Les désignations commerciales utilisées dans le présent
communiqué portant sur les résultats comprennent le symbole du LION
et du GLOBE TERRESTRE, BANQUE ROYALE DU CANADA et
RBC, lesquelles sont des désignations commerciales de la Banque
Royale du Canada utilisées par la
Banque Royale du Canada ou par ses
filiales autorisées. Toutes les autres désignations commerciales
mentionnées dans le présent communiqué portant sur les résultats, y
compris celles qui ne sont pas la propriété de la
Banque Royale du Canada, sont
la propriété de leurs propriétaires respectifs.
SOURCE Banque Royale du Canada