Arrêt prématuré de l’essai de phase III consacré à Libtayo®
(cémiplimab) en monothérapie dans le traitement du cancer du col de
l’utérus en raison d'un résultat positif en matière de survie
globale
Arrêt prématuré de l’essai de phase III
consacré à Libtayo® (cémiplimab) en monothérapie dans le traitement
du cancer du col de l’utérus en raison d'un résultat positif en
matière de survie globale
- Libtayo est le premier médicament d’immunothérapie à démontrer
une amélioration de la survie globale chez les patientes atteintes
d’un cancer du col de l’utérus, avec une réduction de 31 % du
risque de décès comparativement à la chimiothérapie.
- L’essai a recruté des patientes porteuses d’un cancer du col de
l’utérus au stade avancé, indépendamment du niveau d’expression de
PD-L1.
- Il s’agit de la quatrième forme de cancer contre laquelle
Libtayo dispose de données pivots positives ; des soumissions
réglementaires sont prévues en 2021.
PARIS et TARRYTOWN (New York) – Le 15
mars 2021 – Les résultats positifs d’un essai de phase III
ayant démontré le bénéfice d’une monothérapie par Libtayo®
(cémiplimab) – l’inhibiteur de PD-1 développé par Sanofi et
Regeneron – sur la survie globale, comparativement à une
chimiothérapie, chez des patientes atteintes d’un cancer du col de
l’utérus déjà traité par chimiothérapie, en rechute ou
métastatique, ont été annoncés aujourd’hui. Le Comité
indépendant de surveillance et de suivi des données s’est prononcé
à l’unanimité en faveur de l’arrêt prématuré de l’essai, et les
données serviront de base aux soumissions réglementaires en
2021.
« Libtayo en monothérapie est le premier
médicament ayant permis de démontrer, dans le cadre d’un essai de
phase III, une amélioration de la survie globale des femmes
atteintes d’un cancer du col de l’utérus en rechute ou métastatique
ayant progressé sous chimiothérapie à base de platine », a précisé
le docteur Krishnansu S. Tewari, Professeur et Directeur de la
Division d’oncologie gynécologique de l’Université de Californie à
Irvine et investigateur de l’essai. « Il s’agit là d’un résultat
clinique décisif qui apportera de l'espoir aux femmes atteintes
d'un cancer du col de l'utérus au stade avancé, qui sont souvent
des patientes plus jeunes atteintes d'autres cancers. Cela se
reflète dans l'essai où l'âge moyen était de 51 ans. »
Cet essai est le plus vaste essai clinique
randomisé de phase III consacré au traitement du cancer du col de
l’utérus au stade avancé. Il a inclus des femmes (âge médian :
51 ans) porteuses soit d’un carcinome épidermoïde, soit d’un
adénocarcinome du col utérin. Les patientes ont été randomisées
pour recevoir soit une monothérapie par Libtayo (350 mg, toutes les
trois semaines), soit une chimiothérapie conventionnelle choisie
par l’investigateur (par pémetrexed, vinorelbine, topotécan,
irinotécan ou gemcitabine). Les résultats obtenus par les patientes
traitées par Libtayo, comparativement à celles traitées par
chimiothérapie, ont été les suivants :
- Population totale : réduction de 31 % du
risque de décès
- Survie médiane de 12 mois pour les patientes traitées par
Libtayo (n=304), contre 8,5 mois pour celles traitées par
chimiothérapie (n=304) ; hazard ratio (HR) : 0,69 ; intervalle de
confiance (IC) à 95 % : 0,56-0,84 (p<0,001)
- Carcinome épidermoïde : réduction de 27%
du risque de décès
- Survie médiane de 11,1 mois pour les patientes traitées par
Libtayo (n=239), contre 8,8 pour celles traitées par chimiothérapie
(n=238) ; HR : 0,73 ; IC à 95 % : 0,58-0,91
(p=0,003)
- Adénocarcinome : réduction de 44 % du
risque de décès
- Survie médiane de 13,3 mois pour les patientes traitées par
Libtayo (n=65), contre 7,0 mois pour celles traitées par
chimiothérapie (n=66) ; HR : 0,56 ; IC à 95 % :
0,36-0,85 (p<0,005 ; non ajusté pour la multiplicité)
Le critère d’évaluation principal de l’essai
était la survie globale, analysée en premier lieu chez les
patientes atteintes d’un carcinome épidermoïde du col de l’utérus,
puis dans la population totale de l’essai. Le Comité indépendant de
surveillance et de suivi des données a examiné les résultats de
survie globale, après une analyse intermédiaire prévue dans le
protocole de l’essai et la survenue d’approximativement 85 %
des événements parmi les patientes atteintes d’un carcinome
épidermoïde. Au vu du bénéfice hautement significatif de Libtayo
sur la survie globale observé chez ces patientes, le Comité a
recommandé l’arrêt de l’essai. Des résultats détaillés seront
présentés dans le cadre d’un prochain congrès médical.
L’utilisation de Libtayo pour le traitement du cancer du col de
l’utérus est expérimentale et aucun organisme de réglementation ne
l’a encore pleinement évaluée.
Aucun nouveau signal de sécurité concernant
Libtayo n’a été observé. L’innocuité a été évaluée chez les
patientes ayant reçu au moins une dose du traitement à l’étude,
soit 300 patientes pour le groupe Libtayo (durée
médiane de l’exposition : 15 semaines ; intervalle :
1 à 101 semaines) et 290 patientes pour le groupe chimiothérapie
(durée médiane de l’exposition : 10 semaines ; intervalle : 1
à 82 semaines). Des événements indésirables ont été observés chez
88 % des patientes traitées par Libtayo et 91 % des
patientes traitées par chimiothérapie, avec des événements
indésirables graves chez 30 % des patientes traitées par
Libtayo et 27 % des patientes traitées par chimiothérapie. Les
cinq événements indésirables les plus fréquents ont été l’anémie
(25 % pour Libtayo, 45 % pour la chimiothérapie), les
nausées (18 % pour Libtayo, 33 % pour la chimiothérapie),
la fatigue (17 % pour Libtayo, 16 % pour la
chimiothérapie), les vomissements (16 % pour Libtayo,
23 % pour la chimiothérapie) et la constipation (15 %
pour Libtayo, 20 % pour la chimiothérapie). Les autres
événements indésirables observés plus souvent dans le groupe
Libtayo et chez au moins 10 % des patientes ont été la fatigue
(17 % pour Libtayo, 16 % pour la chimiothérapie), les
infections des voies urinaires (12% pour Libtayo, 9 % pour la
chimiothérapie), les dorsalgies (11 % pour Libtayo, 9 %
pour la chimiothérapie) et l’arthralgie (10 % pour Libtayo,
3 % pour la chimiothérapie). Les événements indésirables ont
motivé l’arrêt du traitement chez 9 % des patientes traitées
par Libtayo et 5 % des patientes traitées par
chimiothérapie.
« Nous nous engageons à développer des
traitements anticancéreux répondant à des besoins médicaux
importants, comme ceux que présentent les patientes atteintes d’un
cancer du col de l’utérus au stade avancé », a indiqué le
Docteur Peter C. Adamson, Responsable Monde du Développement,
Oncologie et Innovation en pédiatrie, de Sanofi. « Les données
de cet essai, ajoutées à celles obtenues dans le cadre des études
consacrées au cancer de la peau non-mélanome et au cancer du
poumon, contribuent au corpus croissant de données probantes
illustrant le potentiel important de Libtayo et son intérêt pour un
grand nombre de cancers difficiles à traiter. »
L’annonce d’aujourd’hui fait suite à la récente
approbation, aux États-Unis, de Libtayo en monothérapie pour le
traitement de certaines catégories de patients porteurs d’un cancer
du poumon non à petites cellules (CPNPC) au stade avancé dont les
tumeurs expriment une concentration élevée de protéines PD-L1.
Libtayo est également le premier médicament d’immunothérapie que la
FDA a récemment autorisé pour le traitement des patients atteints
d’un carcinome basocellulaire (CBC) déjà traités par un inhibiteur
de la voie Hedgehog (HHI) ou auxquels un HHI ne convient pas et
dont le cancer est soit localement avancé (approbation complète),
soit métastatique (approbation accélérée). En 2018, Libtayo est
devenu le premier médicament à visée systémique approuvé pour le
traitement de certaines catégories de patients porteurs d’un
carcinome épidermoïde cutané (CEC) au stade avancé.
« Le cancer du col de l’utérus en rechute
ou métastatique est notoirement difficile à traiter et il n’existe
aucun médicament de référence approuvé après une chimiothérapie de
première intention », a ajouté le Docteur Israel Lowy, Ph.D.,
Senior Vice-Président, Sciences cliniques et translationnelles,
Oncologie, de Regeneron. « Cet essai, dans lequel ont été
recrutées des patientes indépendamment de leur niveau d’expression
de PD-IL1, a montré que Libtayo permet aux patientes atteintes d’un
cancer du col l’utérus récurrent ou métastatique, de vivre plus
longtemps après échec d’une chimiothérapie. Il s’agit de la
quatrième population de patients pour laquelle Libtayo a démontré
un bénéfice clinique et nous sommes impatients de soumettre les
résultats aux autorités réglementaires dans le courant de l’année.
»
À propos de l’essai de phase
IIICet essai clinique multicentrique de phase III, en
ouvert et randomisé, a comparé une monothérapie par Libtayo à une
chimiothérapie choisie par l’investigateur chez des patientes
atteintes d’un cancer du col de l’utérus en rechute ou métastatique
ayant progressé sous chimiothérapie à base de platine. Le
recrutement des patientes s’est opéré indépendamment de leur niveau
d’expression de PD-L1 ; 78 % d’entre elles présentaient
un carcinome épidermoïde et 22 % un adénocarcinome du col
utérin. L’essai a inclus des femmes de 14 pays différents :
États-Unis, Japon, Taïwan, Corée du Sud, Canada, Russie, Pologne,
Espagne, Brésil, Australie, Royaume-Uni, Italie, Grèce et
Belgique.À propos du cancer du col de l’utérus Le
cancer du col de l’utérus est la quatrième cause de décès par
cancer chez la femme dans le monde et il est le plus souvent
diagnostiqué entre l’âge de 35 et de 44 ans. Presque tous les cas
de cancer du col de l’utérus sont causés par une infection génitale
provoquée par les souches oncogènes du papillomavirus humain ;
environ 80 % des cancers du col de l’utérus sont des carcinomes
épidermoïdes (développés à partir des cellules malpighiennes
qui tapissent la surface externe du col) et le reste étant en
grande partie des adénocarcinomes (développés à partir des cellules
glandulaires qui tapissent l’intérieur du col de l’utérus). Le
cancer du col de l’utérus peut souvent être guéri lorsqu’il est
détecté tôt et pris en charge efficacement, mais les options
thérapeutiques sont plus limitées lorsqu’il a atteint un stade
avancé.
Selon les estimations, environ 570 000
femmes sont diagnostiquées d’un cancer du col de l’utérus chaque
année dans le monde. Aux États-Unis, 14 500 nouveaux cas sont
diagnostiqués chaque année, et environ 4000 femmes en meurent.
À propos de LibtayoLibtayo est
un anticorps monoclonal entièrement humain qui se lie au récepteur
de checkpoint immunitaire PD-1 (récepteur-1 de mort cellulaire
programmée) sur les lymphocytes T. Sa liaison au récepteur PD-1
permet d’empêcher les cellules tumorales d’emprunter le voie PD-1
et donc d’inhiber la fonction des lymphocytes T.
Aux États-Unis, Libtayo est approuvé pour
certaines catégories de patients atteints d’un CEC, d’un CBC et
d’un CPNPC au stade avancé, avec un niveau d’expression de PD-L1
supérieur ou égal à 50 %. En dehors des États-Unis, Libtayo est
approuvé pour le traitement de certaines catégories de patients
atteints d’un CEC, dans l’Union européenne et six autres pays dont
l’Australie, le Brésil, le Royaume-Uni et le Canada.
Aux États-Unis, la dénomination générique de
Libtayo dans ses indications approuvées est cemiplimab-rwlc, le
suffixe « rwlc » ayant été attribué conformément à la nomenclature
publiée par la Food and Drug Administration des États-Unis
(Nonproprietary Naming of Biological Products Guidance for
Industry). En dehors des États-Unis, la dénomination générique de
Libtayo, dans ses indications approuvées, est cémiplimab.
À propos du programme de développement
consacré à Libtayo Le programme clinique étendu consacré à
Libtayo porte sur des cancers difficiles à traiter. L’Agence
européenne des médicaments évalue actuellement les soumissions
réglementaires relatives à Libtayo en monothérapie pour le
traitement du CPNPC au stade avancé avec un niveau d’expression de
PD-L1 supérieur ou égal à 50 % et du CBC localement avancé
après un traitement par inhibiteur de la voie Hedgehog. Les
décisions de la Commission européenne sont attendues au deuxième
semestre de 2021.
Libtayo en monothérapie est étudié dans le cadre
d’essais pour le traitement adjuvant et néoadjuvant du CEC, ainsi
que dans le cadre d’essais associant Libtayo à des approches
thérapeutiques, nouvelles ou conventionnelles, pour le traitement
de tumeurs solides et de cancers hématologiques. Ces utilisations
potentielles sont encore expérimentales et aucun organisme de
réglementation n’a encore pleinement évalué leurs profils
respectifs de sécurité et d’efficacité.
Libtayo est développé conjointement par
Regeneron et Sanofi dans le cadre d’un accord de collaboration
global.
À propos de RegeneronRegeneron
(NASDAQ: REGN) est une grande société de biotechnologie qui invente
des médicaments aptes à transformer la vie des personnes atteintes
de maladies graves. Fondée il y 30 ans et dirigée par des
médecins-chercheurs, la capacité unique de l’entreprise à
transformer ses recherches scientifiques en médicament a donné lieu
au développement de neuf médicaments, qui ont été approuvés par la
FDA, et de plusieurs produits-candidats, pratiquement tous issus de
ses activités de recherche interne. Ses médicaments et son
portefeuille de développement sont conçus pour aider les patients
souffrant de maladies oculaires, de maladies allergiques et
inflammatoires, de cancer, de maladies cardiovasculaires et
métaboliques, de douleur, d’hématologie, de maladies infectieuses
et maladies rares.
Regeneron accélère et améliore le processus de
développement traditionnel des médicaments grâce à VelociSuite®,
une suite unique de technologies dont fait partie VelocImmune®, qui
fait appel à une souris humanisée unique pour le développement
optimal d’anticorps entièrement humains et d’anticorps
bispécifiques, ainsi qu’à des initiatives ambitieuses comme le
Regeneron Genetics Center, l’un des plus grands centres de
séquençage génétique du monde.
Pour plus d’informations sur Regeneron, voir le
site www.regeneron.com ou suivre @Regeneron sur Twitter.
À propos de Sanofi La vocation de
Sanofi est d’accompagner celles et ceux confrontés à des
difficultés de santé. Entreprise biopharmaceutique mondiale
spécialisée dans la santé humaine, nous prévenons les maladies avec
nos vaccins et proposons des traitements innovants. Nous
accompagnons tant ceux qui sont atteints de maladies rares, que les
millions de personnes souffrant d’une maladie
chronique. Sanofi et ses plus de 100 000 collaborateurs dans
100 pays transforment l'innovation scientifique en solutions de
santé partout dans le monde. Sanofi, Empowering Life, donner
toute sa force à la vie. |
|
Relations médias
Sanofi Sally Bain Tél.: +1 (781) 264-1091
sally.bain@sanofi.com
Relations
médias RegeneronTaylor RamseyTél: +1 (914)
409-2381taylor.ramsey@regeneron.com |
Relations Investisseurs Sanofi -
ParisEva Schaefer-JansenArnaud DelepineYvonne
Naughton Relations
Investisseurs Sanofi - Amérique du NordFelix LauscherFara
BerkowitzSuzanne Greco Ligne principale Relations
Investisseurs :Tél.: +33 (0)1 53 77 45
45 investor.relations@sanofi.com https://www.sanofi.com/en/investors/contact Relations
Investisseurs RegeneronVesna TosicTél: +1 (914)
847-5443vesna.tosic@regeneron.com |
Déclarations prospectives -
Sanofi Ce communiqué contient des déclarations
prospectives. Ces déclarations ne constituent pas des faits
historiques. Ces déclarations comprennent des projections et des
estimations ainsi que les hypothèses sur lesquelles celles-ci
reposent, des déclarations portant sur des projets, des objectifs,
des intentions et des attentes concernant des résultats financiers,
des événements, des opérations, des services futurs, le
développement de produits et leur potentiel ou les performances
futures. Ces déclarations prospectives peuvent souvent être
identifiées par les mots « s’attendre à », « anticiper », « croire
», « avoir l’intention de », « estimer » ou « planifier », ainsi
que par d’autres termes similaires. Bien que la direction de Sanofi
estime que ces déclarations prospectives sont raisonnables, les
investisseurs sont alertés sur le fait que ces déclarations
prospectives sont soumises à de nombreux risques et incertitudes,
difficilement prévisibles et généralement en dehors du contrôle de
Sanofi, qui peuvent impliquer que les résultats et événements
effectifs réalisés diffèrent significativement de ceux qui sont
exprimés, induits ou prévus dans les informations et déclarations
prospectives. Ces risques et incertitudes comprennent notamment les
incertitudes inhérentes à la recherche et développement, les
futures données cliniques et analyses, y compris postérieures à la
mise sur le marché, les décisions des autorités réglementaires,
telles que la FDA ou l’EMA, d’approbation ou non, et à quelle date,
de la demande de dépôt d’un médicament, d’un procédé ou d’un
produit biologique pour l’un de ces produits candidats, ainsi que
leurs décisions relatives à l’étiquetage et d’autres facteurs qui
peuvent affecter la disponibilité ou le potentiel commercial de ces
produits candidats, le fait que les produits candidats s’ils sont
approuvés pourraient ne pas rencontrer un succès commercial,
l’approbation future et le succès commercial d’alternatives
thérapeutiques, la capacité de Sanofi à saisir des opportunités de
croissance externe et à finaliser les transactions y relatives,
l’évolution des cours de change et des taux d’intérêt,
l’instabilité des conditions économiques et de marché, , des
initiatives de maîtrise des coûts et leur évolution, l’impact que
le COVID-19 aura sur Sanofi, ses clients, fournisseurs et
partenaires et leur situation financière, ainsi que sur ses
employés et sur l’économie mondiale. Tout impact significatif
sur ces derniers pourrait négativement impacter Sanofi. La
situation évolue rapidement et d’autres conséquences que nous
ignorons pourraient apparaitre et exacerber les risques
précédemment identifiés. Ces risques et incertitudes incluent aussi
ceux qui sont développés ou identifiés dans les documents publics
déposés par Sanofi auprès de l’AMF et de la SEC, y compris ceux
énumérés dans les rubriques « Facteurs de risque » et «
Déclarations prospectives » du Document d’enregistrement universel
2020 de Sanofi, qui a été déposé auprès de l’AMF ainsi que dans les
rubriques « Risk Factors » et « Cautionary Statement Concerning
Forward-Looking Statements » du rapport annuel 2020 sur Form 20-F
de Sanofi, qui a été déposé auprès de la SEC. Sanofi ne prend aucun
engagement de mettre à jour les informations et déclarations
prospectives sous réserve de la réglementation applicable notamment
les articles 223-1 et suivants du règlement général de l’Autorité
des marchés financiers. Déclarations
prospectives - Regeneron Ce communiqué de presse contient
des déclarations prospectives concernant des risques et des
incertitudes liés à des événements futurs et à la performance
future de Regeneron Pharmaceuticals, Inc. (« Regeneron » ou la «
Société »). Les événements ou résultats réels peuvent différer
considérablement de ces informations prospectives. Des termes tels
que « anticiper », « s'attendre à », « avoir l’intention », «
planifier », « croire », « rechercher », « estimer », des variantes
de ces termes et des expressions similaires ont pour but
d’identifier ces déclarations prospectives, bien que toutes les
déclarations prospectives ne contiennent pas ces termes
explicites. Ces déclarations concernent, et ces risques et
incertitudes incluent, entre autres, l’impact que le SARS-CoV-2 (le
virus à l’origine de la pandémie de COVID-19) peut avoir sur les
activités, les employés, les collaborateurs et les fournisseurs de
Regeneron, ainsi que sur les autres tiers sur lesquels compte
l’entreprise, sur l’aptitude de Regeneron et de ses collaborateurs
à poursuivre la conduite des programmes de recherche et cliniques,
sur la capacité de Regeneron à gérer sa chaîne d’approvisionnement,
les ventes nettes des produits mis sur le marché ou commercialisés
par Regeneron et (ou) ses collaborateurs (ci-après, les « produits
de Regeneron »), et sur l’économie mondiale ; la nature, le
calendrier, ainsi que le succès et les applications thérapeutiques
possibles des produits et produits-candidats de Regeneron et des
programmes de recherche et cliniques en cours ou prévus, y compris,
sans limitation, ceux consacrés à Libtayo® (cémiplimab) pour le
traitement de première ligne des patients atteints d’un cancer du
poumon non à petites cellules (CPNPC) au stade avancé dont les
tumeurs expriment un niveau élevé de protéines PD-L1 ;
l’incertitude de l'acceptation sur le marché et du succès
commercial des produits et produits-candidats de Regeneron et
l’impact des études (qu'elles soient conduites par Regeneron ou
autres et qu'elles soient mandatées ou volontaires), en particulier
celles dont il est questions dans le présent communiqué de presse,
sur le succès commercial de tels produits (comme Libtayo) et
produits candidats ; la probabilité, le moment et l'étendue d'une
éventuelle approbation réglementaire et du lancement commercial des
produits-candidats de Regeneron et de nouvelles indications pour
ses produits, comme Libtayo dans le traitement adjuvant ou
néoadjuvant des cancers épidermoïdes cutanés, dans le traitement du
CPNPC (en association avec une chimiothérapie) et du cancer du col
de l’utérus (ainsi qu’en association avec des approches
conventionnelles ou de nouvelles approches thérapeutiques pour le
traitement de tumeurs solides et de cancers du sang) ; les
problèmes de sécurité résultant de l'administration des produits
(comme Libtayo) et produits candidats de Regeneron chez des
patients, y compris des complications graves ou des effets
indésirables liés à l'utilisation des produits et
produits-candidats de Regeneron dans le cadre d’essais cliniques ;
les décisions des autorités réglementaires et administratives
susceptibles de retarder ou de limiter la capacité de Regeneron à
continuer de développer ou de commercialiser ses produits et ses
produits-candidats ; les obligations réglementaires et la
surveillance en cours ayant une incidence sur les produits et
produits-candidats de Regeneron), les programmes de recherche et
cliniques et les activités commerciales, y compris celles relatives
à la vie privée des patients ; la disponibilité et l'étendue du
remboursement des produits de Regeneron par les tiers payeurs, HMO,
organismes de gestion des soins et régimes publics tels que
Medicare et Medicaid ; les décisions en matière
de prise en charge et de
remboursement par ces tiers payeurs
et les nouvelles politiques et
procédures qu’ils sont susceptibles
d’adopter ; la possibilité que des médicaments ou
candidats-médicaments concurrents soient supérieurs aux produits et
produits-candidats de Regeneron ou qu’ils présentent un meilleur
profil coût-efficacité ; la mesure dans laquelle les résultats des
programmes de recherche et développement menés par Regeneron ou ses
collaborateurs peuvent être reproduits dans le cadre d'autres
études et (ou) déboucher sur la conduite d’essais cliniques,
conduire à des applications thérapeutiques ou obtenir l’approbation
des organismes réglementaires ; la capacité de Regeneron à
fabriquer et à gérer des chaînes d'approvisionnement pour plusieurs
produits et produits-candidats ; la capacité des collaborateurs,
fournisseurs ou autres tierces parties de Regeneron (le cas
échéant) d'effectuer la fabrication, le remplissage, la finition,
l'emballage, l'étiquetage, la distribution et d'autres étapes liées
aux produits et produits-candidats de Regeneron ; les dépenses
imprévues ; les coûts de développement, de production et de vente
de produits ; la capacité de Regeneron à respecter ses prévisions
ou ses prévisions financières et à modifier les hypothèses
sous-jacentes ; la possibilité que tout accord de licence, de
collaboration ou de fourniture, y compris les accords de Regeneron
avec Sanofi, Bayer et Teva Pharmaceutical Industries Ltd. (ou leurs
sociétés affiliées respectives, le cas échéant), soient annulés ou
résiliés sans autre succès du produit ; et les risques liés à la
propriété intellectuelle d’autres parties et aux litiges en cours
ou futurs, y compris, sans limitation, les litiges en matière de
brevets et autres procédures connexes relatifs à EYLEA®
(aflibercept), solution injectable, à Dupixent® (dupilumab), à
Praluent® (alirocumab) et à REGEN-COVTM (casirivimab et
imdévimab), tout autre contentieux et toute autre procédure
et enquête gouvernementale sur l’entreprise et (ou) ses
activités, l’issue de toute procédure de ce type et l’impact que ce
qui précède peut avoir sur les activités, les perspectives, les
résultats d’exploitation et la situation financière de Regeneron.
Une description plus complète de ces risques, ainsi que d’autres
risques importants, figure dans les documents déposés par Regeneron
auprès de la Securities and Exchange Commission des États-Unis, en
particulier dans son Form 10-K pour l’exercice clos le 31 décembre
2020. Toutes les déclarations prospectives sont fondées sur
les convictions et le jugement actuels de
la direction et le lecteur est
prié de ne pas se fier
aux déclarations prospectives formulées
par Regeneron. Regeneron n’assume aucune obligation de mise à
jour (publique ou autre) des déclarations prospectives, y compris,
notamment, des projections ou des prévisions financières, que ce
soit à la suite de nouvelles informations, d’événements futurs ou
autrement. Regeneron utilise son site Web dédié aux relations
avec les investisseurs et aux relations avec les médias ainsi que
ses réseaux sociaux pour publier des informations importantes sur
la Société, y compris des informations qui peuvent être considérées
comme importantes pour les investisseurs. Les informations
financières et autres concernant Regeneron sont régulièrement
publiées et accessibles sur son site Web dédié aux relations avec
les investisseurs et aux relations avec les médias
(http://newsroom.regeneron.com) et sur son fil Twitter
(http://twitter.com/regeneron). |
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