KEYTRUDA en monothérapie a atteint un taux
de réponse de 22,2 pour cent chez les patients précédemment
traités
Les résultats de l’étude KEYNOTE-028 ont été
présentés à l’European Cancer Congress 2015
Site MSD, le 26 septembre 2015 – MSD, plus connu sous
l’appellation Merck aux États-Unis et au Canada, a annoncé
aujourd’hui la première présentation des résultats de l’enquête sur
l’utilisation de KEYTRUDA® (pembrolizumab), la thérapie anti-PD-1
de la société, en monothérapie chez les patients atteints de
carcinome nasopharyngé inopérable avancé (NPC) – un type de cancer
de la tête et du cou – dont les tumeurs expriment la PD-L1 (≥ 1 %
des cellules dans les nids de tumeurs ou de bandes de PD-L1+ dans
le stroma). Les données sont issues d’une étude de phase 1b
(KEYNOTE-028) et présentaient un taux de réponse globale (ORR)
(confirmé et non confirmé) de 22,2 pour cent (IC à 95 %, 8,6-42,3)
chez les patients évaluables (n=27) ayant reçu un traitement par
KEYTRUDA. Les résultats ont été présentés dans une session orale
par le Dr Chiun Hsu du National Taiwan University Hospital, à
l’European Cancer Congress (ECC) à Vienne (résumé n° 2801).
« Le carcinome nasopharyngé avancé est une forme chronique de
cancer de la tête et du cou souvent associée à un mauvais pronostic
», a déclaré le Dr Hsu. « Les données présentées à l’EEC
représentent le potentiel des nouvelles approches de traitement de
ce type de cancer, pour lequel il n’existe actuellement que des
options de traitement limitées, ainsi que le potentiel de soutenir
davantage des recherches supplémentaires sur la façon dont KEYTRUDA
peut agir dans certains types de cancer de la tête et du cou. »
MSD a lancé un programme de développement clinique complet pour
l’évaluation des effets de KEYTRUDA sur le cancer de la tête et du
cou sur plusieurs lignes de traitement en monothérapie et en
combinaison avec une chimiothérapie ainsi que d’autres agents. Dans
l’étude KEYNOTE-028, KEYTRUDA a été évalué chez des patients à un
stade avancé du carcinome nasopharyngé non résécable qui ne
réagissent pas au traitement actuel ou pour lesquels le traitement
actuel n’est pas approprié. C’est la deuxième étude qui démontre
une activité précoce de KEYTRUDA chez les patients atteints du
cancer de la tête et du cou, la première étude portant sur un
traitement anti-PD-1 qui démontre l’activité clinique chez les
patients avec un carcinome nasopharyngé récurrent ou métastatique.
Pour de plus amples informations à propos de nos essais cliniques
dans le domaine de l’oncologie, veuillez visiter
www.keynoteclinicaltrials.com.
« Les résultats de cet essai montrent encore une fois que
KEYTRUDA est actif dans un large éventail de cancers, y compris
ceux qui sont difficiles à traiter avec les traitements standards
», a commenté le Dr Roger Dansey, vice-président principal et
responsable thérapeutique régional du développement en oncologie de
stade avancée, Merck Research Laboratories. « Sur la base de ces
résultats et d’autres obtenus jusqu’à ce jour, nous continuons de
développer un vaste programme clinique complet portant sur KEYTRUDA
pour le cancer de la tête et du cou, et nous restons concentrés sur
la réalisation de son plein potentiel afin de répondre aux besoins
de traitement non satisfaits des patients atteints des cancers les
plus difficiles à traiter comme le carcinome nasopharyngé. »
Autres résultats de l’étude KEYNOTE-028 sur le carcinome
nasopharyngé
KEYNOTE-028 est une étude panier multi-cohorte continue et
non-randomisée de phase 1b une instruction (conception qui permet
l’étude de plusieurs sous-populations de différentes tumeurs ou
types histologiques dans une étude) évaluant l’innocuité, la
tolérabilité et l’activité anti-tumorale de KEYTRUDA en
monothérapie (10 mg/kg administrés toutes les deux semaines) chez
plus de 450 patients dans 20 différents types de cancer. L’étude a
été conçue pour évaluer les patients avec des tumeurs solides
avancées qui expriment le PD-L1 et qui n’ont pas répondu à la
thérapie actuelle ou pour lesquels la thérapie actuelle n’est pas
appropriée.
Ces premiers résultats provenant de 27 patients à un stade
avancé du carcinome nasopharyngé et ayant reçu un prétraitement
intensif ont démontré un taux de réponse globale (ORR) de 22,2 %
(n=6/27) (selon les critères d’évaluation des tumeurs solides
RECIST v1.1), y compris six réponses partielles (IC à 95 % ;
8,6-42,3). En outre, 55,6 % des patients présentaient une maladie
stabilisée (n=15/27) (IC à 95 % ; 35,3-74,5), le taux de contrôle
de la maladie (DCR) était de 77,8 % (n=21/27) (IC à 95 % ;
57,7-91,4) le rétrécissement des tumeurs a été atteint chez 67 %
des patients. Le taux de survie sans progression (SSP) sur 6 mois
taux était de 49,7 % et le taux de SSP sur 12 mois était de 28,9 %.
La durée médiane de suivi chez les patients évaluables était de
12,9 mois (plage, 2,2-15,0) et la durée médiane des réponses était
de 10,8 mois (plage, 4,8-10,8).
Dans l’ensemble, les effets indésirables étaient cohérents avec
les données de sécurité publiées précédemment pour KEYTRUDA. Les
effets indésirables de grade 3-5 relatifs au traitement évalués par
les investigateurs étaient l’hépatite (n=2), la pneumonite (n=2),
l’anémie (n=1), les douleurs faciales (n=1), l’augmentation de la
créatine phosphokinase sanguine (n=1), la protéinurie (n=1), et la
septicémie (n=1). Les effets indésirables à médiation immunitaire
étaient l’hypothyroïdie (n=5), l’hépatite (n=4) et la pneumonite
(n=3). Il a été enregistré un décès lié au traitement résultant
d’une septicémie bactérienne.
À propos du PD-L1 et de l’expression du PD-L1
Le PD-L1, également appelé « Programmed death-ligand 1 », est
une protéine exprimée sur de nombreux types de cellules, y compris
certaines cellules cancéreuses. Dans des conditions normales,
l’interaction du PD-L1 avec une autre protéine, appelée «
Programmed death receptor-1 » (PD-1), constitue un important point
de contrôle du système immunitaire, maintenant l’équilibre du
système immunitaire et de empêchant l’organisme d’attaquer ses
propres cellules en cas d’inflammation ou d’infection. Toutefois,
lorsque des tumeurs cancéreuses expriment le PD-L1, elles sont en
mesure d’échapper à la détection et à la destruction par les
cellules T cytotoxique – un type de cellule immunitaire
anticancéreuse – ce qui permet à la tumeur de survivre et de se
développer. L’expression du PD-L1 tumoral a été observée à divers
degrés dans de nombreux types de tumeurs, y compris le cancer du
sein, du poumon, de la vessie, et le carcinome nasopharyngé.
L’expression du PD-L1 à des taux élevés, appelée surexpression,
fait actuellement l’objet d’études pour son utilisation potentielle
comme moyen d’identification des patients avec une forte
probabilité de réponse à certaines approches thérapeutiques basées
sur le système immunitaire.
À propos de cancer du nasopharynx
Le cancer du nasopharynx est un type de cancer de la tête et du
cou qui commence dans les cellules épithéliales qui tapissent la
surface du nasopharynx, la partie supérieure de la gorge derrière
le nez et près de la base du crâne.1 Il existe trois types de
cancers du nasopharynx, qui se distinguent par l’apparence des
cellules cancéreuses au microscope : le carcinome épidermoïde
kératinisant, le carcinome différencié non-kératinisant et le
carcinome non-différencié.1 Parmi les principaux facteurs de risque
du cancer du nasopharynx, on retrouve notamment une ascendance
chinoise ou asiatique, l’exposition au virus d’Epstein-Barr et la
consommation de grandes quantités d’alcool.2 Dans la plupart des
régions du monde (y compris aux États-Unis), Il y dénote moins d’un
cas de cancer du nasopharynx pour 100 000 personnes chaque année.3
En 2015, environ 3 200 cas devraient être enregistrés aux
États-Unis.3
À propos de KEYTRUDA® (pembrolizumab)
KEYTRUDA est un anticorps monoclonal humanisé conçu pour bloquer
l’interaction entre la PD-1 et ses ligands, le PD-L1 et le PD-L2.
En se liant au récepteur PD-1 et en bloquant l’interaction avec les
ligands du récepteur, KEYTRUDA libère l’inhibition médiée par la
voie PD-1 de la réponse immunitaire, incluant la réponse
immunitaire anti-tumorale.
KEYTRUDA est indiqué pour le traitement de patients atteints
d’un mélanome non résécable ou métastatique avec évolution de la
maladie à la suite d’un traitement avec l’ipilimumab et, en
présence d’une mutation V600 du gène BRAF, à la suite d’un
traitement avec un inhibiteur du gène BRAF. Cette indication est
approuvée en vertu de la politique d’approbation accélérée sur la
base des données du taux de réponse tumorale et de la durabilité de
la réaction. L’amélioration de la survie ou des symptômes liés à la
maladie n’a pas encore été établie. L’approbation continue pour
cette indication peut être subordonnée à une vérification et à la
description de l’avantage clinique dans les essais de
confirmation.
Le programme de développement clinique de KEYTRUDA s’est
rapidement étendu pour englober plus de 30 types de tumeurs dans
plus de 130 essais cliniques, parmi lesquels plus de 70 essais
combinent KEYTRUDA avec d’autres traitements contre le cancer. Des
essais permettant l’enregistrement de KEYTRUDA en monothérapie
recrutent en ce moment des patients sur le mélanome, le cancer
bronchique non à petites cellules, le cancer de la tête et du cou,
le cancer de la vessie, cancer gastrique, le cancer colorectal, et
la maladie de Hodgkin, d’autres essais étant prévus pour d’autres
cancers.
Quelques consignes de sécurité importantes pour
KEYTRUDA
Des occurrences de pneumonite sont survenues chez 12 des 411
patients (2,9 %), y compris des cas de grade 2 ou 3 chez 8 (1,9 %)
et 1 (0,2 %) patients, respectivement, recevant KEYTRUDA.
Surveiller les signes et symptômes de pneumonite chez les patients.
En cas de suspicion de pneumonite, procéder à une évaluation par
imagerie radiographique. Administrer des corticostéroïdes en cas de
pneumonite de grade 2 ou supérieur. Suspendre le traitement par
KEYTRUDA en cas de pneumonite de grade 2 ; interrompre
définitivement le traitement par KEYTRUDA pour les pneumonites de
grade 3 ou 4.
Des occurrences de colite (y compris la colite microscopique)
sont survenues chez 4 des 411 patients (1 %), y compris des cas de
grade 2 ou 3 chez 1 (0,2 %) et 2 (0,5 %) patients, respectivement,
recevant KEYTRUDA. Surveiller les signes et symptômes de colite
chez les patients. Administrer des corticostéroïdes en cas de
colite de grade 2 ou supérieur. Suspendre le traitement par
KEYTRUDA en cas de colite de grade 2 ; interrompre définitivement
le traitement par KEYTRUDA pour les colites de grade 3 ou 4.
Des occurrences d’hépatite (y compris l’hépatite auto-immune)
sont survenues chez 2 des 411 patients (0,5 %), y compris un cas de
grade 4 chez 1 (0,2 %) patient recevant KEYTRUDA. Surveiller tout
changement de la fonction hépatique chez les patients. Administrer
des corticostéroïdes en cas d’hépatite de grade 2 ou supérieur et,
en fonction de la gravité des élévations d’enzymes hépatiques,
suspendre ou arrêter le traitement par KEYTRUDA.
Des occurrences d’hypophysite sont survenues chez 2 des 411
patients (0,5 %), y compris 1 cas de grade 2 et 1 cas de grade 4
(0,2 % chacun) parmi les patients recevant KEYTRUDA. Surveiller les
signes et symptômes d’hypophysite (y compris l’hypopituitarisme et
l’insuffisance surrénale) chez les patients. Administrer des
corticostéroïdes en cas d’hypophysite de grade 2 ou supérieur.
Suspendre le traitement par KEYTRUDA en cas d’hypophysite de grade
2 ; suspendre ou arrêter le traitement par KEYTRUDA en cas
d’hypophysite de grade 3 ; et interrompre définitivement le
traitement par KEYTRUDA en cas d’hypophysite de grade 4.
Des occurrences d’hyperthyroïdie sont survenues chez 5 des 411
patients (1,2 %), y compris des cas de grade 2 ou 3 chez 2 (0,5 %)
et 1 (0,2 %) patients, respectivement, recevant KEYTRUDA. Des
occurrences d’hypothyroïdie sont survenues chez 34 des 411 patients
(8,3 %), y compris un cas de grade 3 chez 1 (0,2 %) patient
recevant KEYTRUDA. Des troubles de la thyroïde peuvent survenir à
tout moment au cours du traitement. Surveiller tout changement de
la fonction thyroïdienne chez les patients (au début du traitement,
puis périodiquement pendant le traitement, et selon les indications
de l’évaluation clinique), ainsi que tout signe et symptôme
cliniques de troubles de la thyroïde. Administrer des
corticostéroïdes en cas d’hyperthyroïdie de grade 3 ou supérieur.
Suspendre le traitement par KEYTRUDA en cas d’hyperthyroïdie de
grade 3 ; interrompre définitivement le traitement par KEYTRUDA en
cas d’hyperthyroïdie de grade 4. L’hypothyroïdie isolée peut être
contrôlée avec un traitement de suppléance sans interruption du
traitement et sans corticostéroïdes.
Des cas de diabète sucré de type 1, y compris l’acidocétose
diabétique, ont été signalés chez les patients recevant KEYTRUDA.
Surveiller le taux d’hyperglycémie ainsi que d’autres signes et
symptômes du diabète chez les patients. Administrer de l’insuline
dans le diabète de type 1, et suspendre KEYTRUDA en cas
d’hyperglycémie grave jusqu’à ce que le contrôle métabolique soit
atteint.
La néphrite est survenue chez 3 patients (0,7 %), dont un cas de
néphrite auto-immune de grade 2 (0,2 %) et deux cas de néphrite
interstitielle avec insuffisance rénale (0,5 %), l’un de grade 3 et
l’autre de grade 4. Surveiller tout changement de la fonction
rénale chez les patients. Administrer des corticostéroïdes en cas
de néphrite de grade 2 ou supérieur. Suspendre le traitement par
KEYTRUDA en cas de néphrite de grade 2 ; interrompre définitivement
le traitement par KEYTRUDA pour les néphrites de grade 3 ou 4.
D’autres effets indésirables à médiation immunitaire
cliniquement importants peuvent survenir. Les effets indésirables à
médiation immunitaire cliniquement importants suivants ont été
observés chez les patients traités avec KEYTRUDA : dermatite
exfoliatrice, uvéite, arthrite, myosite, pancréatite, anémie
hémolytique, crises épileptiques partielles survenues chez un
patient avec des foyers inflammatoires dans le parenchyme du
cerveau, dermatite sévère, y compris la pemphigoïde bulleuse,
syndrome myasthénique, névrite optique et rhabdomyolyse.
En cas de soupçon d’effets indésirables à médiation immunitaire,
procéder à une évaluation adéquate afin de confirmer l’étiologie ou
d’exclure d’autres causes. En fonction de la gravité de l’effet
indésirable, suspendre KEYTRUDA et administrer des
corticostéroïdes. Après l’amélioration de l’effet indésirable au
grade 1 ou inférieur, entamer une réduction progressive de
l’administration des corticostéroïdes et continuer pendant au moins
1 mois. Reprendre le traitement par KEYTRUDA si l’effet indésirable
reste au grade 1 ou inférieur. Arrêter définitivement KEYTRUDA pour
tout effet indésirable à médiation immunitaire grave ou de grade 3
qui se reproduit et pour tout effet indésirable à médiation
immunitaire potentiellement mortel.
Des réactions liées à la perfusion, y compris des réactions
graves et des réactions potentiellement mortelles, ont été
observées chez des patients recevant KEYTRUDA. Surveiller les
signes et les symptômes de réactions liées à la perfusion chez les
patients, y compris les frissons, une respiration sifflante, le
prurit, les bouffées congestives, les éruptions cutanées,
l’hypotension, l’hypoxémie, et la fièvre. En cas de réaction grave
ou potentiellement mortelle, arrêter la perfusion et arrêter
définitivement le traitement par KEYTRUDA.
Compte tenu de son mécanisme d’action, KEYTRUDA peut nuire au
fœtus lorsqu’il est administré à une femme enceinte. S’il est
utilisé pendant la grossesse, ou si la patiente tombe enceinte
durant le traitement, informer le patient du risque potentiel pour
le fœtus. Conseiller aux femmes en âge de procréer d’utiliser une
méthode contraceptive hautement efficace pendant le traitement et
pendant 4 mois après la dernière dose de KEYTRUDA.
KEYTRUDA a été abandonné en raison des effets indésirables dans
9 % des 411 patients. Les effets indésirables, rapportés chez au
moins deux patients, qui ont entraîné l’abandon de KEYTRUDA étaient
: la pneumonite, l’insuffisance rénale, et la douleur. Des effets
indésirables graves ont été observés chez 36 % des patients. Les
effets indésirables graves les plus fréquents, observés chez 2 %
des patients ou plus, étaient l’insuffisance rénale, la dyspnée, la
pneumonie et la cellulite.
Les effets indésirables graves les plus communes (signalés chez
au moins 20 % des patients) étaient la fatigue (47 %), la toux (30
%), la nausée (30 %), le prurit (30 %), les éruptions cutanées (29
%), la perte d’appétit (26 %), la constipation (21 %), l’arthralgie
(20 %), et la diarrhée (20 %).
La dose recommandée de KEYTRUDA est de 2 mg/kg administrée en
perfusion intraveineuse de 30 minutes toutes les 3 semaines jusqu’à
progression de la maladie ou une toxicité inacceptable. Aucune
étude formelle d’interaction médicamenteuse pharmacocinétique n’a
été réalisée avec KEYTRUDA. On ignore si KEYTRUDA est excrété dans
le lait maternel humain. Étant donné que de nombreux médicaments
sont excrétés dans le lait maternel humain, recommander aux femmes
d’interrompre l’allaitement pendant le traitement par KEYTRUDA.
L’innocuité et l’efficacité de KEYTRUDA n’ont pas été établies chez
les patients pédiatriques.
Nos travaux sur le cancer
Notre objectif est de traduire les percées de la science en
médicaments novateurs en oncologie afin d’aider les personnes
atteintes de cancer dans le monde entier. À MSD Oncology, notre
passion est d’aider les gens à combattre le cancer et notre
engagement est de soutenir l’accessibilité à nos médicaments de
cancer. Nous sommes dédiés à poursuivre la recherche en
immuno-oncologie et nous accélérons chaque étape du parcours – du
laboratoire à la clinique – afin d’éventuellement offrir un nouvel
espoir aux les personnes atteintes de cancer. Pour de plus amples
informations à propos de nos essais cliniques dans le domaine de
l’oncologie, veuillez visiter www.merck.com/clinicaltrials.
À propos de MSD
MSD est aujourd’hui un chef de file mondial de l’industrie des
soins de santé dédié à améliorer le bien-être dans le monde. MSD
est une marque de commerce de Merck & Co., Inc., avec son siège
social situé à Kenilworth, dans l’État du New Jersey, aux
États-Unis. Au travers de nos médicaments soumis à prescription,
vaccins, thérapies biologiques et produits de santé vétérinaire,
nous travaillons en collaboration avec nos clients et délivrons nos
solutions de santé innovantes dans plus de 140 pays. Nous
démontrons également notre engagement à améliorer l’accès aux soins
de santé à travers des politiques, programmes et partenariats
d’envergure. Pour de plus amples informations, veuillez visiter
www.msd.com ou www.msd.xx (pour les sites Web localisés) et
rejoignez-nous sur Twitter, Facebook et YouTube.
Déclarations prospectives de Merck & Co. inc.,
Kenilworth, New Jersey, États-Unis
Le présent communiqué de presse de Merck & Co. inc., de
Kenilworth, New Jersey, aux États-Unis (la société) contient des «
déclarations prospectives » au sens défini par les dispositions
refuge de la Private Securities Litigation Reform Act de 1955 des
États-Unis. Ces déclarations prospectives se fondent sur les
croyances et les attentes actuelles de la direction de la société
et sont subordonnées à des risques et à des incertitudes ayant
possiblement un important impact sur les résultats. En ce qui
concerne les produits en cours de développement, rien ne garantit
que les produits obtiendront les approbations réglementaires
nécessaires ou connaîtront un succès commercial. Si les hypothèses
sous-jacentes s’avèrent inexactes ou si les risques ou incertitudes
se matérialisent, les résultats réels pourraient différer
sensiblement de ceux qui sont indiqués dans les déclarations
prospectives.
Les risques et incertitudes incluent, mais sans s’y limiter, les
conditions générales de l’industrie et la concurrence ; les
facteurs économiques généraux, dont les variations du taux
d’intérêt et des taux de change ; l’impact de la régulation de
l’industrie pharmaceutique et de la législation en matière de soins
de santé aux États-Unis et dans le monde ; les tendances globales
en matière de maîtrise des dépenses de santé ; les avancées
technologiques, les nouveaux produits et les brevets obtenus par
les concurrents ; les défis inhérents au développement de nouveaux
produits, dont l’obtention de l’approbation réglementaire ; la
capacité de la société de prévoir les futures conditions du marché
; les difficultés ou délais de fabrication ; l’instabilité
financière des économies internationales et le risque souverain ;
la dépendance de l’efficacité des brevets de la société et d’autres
protections destinées aux produits novateurs ; et l’exposition aux
contentieux, notamment ceux portant sur les brevets, et/ou les
mesures de réglementation.
La société n’assume aucune obligation de mettre à jour l’une
quelconque de ces déclarations ou informations prospectives, que ce
soit du fait d’informations nouvelles, d’événements futurs ou pour
toute autre raison. D’autres facteurs pouvant provoquer un décalage
entre les résultats réels et ceux avancés dans les déclarations
prospectives se trouvent dans le bilan annuel de la société de 2014
sur le formulaire 10-K, ainsi que les autres formulaires de la
société auprès de la Securities and Exchange Commission (SEC)
disponible sur le site Internet www.sec.gov.
Références
1.
http://www.cancer.org/cancer/nasopharyngealcancer/detailedguide/nasopharyngeal-cancer-what-is-nasopharyngeal-cancer
2.
http://www.cancer.gov/types/head-and-neck/patient/nasopharyngeal-treatment-pdq
3.
http://www.cancer.org/cancer/nasopharyngealcancer/detailedguide/nasopharyngeal-cancer-key-statistics
Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune
manière être considéré comme officiel. La seule version du
communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue
d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte
source, qui fera jurisprudence.
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908-740-1879Teri Loxam, 908-740-1986
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